Monday 29 December 2008

Learn more about Google's Education Resources

En Français

Staying true to our roots, Google has always focused heavily on education and worked to develop mutually supportive relationships with the academic community. Ever since Larry and Sergey's fateful meeting as Stanford graduate students in 1995, we have been creating opportunities for students and educators to learn about Google and our products, and developing programs to support the advancement of computing and technology in academia.

To this end, we are pleased to announce the newly launched Education Resources page. This page summarizes how Google is working with students and educators, as well as the programs we've implemented to support educational institutions. Here you will find student programs such as scholarships,competitions, and career opportunities; as well as Google tools for students and educators alike including Google for Educators, Knol, and Google Apps Education Edition.

If you're as interested in these initiatives as we are, we'd also suggest subscribing to the new Student Blog, where we post Google stories specifically relevant to the student population and academic community on all these topics and many more.

We are excited to build upon this resource, and to continue building Google's connection with the academic community. Let us know what you think, we welcome and look forward to your feedback!

Posted by John Atwood, University Programs Team

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En savoir plus sur les Outils Google pour les Etudiants

Restant fidèles à nos racines, Google a toujours eu à cœur de contribuer à l'éducation et à développer des relations de support mutuel avec la communauté universitaire. Depuis la rencontre de Larry et Sergey en 1995 -alors tout juste diplômés de Stanford-, nous avons mis en place des opportunités pour les étudiants et professeurs d'apprendre à mieux connaitre Google et nos produits, et de développer des programmes pour suivre l'évolution de l'informatique et de la technologie dans le monde académique.

C'est donc logiquement que nous somme heureux d'annoncer la création de la page des Outils pour l'Enseignement. Cette page résume comment Google coopère avec les étudiants et professeurs, et également les programmes que nous avons mis en place pour aider les institutions académiques. Vous y trouverez des programmes étudiants tels que : cursus scolaires, concours, et offres d'emploi; mais également les outils Google pour étudiants et enseignants tel que Google pour les Enseignants, Knol et Google Apps Edition Education.

Si vous êtes intéressés autant que nous par ces initiatives, nous vous suggérons de vous inscrire au Blog Etudiant, où nous postons les actualités Google spécifiquement en rapport avec la population étudiante et la communauté académique sur les sujets évoqués et bien plus encore.

Nous sommes impatients de bâtir en utilisant cet outil, et de continuer à renforcer le lien entre Google et la communauté étudiante. Faites nous savoir ce que vous pensez, nous attendons avec impatience vos avis!

Tuesday 9 December 2008

Working towards "One Africa, One Health"

En Français

Our Predict and Prevent initiative is delighted to announce support to a new regional disease surveillance network called the Southern African Centre for Infectious Disease Surveillance(SACIDS). SACIDS is the first regional network to embrace the concept of 'One Health' right from the start by linking 25 human and animal health institutions in Tanzania, Zambia, Democratic Republic of Congo, Mozambique and South Africa. Over time, it hopes to include other countries from the Southern African Development Community (SADC).

The SACIDS concept sprang from a Foresight study called 'Infectious Diseases: Preparing for the Future’ involving more than 400 scientists. SACIDS was developed through meetings with key stakeholders over a period of three years. Its mission is to harness innovation in science and technology in order to improve Southern Africa's capacity to detect, identify and monitor infectious diseases of humans, animals and plants. By sharing data, experience, training, and tools, the countries participating in SACIDS can raise the quality of disease surveillance for the entire region.

With rising international travel and trade, outbreaks can go global within hours. Once diseases are detected, responding quickly and across borders saves lives. "Too often, countries work in isolation, ignoring their neighbors, while diseases cross borders daily. We are thrilled that this effort will increase local cooperation and capacity," said Professor Mark Rweyemamu, the Executive Director of SACIDS. SACIDS will be physically headquartered at the Sokoine University of Agriculture, in Morogoro, Tanzania.

Google.org will support the establishment of the SACIDS network through an initial $500,000 grant to the Nuclear Threat Initiative's Global Health and Security Initiative (GHSI). GHSI's Director for Health Security and Epidemiology Dr. Louise Gresham said, "We look forward to applying our expertise in developing regional surveillance networks, a keystone in building capacity to combat emerging, neglected and endemic disease in Southern Africa.” GHSI will share extensive experience working with regional networks in the Middle East (the Middle East Consortium on Infectious Disease Surveillance) and Southeast Asia (the Mekong Basin Disease Surveillance network). In a second phase of the project, Google.org will make an additional contribution of $1,500,000 to African stakeholders working with SACIDS.

To learn more about SACIDS and our other partners in Predict and Prevent, download this updated Google Earth layer which highlights the details of their work.

Posted by Joanne Stevens, Associate, Predict and Prevent
Cross posted to Google.org blog on 3/12/2008
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Lancement de SACIDS

L'initiative «Predict and Prevent» (Prédire et prévenir) est ravie d'annoncer son soutien à un nouveau réseau de surveillance des maladies nommé «Centre des pays de l'Afrique Australe pour la surveillance des maladies infectieuses(SACIDS)». SACIDS est le premier réseau régional à embrasser le concept de 'une santé', et ce, depuis sa création. Il relie 25 institutions à vocation santé humaine et santé animale de la Tanzanie, Zambie, République démocratique du Congo, Mozambique et de l'Afrique du Sud. Au fil du temps, ce réseau compte intégrer d'autres pays de la Communauté du Développement de l'Afrique Australe(SADC).

L'origine de SACIDS émerge d'une étude de la Foresight nommée 'Infectious Diseases: Preparing for the Future' qui a impliqué plus de 400 scientifiques. SACIDS a été développé au fil de réunions avec des parties prenantes durant une période de 3 ans. La mission de ce réseau est d'exploiter les innovations scientifiques et technologiques qui visent à améliorer la capacité des pays de l'Afrique Australe, ainsi qu'à mieux détecter, identifier, et faire le suivi des maladies infectieuses qui sont originaires des humains, animaux, et plantes. En assurant le partage des données, expériences, curriculum, et outils, les pays qui participeront à SACIDS pourront améliorer la qualité de la surveillance des maladies de toute la région.

Avec l'ampleur des déplacements internationaux et du commerce mondial, l'éruption de maladies peut prendre, en quelques heures, une portée dramatique. Dès qu'une maladie est découverte, une réponse rapide et transfrontalière est requise pour sauver la vie des populations. "Trop souvent les pays travaillent dans l'isolement, en ignorant leurs voisins, pendant que les maladies traversent les frontières tous les jours. Nous sommes réjouis par le fait que cet effort accroîtra la coopération et les capacités locales" comme le cite le Professeur Mark Rweyemamu, Directeur exécutif de SACIDS. Le bureau-mère de SACIDS sera localisé physiquement à l'Université d'Agriculture de SokoineMorogo en Tanzanie.

Google.org soutiendra l'établissement du réseau SACIDS par une subvention initiale de $500,000 à l'Initiative Global Health and Security (GHSI). Dr. Louise Gresham, Directrice de l'Épidémiologie et de la sécurité de la santé indique "Nous attendons impatiemment la mise à profit de notre expertise pour le développement de réseaux régionaux de surveillance, une étape cruciale pour le renforcement de la capacité visant à combattre les maladies émergentes, négligées, et endémiques dans les pays de l'Afrique Australe". GHSI partagera son expérience étendue en travaillant avec les réseaux régionaux du Moyen orient (Middle East Consortium on Infectious Disease Surveillance) et de l'Asie du sud-est (Mekong Basin Disease Surveillance network). Dans une phase ultérieure, Google.org fera une contribution additionnelle de 1,500,000$ aux parties prenantes travaillant en Afrique.

Pour en savoir plus sur SACIDS ainsi que sur les autres partenaires de l'initiative « Predict and Prevent », prière de télécharger ce fichier qui inclut une couche Google Earth répertoriant nos différentes zones d'activités.

Posté par Joanne Stevens, Associé, Predict & Prevent
Initialement posté sur le blog Google.org, 3/12/2008

Monday 8 December 2008

Launching Google in Sierra Leone

En Français

Today we are announcing the launch of Google's homepage in Sierra Leone - check it out here.

This launch continues to demonstrate our commitment to Africans in all countries - we are determined to bring our search technology and other products to you, whatever language you use, wherever you are.  We believe that access to information creates opportunities - in education, career, business, social life, and a variety of other areas - the Internet is a democratizing tool.

We're excited to be launching www.google.com.sl; it's another step in bringing Google to more of Africa.

Posted by Divon Lan, Product Manager - Sub Saharan Africa

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Lancement de Google au Sierra Leone

Aujourd'hui nous annonçons le lancement de la page d'accueil Google au Sierra Leone - consultez la ici.

Ce lancement continue de démontrer notre engagement auprès des Africains de tous les pays. Nous sommes déterminés à vous apporter notre technologie de recherche et nos autres produits, quel que soit la langue que vous utilisez et quel que soit le lieu où vous vous trouvez. Nous pensons que l'accès à l'information crée des opportunités - pour l'éducation, la carrière, les affaires, la vie sociale et une variété d'autres secteurs - et que l'internet est un outil de démocratisation.

Nous sommes excités de lancer www.google.com.sl, c'est une étape de plus qui rapproche Google et l'Afrique.

Posté par Divon Lan, Product Manager - Afrique Sub-Saharienne

Tuesday 2 December 2008

Introducing Google.org Geo Challenge Grants

En Français

At Google.org, we have met and worked with many amazing organizations over the past few years, and we keep hearing how eager people are to use online mapping tools such as Google Earth and Google Maps to tell their stories. There are tons of great mapping ideas out there, and we think that with a little support, many of them can come to life. As such, we're excited to launch Google.org Geo Challenge Grants, a small grants program to provide nonprofits with the impetus and resources they need to take advantage of powerful and exciting online mapping tools.

Maps are a powerful way for organizations to display and share data, promote ideas and issues, and plan and organize activities. Online mapping tools can help the world visualize and understand information, problems, and solutions - whether in your town or village, or across the globe. They provide an easy-to-use interface with lots of detailed satellite imagery and other background data to put it all in context. We want to help organizations use these kinds of tools to advance their work in the areas of global development, climate change and global public health. Here are 2 examples:

Save the Elephants is using Google Earth to track elephants across Africa.



Also view the Google Earth KML or check out the video.

The Dreaming New Mexico initiative seeks to encourage adoption of clean electricity and to move New Mexico away from dirty, polluting power plants. Using the Google Earth API (browser plug-in), Dreaming New Mexico shows some of the choices available to New Mexico as it considers a move to sustainable clean energy.

We're now accepting applications from non-profit organizations around the world! Use your imagination and remember that many online mapping tools can be easy to learn and intuitive to use. Our first round of applications is open today and will close on December 22. We hope to continue with more grant rounds next year.

Apply now!

Posted by David Bercovich, Project Manager, Google.org
More information on the Google.org blog

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Lancement du concours cartographique de Google.org

Chez Google.org, nous avons rencontré et collaboré avec beaucoup d'organisations depuis quelques années and nous continuons de constater l'intérêt du public pour des outils de cartographie comme Google Earth ou Google Maps pour raconter leurs projets. Il y a beaucoup de projets en cours liés à la cartographie et nous pensons qu'avec un peu d'aide, beaucoup peuvent se concrétiser. En particulier, nous sommes heureux de lancer au sein de Google.org le Geo Challenge Grants, un modeste programme de soutien qui a pour but de donner l'impulsion et des ressources à des projets à but non lucratif afin qu'ils bénéficient des possibilités des outils de cartographie en ligne.

Les cartes constituent un moyen puissant pour des organisations de montrer et partager des données, promouvoir des idées et des problématiques, mais aussi de planifier et d'organiser des activités. La cartographie en ligne peut aider l'humanité à visualiser et comprendre l'information, des problèmes et leurs solutions -que ce soit au niveau de votre ville ou village ou d'une manière plus globale. Ces outils fournissent une interface intuitive avec beaucoup de d'imagerie satellite détaillée mais aussi des sources d'information qu'on peut situer en contexte.
Notre but est d'aider des organisations à utiliser ces outils pour faire progresser leur travail dans les domaines du développement global, du changement climatique et de la santé publique à travers le monde.
En voici deux illustrations :

Save the Elephants utilise Google Earth pour suivre la population des éléphants à travers le continent africain. Vous pouvez regarder Google Earth KML ou visionner la video.

L'initiative Dreaming New Mexico essaie d'encourager l'adoption de "l'électricité verte" et de détourner le Nouveau Mexique de l'utilisation de centrales électriques polluantes. En utilisant le Google Earth API, Dreaming New Mexico fait la démonstration des choix qui sont disponibles au Nouveau Mexique au moment où il s'ouvre à la voie d'un développement énergétique plus durable.

Nous accueillons à partir d'aujourd'hui les candidatures d'organisations à but non lucratif dans le monde entier ! Utilisez votre imagination et souvenez-vous que beaucoup d'outils de cartographie peuvent être intuitifs et faciles à utiliser. Notre première série de dépôt de candidatures ouvre aujourd'hui et sera close le 22 décembre. Nous espérons poursuivre cela l'année prochaine.

Déclarez votre candidature maintenant!

Posté par David Bercovich, Chef de projet, Google.org
Plus d'information sur Google.org.blog

Tuesday 25 November 2008

YouTube Users Responds to Crisis in the DR Congo

En Français

Since August of this year, the civil war in the Democratic Republic of Congo has seen 250,000 Congolese citizens forced to flee their homes. As the death toll and refugee counts increase, people on the frontline of efforts to help are utilizing YouTube to speak out against the violence.

Nonprofit organizations are using the site to raise awareness about the conflict and to raise funds that are desperately needed to provide food, medicine and sanitation for the refugees. UNICEF uses video to explore a day on the ground at one of the refugee camps in DR Congo, while Doctors Without Borders depicts the struggles of the displaced through a powerful slideshow. And if you'd like to contribute more than just your viewership, the Disasters Emergency Committee recently posted an appeal on behalf of the UK's 13 leading charities for YouTube users to donate funds:



Individual YouTube users have also been raising their voices to demand that more be done to end the fighting. This UK citizen asked Prime Minister Gordon Brown why he recently spent more time talking about British celebrities than the dire situation in DR Congo.

You can join this important conversation -- if you have thoughts about the humanitarian crisis, please add them in the comments or detail them in a video.

Posted by Ramya R, YouTube Nonprofits & Activism
Cross-posted to YouTube blog

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Les utilisateurs de YouTube répondent à la crise en République Démocratique du Congo

Depuis le mois d'Août de cet année, la guerre civile en République Démocratique du Congo a contraint 250000 Congolais à fuir leurs foyers. Alors que le nombre de morts et de réfugiés s'accroit, les personnes en première ligne des efforts menés dans ce pays utilisent Youtube pour s'exprimer contre cette violence.

Les organisations à but non-lucratif utilisent le site pour augmenter la visibilité au sujet de ce conflit, et pour collecter des fonds qui font défaut afin de fournir nourriture, médicaments, et soins aux réfugiés. L'UNICEF utilise la vidéo pour partager une journée quotidienne sur le terrain dans l'un des camps de réfugiés en RD du Congo, et les Medecins Sans Frontières décrivent les luttes des populations déplacées au travers d'un diaporama. Et si vous souhaitez contribuer plus qu'en simple visiteur du site, le Comité des D a recemment posté un appel au nom des 13 plus grandes associations carritatives du Royaume Uni pour encourager les utilisateurs de Youtube à faire des dons.

Des utilisateurs de Youtube se sont également exprimés pour demander que tout soit fait afin de faire cesser ces combats. Ce citoyen Anglais a demandé au Premier Ministre Gordon Brown pourquoi a-t'il récemment passé plus de temps à parler des célébrités Anglais qu'à parler de la situation au Congo.

Vous pouvez participer à cette discussion importante -- si vous avez des commentaires au sujet de la crise humanitaire, n'hésitez pas à ajouter poster vos remarques ou à poster une vidéo de réponse.

Posté par Ramya R, YouTube Nonprofits & Activism
Initialement posté sur le blog YouTube

Thursday 20 November 2008

Why Local Content Matters

En Français

Having been in Africa for the past several months, I am beginning to see firsthand how access to information by regular citizens is starting to transform the continent. A single newspaper could be read by as many as 10 people, citizens are willing to rent-a-paper, and FM radio stations are exploding in communities where people are hungry for news, entertainment, and opportunities to make their voices heard.

It’s the last point that has really struck me. With mobile phone penetration growing everyday and airtime prices falling, people are communicating more than ever before, sending text messages and calling in to radio talk shows. They are expressing their views, sharing their opinions with each other, and communicating their delight or displeasure with government, business, and civil actors in more informed ways.

In East Africa in particular, people are bracing themselves for the broadband revolution. Within 12 months, initiatives like Seacom and EasyCom are likely to be active in the region and will connect people in completely new ways. What will happen when the super-highways open their gates? Will traffic flow in one direction or two? Will East Africans become net consumers or producers of information?

Last week, Kenya held its first “content” conference arranged by the national ICT Board. Public and private people had plenty to say about “local content” and why it mattered. What started as a technical discussion about connectivity quickly turned to issues of national pride, language, and fear that a globalized world could homogenize indigenous cultures. While Kenyans clearly yearn to be part of the global community and consume information far beyond their borders, they also want to be heard, recognized, and contribute to global conversations. They want their news, their music, their issues, and their voices to find a place in the online universe.

Today, Swahili books online for example, number in the hundreds compared to the hundreds of millions of books in English available online. What message does this send to young people about the relative importance of their knowledge, language, and culture? Fortunately, Google translation tools are beginning to address this challenge and launching search in Swahili is creating the right incentives to put more content online. But what else will it take to create symmetry between the number of people who speak a given language and content available to them?

The good news is that there is no paucity of African content in the offline world. Africa is home to some of the world’s richest musical traditions, oral histories, and physical heritage. The second piece of good news is that mobile phones are likely to be gateways to the internet in much of the continent. The challenge is how to migrate this wealth of content from the offline to the online world. If Africans are going to get online en masse, they need a reason to go there and they need to see themselves, their values, and their stories when looking through the online prism. With the availability of Google MapMaker in Africa, we’re already seeing that people are creating their own content and populating base maps with layers that are meaningful and useful to them. That is exciting. Whether its stories, pictures, or data on budgets and literacy rates, I hope we can give people a stake and a reason to get online and participate in the information society.



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Pourquoi un contenu localisé compte autant

Ayant passé les derniers mois en Afrique, je commence à comprendre à quel point l'accès à l'information par des citoyens ordinaires est en train de transformer le continent. Un seul journal peut être lu par jusqu'à 10 personnes, certains sont prêts à louer un journal, et de multiples stations de radio FM se créent pour une population toujours plus avide d'informations, de divertissement, et d'occasions pour se faire entendre.

C'est ce dernier point qui m'a vraiment fappé. Avec un taux de pénétration du téléphone mobile en pleine croissance et des prix de communication en diminution, les gens communiquent toujours plus, s'envoient des SMS et appellent pour intervenir dans des émissions de radio. Ils expriment leurs points de vue, partagent leurs opinions, et communiquent leur satisfaction ou non, de manière plus informelle, envers le gouvernement, les entreprises, et les acteurs publics.

En Afrique de l'Est en particulier, la population entre complètement dans la révolution du haut débit. D'ici 12 mois, des initiatives telles Seacom et EasyCom ont de fortes chances d'être opérationnelles et connecteront les individus de manière novatrice. Que se passera-t-il quand les supers-autoroutes ouvriront leurs portes ? Le trafic coulera-t-il dans un sens ou dans les deux ? Les africains de l'Est seront-ils des consommateurs ou des producteurs d'information ?

La semaine dernière, le Kenya tenait sa première conférence sur le "contenu", une conférence mise par en place par le comité national ICT. Les acteurs publics et privés avaient de nombreuses choses à dire à propos du "contenu localisé" et pourquoi cela importait tant. Ce qui avait débuté en une discussion technique sur la connectivité se transforma rapidement en questions de fierté nationale, langue, et crainte qu'un monde globalisé puisse homogénéiser des cultures indigènes. Tandis que les Kényans désirent véritablement faire partie de la communauté mondiale et consommer de l'information qui vient d'au-delà de leurs frontières, ils souhaitent aussi être entendus, reconnus, et contribuer aux conversations globales. Ils veulent que leurs informations, leurs musiques, leurs questions, et leurs voix soient entendues dans l'univers en ligne.

Aujourd'hui par exemple, les livres en swahili en ligne se comptent seulement en centaines, contre des centaines de millions de livres en anglais disponibles en ligne. Quel message cela envoie-t-il aux jeunes par rapport à l'importance relative de leurs connaissances, leur langue et leur culture ? Heureusement, les outils de traduction de Google commencent à répondre à ce défi et le lancement de la recherche Google en swahili crée l'envie nécessaire pour ajouter du contenu en ligne. Mais que faudra-t-il d'autre pour créer une symétrie entre le nombre de personnes qui parlent une langue et le contenu qui leur est disponible ?

Le bon côté des choses est qu'il n'y a pas de pénurie dans le contenu africain dans le monde offline. L'Afrique est le berceau mondial de traditions musicales, d'histoires orales, et d'un héritage physique. L'autre bonne nouvelle est que les téléphones mobiles vont probablement être les portes d'entrée à Internet pour la plupart du continent. Le défi consiste à migrer la richesse de ce contenu vers le monde en ligne. Si les africains se connectent en masse en ligne, alors ils ont besoin d'une raison pour le faire et ils doivent voir leurs valeurs et leurs histoires quand ils parcourent le monde en ligne. Avec le lancement de Google Maps en Afrique, nous sommes déjà en train de voir des peuples créer leur propre contenu et compléter des cartes avec des calques qui ont du sens et qui leur sont utiles. Ceci est particulièrement enthousiasmant ! Que ce soit des histoires, des images, des données sur les budgets et le taux d'alphabétisation, j'espère que nous pouvons donner à tous ces gens une raison et une envie d'être en ligne et de participer à la société de l'information.

Wednesday 19 November 2008

One Water Africa trip

En Français

Two months ago, in September, three of us embarked on an inspirational trip which was the culmination of over 18 months of collaboration between Google and the charity One Water.

My traveling companions were Jim Glass, our Food Services manager for Europe/Middle East/Africa (EMEA), and Adrian Evans, our Executive Chef in London. After a 12-hour flight into Jo’burg, followed by six hours driving, we arrived at our very accommodating rural lodge in the Millwane Wildlife Sanctuary. Our destination: Swaziland, specifically the the school at Kaphunga.

We chose this school because it's the location of the first ever Google-funded Playpump, which was installed in January 2008. The Playpump is located at Kaphunga school but accessible by the entire village, providing a local source of clean drinking water.



That's important because the majority of water in Swaziland is provided by the municipality, in large tanks called ‘Jojos’. These require electricity to function and because there are only two power stations in the country, and power outage is a frequent occurrence. When this happens, the use of ‘Jojos’ for water is restricted. When 'Jojos' are locked off, it usually means that women and children have to walk several hours to source clean drinking water.

We were privileged to see what a difference a clean source of water had made to not only the children, but their families and the wider community, where often families are forced to walk several hours each day to collect water. In many cases the water is not very clean, sometimes even contaminated.

We were able to see what a difference the Playpump is making already at Kaphunga: Its paint has been worn down right to the metal, because the children are playing on it so much!



We also saw our next big challenge: to make a usable vegetable garden. We promised promised the school we would create one during our visit.

Our challenge was to depart from Kaphunga knowing that we had started the development of a collaboration between Google, One Water and Kaphunga school. The Playpump was the first step, but the major task was to make it a useful resource for greater things, such as supporting the cultivation of crops to help provide more nutritious and healthy meals for all the children at the school. Since the food prepared at the school is predominantly received through donations, it does not always meet the children’s nutritional needs.

We started by finding a local nursery to purchase seedlings and equipment for the garden (it was more of a field!). Based on advice from knowledgeable area residents, we decided on a selection of crops that would give maximum benefit to the school and community. We purchased thousands of tomato and green pepper plants, along with spinach, onion and cabbage seedlings. We also invested in watering cans, rakes, spades, trowels and 20 fruit trees including lychees, mangos and oranges.

We arrived at the school full of enthusiasm to start planting and were soon joined by teachers and children. Within a day, we were pleasantly surprised at how quickly the garden started to come together. Before long, we had planted all the seedlings and the children had watered them, using the Playpump and ferrying the water up to the garden.

The following morning, the teachers and the children were already hard at work, watering the new seedlings and digging the holes for the fruit trees. The new vegetable garden at Kaphunga will give the school cooks a much better variety of ingredients and provide the kids with food that is currently lacking in their daily diet. The project is also a great way to teach the children agriculture, which is one of the key means to attract them into schools.

We left Kaphunga tired, but with a whole new appreciation on life -- knowing how fortunate we are to have clean drinking water readily available, not to mention daily meals on site each day. As we carefully consider the future and what else can be done to fund more Playpumps, we will be reaching out to Googlers in Europe, and globally, to get their thoughts, ideas, and support. There is so much more that can be done to help the incredible children at the Kaphunga School and the local community

Posted by Vishal Patel, Events Manager

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Voyage en Afrique One Water

Il y a deux mois, en septembre, trois d'entre nous sommes partis pour un voyage qui constituait l'aboutissement de 18 mois de collaboration entre Google et l'association caritative One Water.

Mes compagnons de voyage étaient Jim Glass, notre Manager Food Services pour l'Europe, le Moyen Orient et l'Afrique (EMEA), et Adrian Evans, notre Chef Cuisinier à Londres. Après 12 heures de vol vers Johannesburg, suivies de 6 heures de voiture, nous sommes arrivés dans un très accueillant chalet du parc naturel de Millwane. Notre destination : le Swaziland et plus spécifiquement l'école de Kaphunga.

Nous avons choisi cette école car c'est le lieu où la première pompe Playpump financée par Google fut installée en janvier 2008. La Playpump se trouve à l'école de Kaphunga mais est accessible par tous les habitants du village, constituant ainsi une source locale d'eau potable.

Cette pompe est très importante car au Swaziland la presque totalité de l'eau potable est fournie par la municipalité dans de larges cuves appelées 'Jojos’. Les ‘Jojos’ nécessitent de l'électricité pour fonctionner et comme il n'y a que deux centrales électriques dans le pays, les coupures d'électricité sont fréquentes. Quand celles-ci se produisent, l'utilisation des ‘Jojos’ pour l'eau est limitée. Quand les 'Jojos' ne sont pas disponibles, ce qui signifie que les femmes et les enfants doivent marcher pendant plusieurs heures pour puiser de l'eau potable.

Nous avons été privilégiés de voir la différence qu'a pu faire cette nouvelle source d'eau potable non seulement pour les enfants, mais pour leurs familles et toute la communauté, quand souvent les familles sont obligées de marcher plusieurs heures chaque jour pour avoir de l'eau. D’autant que dans la plupart des cas, l'eau n'est pas très propre et parfois même contaminée.

Lors de notre séjour, nous avons constaté une première différence faite par la Playpump à Kaphunga : sa peinture avait été usée jusqu'au métal parce que les enfants avaient tellement joués avec elle ! Nous avons aussi perçu notre prochain grand défi : créer un jardin potager. En effet, nous avions promis à l'école que nous en créerions un pendant notre visite.

Notre défi fut de quitter Kaphunga en sachant que nous avions débuté le développement d'une collaboration entre Google, One Water et l'école Kaphunga. La Playpump en était la première étape, mais la tache majeure était d'en faire une ressource utile pour de meilleurs projets comme soutenir le développement des cultures pour procurer des repas plus nutritionnels et équilibrés à tous les enfants de l'école. Etant donné que la nourriture préparée à l'école est constituée de façon prédominante par des dons, elle ne correspond pas toujours aux besoins nutritionnels des enfants.

Nous avons commencé par trouver une pépinière pour acheter des plans et des équipements pour le jardin (c'était plutôt un champ !). Sur les conseils de la population locale, nous avons décidé d'une sélection de cultures qui procurent un maximum de bénéfices à l'école et à la communauté. Nous avons acheté des milliers de plans de tomates et de poivrons verts, ainsi que des graines d'épinards, d'oignons et de choux. Nous avons aussi investi dans des arrosoirs, des râteaux, des pelles et des truelles ainsi que dans 20 arbres fruitiers comme des arbres à lychees, des manguiers et des orangers.

Nous sommes arrivés à l'école plein d'enthousiasme pour commencer à planter et avons été rejoins par les instituteurs et les élèves. En un jour, nous fûmes positivement surpris de voir à quelle vitesse le jardin commençait à ressembler à quelque chose. En peu de temps, nous avions planté toutes les graines et les enfants les avaient arrosées, utilisant la Playpump et apportant l'eau au jardin.

Le jour suivant, les instituteurs et les enfants ont travaillé dur, arrosant les nouvelles pousses et creusant des trous pour les arbres fruitiers. Le nouveau potager à Kaphunga allait donner aux cuisiniers de l'école une meilleure variété d'ingrédients et procurer aux enfants les aliments qui manquent actuellement à leur repas. Le projet est aussi une bonne façon d'enseigner aux enfants l'agriculture, ce qui constitue un des moyens clés pour les attirer à l'école.

Nous avons quitté Kaphunga fatigués, mais avec une toute nouvelle appréciation de la vie, réalisant quelle chance nous avions d'avoir de l'eau potable immédiatement disponible, sans mentionner des repas quotidiens sur place chaque jour. Si nous considérons avec attention notre futur et voyons ce qu'il peut être fait pour financer davantage de Playpumps, nous allons contacter les Googlers en Europe, et partout ailleurs, afin de recueillir leur pensées, idées et soutien. Tellement plus peut être fait pour aider les incroyables enfants de l'école Kaphunga et leur communauté !

Posté par Vishal Patel, Events Manager

Tuesday 11 November 2008

Running the Nairobi Marathon

En Français

On October 16th, a number of us who are based in Nairobi participated in the Nairobi Standard Chartered International Marathon. It's one of a series of races run in four cities around the world: Singapore, Mumbai, Hong Kong and Nairobi. The marathon was divided in categories of Full Marathon (42 kms), Half Marathon (21 kms), 10 km race, and family run (5 km).  A total of about 12,000 people participated; six Googlers, including me, ran the 21 km Half Marathon, which started outside the Nyayo Stadium and took us through the streets of downtown Nairobi, before looping back to the start. 



We trained for the marathon for a number of weeks before the race, meeting at the office at around 6:30 am in the mornings, and heading to the starting point. When the big day dawned, we arrived at the stadium about 5 minutes before the race began, all pumped up with energy, even though the agreement was that we'd run slowly, and together! The Half Marathon started at 7:20 am,  and what a marathon it became. Experienced runners were off and soon leading the pack and the rest of us, well, we just followed. The weather was magnificent: chilly with a few drops of rain...perfect weather for a marathon. The race snaked its way through the city and soon we were outside the urban centre and running along the Uhuru Highway, undoubtedly the most difficult part of the marathon. At the 10 km mark most runners were exhausted and began to walk.

The sight of Nyayo Stadium as we approached the finishing point was such as a relief to some of us runners who were now strolling,  as the marathon had really taken its toll on us. The first Googler, Aleem Walji, made it to the finishing line in 1hr, 58 minutes. The rest of us made it to the finishing line sometime later -- in fact, a whole hour later! Afterwards we all received medals for completing the race, and then we had lunch at a cool restaurant. Our bodies seriously ached in the following few days, but ultimately it was really good fun. The proceedings of the race went to charities across Kenya.

Posted by Paul Munene, Geographic Consultant, Google Kenya

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Courant le marathon de Nairobi

Le 16 octobre dernier, ceux d'entre nous basés à Nairobi avons participé au Marathon International Standard Chartered de Nairobi. Il fait partie d'une série de courses qui se déroulent dans quatre villes à travers le monde : Singapour, Mumbai, Hong Kong et Nairobi.

Le marathon était subdivisé en marathon complet (42 km), demi marathon (21 km), course de 10 km, et course familiale (5 km). Environ 12 000 personnes ont participé ; six Googlers, dont moi-même, avons couru le demi marathon de 21 km, dont le départ se situait à l'extérieur du stade Nyayo et qui nous a conduit à travers les rues du centre de Nairobi, avant de faire une boucle jusqu'au point de départ.

Nous nous étions entraîné pour le marathon plusieurs semaines avant la course, en nous donnant rendez-vous au bureau vers 6h30 du matin pour rejoindre ensuite le point de départ. Quand le grand jour arriva, nous étions au stade cinq minutes avant le départ de la course, remplis d'énergie, bien que nous nous étions mis d'accord pour courir lentement et ensemble. Le demi marathon commença à 7h20. Quel marathon ! Les coureurs expérimentés eurent tôt fait de mener le peloton, tandis que le reste d'entre nous, eh bien, suivait. Le temps était parfait : frais avec quelques gouttes de pluie... un temps parfait pour un marathon. La course parcourra les rues de la ville et nous étions bientôt en dehors du centre urbain, à courir le long de l'autoroute Uhuru, sans aucun doute la partie la plus difficile du marathon. A la borne des 10 km, la plupart des coureurs étaient épuisés et s'étaient mis à marcher.

La vue du stade Nyayo alors que nous approchions l'arrivée fut un tel soulagement pour ceux d'entre nous qui marchions, car la fatigue du marathon se faisait réellement sentir. Le premier Googler, Aleem Walji, a franchi la ligne d'arrivée en 1h58. Les autres d'entre nous ont terminé plus tard - à vrai dire, une heure après ! Ensuite, nous avons tous reçu des médailles pour avoir terminé la course, puis nous avons déjeuné dans un chouette restaurant. Nos muscles étaient bien courbaturés les jours suivants, mais au final, l'expérience était vraiment sympathique. Les bénéfices de la course ont été reversés à des oeuvres caritatives à travers le Kenya.

Par Paul Munene, Consultant Géographique, Google Kenya

Saturday 25 October 2008

Personalized gadgets for South Africa

En Français

Throughout Google, we're committed to delivering useful products to Internet users wherever they are located. And this of course extends to South Africa, where we have been working on personalized options for local users. This past May, for example, we invited South African designer Desre Buirski (who founded the brand Presidential Shirts and designed Nelson Mandela's famous silk shirts) to design a theme as part of the iGoogle International Artist launch. Take a look at Desre's beautiful African design.

One way to make your Internet experience more fulfilling is to personalize the page you start from. Many people like our classic homepage search box, but others prefer to have their own "stuff" on that page. Fair enough! iGoogle is a personalised version that is available from the top right-hand corner of your screen when you are on www.google.co.za. From here you can choose the gadgets you want to see, reflecting the activities you do the most online, such as checking currency rates, your Facebook messages and your email inbox. Need more info on iGoogle? 
Watch the following video:



You can now upload four South African gadgets onto your iGoogle page:

South African slang
South African proverbs
ZA Rand converter
HIV/TB heath advice

In other gadget news, we've been busy in South Africa these past few months. In July, we launched the first student gadget contest in the country. Two cities are competing, Johannesburg versus Cape Town, ie: Wits against UCT. Students are working hard on designing new gadgets and the winner will be invited to visit our engineering center in Zürich, Switzerland. We'll be sharing the results with you here in November.

And in August, we hosted the first ever Google gadget training event in Johannesburg aimed at the country's top 100 websites. For this event, we joined forces with local digital marketing agency Quirk, who delivered the training on gadgets. Delegates came up with over 30 gadget ideas, out of which three won. The prize was the new book on e-marketing written by Rob Stokes, CEO of Quirk. Some of the winning ideas:

(1) A social-crime report for neighbors to use by area, sharing info such as crime description, tips and warning
(2) A TV program gadget that offers users the option to find programs based on preferences and interests
(3) Standard Bank proposed a gadget that allows users to follow shares investment and consult their bank account.

The participants discussed lots of other great ideas, and we hope that the websites will make the most of this opportunity to promote their brand by creating innovative and useful gadgets. We think that will enhance the Internet experience of thousands of South Africans.

Quirk CTO Craig Raw also shared some tips on building iGoogle gadgets. For developers and marketers ready to begin the adventure, these tips were especially helpful:
- start small
- study existing gadgets
- use Firebug – a Firefox plug-in used to debug JavaScript
- keep it light
- test often

Finally, here are some more links to additional information that will be useful when you start creating your own gadget:
What are gadgets?
iGoogle Developer Forum
Promote Your Websites Content Using Gadgets



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A Google, nous voulons offrir des produits utiles à nos utilisateurs, quel que soit l'endroit ou ils se trouvent. Cela s'applique à l'Afrique du Sud, ou nous avons focalise nos efforts sur la possibilité de personnaliser des produits de façon locale. En May dernier, nous avons invité la styliste Desrée Bruiski (fondatrice de la marque "Presidential Shirts" et créatrice des célèbres chemises en soie portées par Nelson Mandela) a créer un look pour la campagne internationale "Les artistes iGoogle". Vous pouvez voir ici le superbe design Africain crée par Desrée.

Une façon de rendre votre expérience online encore plus agréable et utile est de personnaliser selon vos gouts la page d'ou elle commence. Beaucoup d'utilisateurs aiment la page classique et épurée de recherche Google, mais nombreux sont ceux qui préfèrent avoir leur "trucs" personnels sur cette page. Soit! iGoogle est la version personnalisable qui est disponible en un click, en haut a droite de votre écran quand vous vous trouvez sur www.google.co.za. A partir de la, vous pouvez choisir les gadgets que vous désirez vois sur votre page perso, des gadgets qui reflètent les activités ou informations qui sont les plus importants pour vous quand vous êtes en ligne. Par exemple: Il se peut que vous désiriez vérifier le taux de change de votre monnaie, ou garder un œil sur vos amis sur Facebook, ou sur vos emails. Envie de plus d'information sur iGoogle? Regardez le courte video.

Vous pouvez maintenant ajouter ces quatre gadgets Sud Africains à votre page iGoogle:
Le parler Sud Africain
Proverbes d'Afrique du Sud
Taux de change du Rand
SIDA/Tuberculose: conseils de sante.

En Juillet, Google Sud Afrique a lance le premier concours de création de gadgets auprès des étudiants Sud Africains dans le pays. Deux city se mesurent l'une a l'autre: Johannesburg (représentée par Wits) et Cape Town (représentée par UCT). Les étudiants sont en train de travailler dur sur le développement de nouveaux gadgets, le vainqueur sera invite à rendre visite à notre centre d'engineering a Zürich en Suisse. Les résultats seront annoncés fin Novembre.

En Aout, nous avons organisé le premier évènement éducatif sur les gadgets en Afrique du Sud, à Johannesburg. Cet évènement ou étaient invités les 100 plus importants sites internet du pays a été possible grâce à notre association avec Quirk, une agence de media digital locale, qui a pris en charge toute la partie éducative sur les gadgets. Nous avons demandé aux invités de générer sur le champ des idées de gadgets. Sur les 30 idées reçues, 3 ont remporte le prix gagnant: Le nouveau livre sur le E-Marketing écrit par Rob Stokes, le CEO de Quirk. Voici certaines bonnes idées de gadgets:

(1) gadget de prévention d’infractions dans le voisinage, ou les utilisateurs peuvent partager des informations sur celles dont ils sont au courant pour aider leurs voisins a se protéger,
(2) gadget sur les programmes Télé, qui offre aux utilisateurs la capacité de chercher des émissions selon leurs intérêts et préférences,
(3) Standard Bank a propose une idée de gadget qui permettrait aux utilisateurs de suivre le cours de leurs actions et de consulter en temps réel leur compte en banque.

De nombreuses idées ont été émises par les invites, et nous espérons maintenant que les sites Internet Sud Africains exploreront l'opportunité de promouvoir leurs marques a travers des gadgets utilises par les utilisateurs Sud Africains.

Le Directeur Technique de Quirk, Craig Raw, a mis fin a l’événement avec une présentation technique sur la création de gadgets, il a également partage plusieurs de ses 'trucs et astuces' tels que:
- Commencer petit et simple,
- Regarder les gadgets existants avant de commencer a créer le votre,
- Utilisez Firebug - un plug-in Firefox qui est utilise pour éliminer les virus dans du JavaScript,
- Garder la structure du gadget aussi 'légère' que possible,
- Tester souvent.

Finalement, voici quelques liens qui vous donnerons accès des informations très utiles quand vous êtes prêt a créer votre gadget:
- Qu'est ce qu'un gadget?
- Forum pour les createurs sur iGoogle
- Promouvoir le contenu de votre site Internet à travers des gadgets

Posté par Marion Gamel, Directrice Marketing, Google Afrique Du Sud

Saturday 18 October 2008

Information Poverty

En Français

Last Wednesday October 15th was Blog Action Day, an annual event that rallies blogs around the world to post about a common cause. This year's issue up for discussion is poverty, so we wanted to take a look at the relationship between access to information and social and economic development. The right information at the right time in the hands of people has enormous power. As someone who works for Google, I see evidence of this everyday as people search and find information they need to create knowledge, grow their business, or access essential services. But that applies primarily to the rich world, where economies are built on knowledge and presume access to information. What about the poor and developing countries where people are offline more than online? How do they benefit from the power of information?

In much of Sub-Saharan Africa, for example, rates of economic growth over the last decade have exceeded 5% every year. Despite this trend, poverty in many countries has remained constant. In Kenya, for example, the official poverty rate was 48% in 1981. According to the Kenya Poverty and Inequality Assessment released by the World Bank this year, 17 million Kenyans or 47% of the population were unable to meet the costs of food sufficient to fulfill basic daily caloric requirements. The vast majority of these people live in rural areas and have even less access to the information that impacts their daily life. Data on water quality, education and health budgets, and agricultural prices are nearly impossible to access.

Despite hundreds of millions of dollars spent each year on providing basic public services like primary education, health, water, and sanitation to poor communities, poverty in much of Sub-Saharan Africa persists. Where does this money go, who gets it, and what are the results of the resources invested? That’s where we find a big black hole of information and a lack of basic accountability. How do inputs (dollars spent) turn into outputs (schools, clinics, and wells), and, more importantly, how do outputs translate into results (literate and healthy children, clean water, etc.)?

We simply don’t know the answers to most of these basic questions. But what if we could? What if a mother could find out how much money was budgeted for her daughter's school each year and how much of it was received? What if she and other parents could report how often teachers are absent from school or whether health clinics have the medicines they are supposed to carry? What if citizens could access and report on basic information to determine value for money as tax payers?

The work of SODNET in Kenya is illustrative. They are developing a simple budget-tracking tool that allows citizens to track the allocation, use, and ultimate result of government funds earmarked for infrastructure projects in their districts. The tool is intended to create transparency in the use of tax revenues and answer the simple question: Are resources reaching their intended beneficiaries? Using tools like maps, they are able to overlay information that begins to tell a compelling story.

Google.org’s role, through our partners in East Africa and India, is to support, catalyze, and widely disseminate this kind of information to public, private, and civil society stakeholders that can use it to see more clearly what’s working, what’s broken and what are potential solutions. Leveraging platforms like Google Earth and Google Maps can help organizations disseminate their content widely and let people see and understand what was once invisible. Once information is visible, widely known, and easy to understand, we are betting that governments and citizens will pay more attention to leakages in the service delivery pipeline and feel empowered to propose solutions.

You can’t change what you can’t see. The power to know plus the power to act on what you know is the surest way to achieve positive social change from the bottom up. And when we consider the magnitude of resources invested in delivering public services each year, a 10% improvement globally would exceed the value of all foreign aid. We believe that is a bet worth making.

Posted by Aleem Walji, Head of Global Development Initiatives, Google.org

Cross-posted from the Google.org blog, Wednesday October 15th, 2008

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Pauvreté de l'Information

Mercredi dernier, le 15 Octobre, a été le Jour d'Action des Blogs, un évènement annuel qui rallie les blogs du monde entier pour une cause commune. Le sujet de cette année est la pauvreté, nous avons donc souhaité observer la relation entre l'accès à l'information et le développement social et économique. La bonne information au bon moment ouvre d'incroyables perspectives aux individus. En tant qu'employé Google, je constate ceci au quotidien quand les gens recherchent et obtiennent l'information dont ils ont besoin pour créer de la connaissance, des affaires, ou accéder à des services essentiels. Mais cela s'applique essentiellement au monde riche, là-même où l'économie est basée sur la connaissance et sous-entend l'accès à l'information. Qu'en est-il des pays en voie de développement où les habitants sont plus souvent déconnectés qu'en ligne ? Comment tirent-ils profit de la puissance de l'information?

Dans la majorité de l'Afrique Sub-saharienne, par exemple, le taux de croissance économique a dépassé les 5% par an au cours de cette dernière décennie. Malgré cette tendance, la pauvreté est restée constante dans plusieurs pays. Au Kenya par exemple, le taux officiel de pauvreté en 1981 était de 48%. D'après le Rapport sur la Pauvreté et l'Inégalité au Kenya diffusé par la Banque Mondiale cette année, 17 Millions de Kenyans (soit 47% de la population) étaient dans l'incapacité d'accéder à la nourriture nécessaire aux besoins énergétiques quotidiens. La grande majorité de ces personnes vivent dans les zones rurales et ont encore moins d'accès à l'information qui affecte leur vie quotidienne. Les données sur la qualité de l'eau, l'éducation et les budgets de santé, les prix des produits de l'agriculture sont quasiment impossibles à obtenir.

Malgré des centaines de millions de dollars dépensés chaque année pour fournir des services publics basiques tels que éducation, santé, eau, et hygiène aux communautés pauvres, la pauvreté persiste dans la majorité de l'Afrique Sub-saharienne. Où va cet argent, qui en bénéficie, et quels sont les résultats de ces ressources investies ? C'est là que nous faisons face à un veritable « trou noir » de l'information, et le manque de responsabilité basique. Comment les subventions (dollars dépensés) sont transformés en actions concrètes (écoles, cliniques, et biens), et, plus important encore, comment ces actions se traduisent en résultats (enfants instruits et en pleine santé, eau potable, etc.) ?

Nous n'avons simplement aucune réponse à la plupart de ces simples questions. Mais qu'en serait-il si nous pouvions ? Qu'adviendrait-il si une mère savait combien d'argent a été budgétisé pour la scolarité annuelle de sa fille, et quelle part réelle a été perçue ? Et si elle et d'autres parents pouvaient rapporter l'absentéisme des professeurs des écoles ou si les cliniques ont effectivement les médicaments qu'on est censé y trouver ? Ou encore si les citoyens pouvaient accéder et rapporter aux informations de base pour déterminer la valeur de l'argent en tant que contribuable ?

Le travail de SODNET au Kenya en est un parfait exemple. Ils développent un outil simple de gestion budgétaire qui permet aux citoyens de suivre l'attribution, utilisation et résultat final des fonds gouvernementaux affectés à des projets d'infrastructure dans leurs départements. Cet outil est conçu pour apporter la transparence sur l'exploitation des revenus fiscaux et répondre à la simple question suivante : Est-ce que les ressources allouées atteignent bien les destinataires prévus ? L'utilisation d'outils à base de cartes, auxquelles ils superposent de l'information raconte une histoire très instructive.

Le rôle de Google.org, au travers de nos partenaires en Afrique de l'Est et en Inde, est de supporter, catalyser, et distribuer largement ce type d'information au organismes publics ou privés qui pourront l'utiliser pour mieux identifier ce qui fonctionne, de ce qui ne fonctionne pas ainsi que des éventuelles solutions. Exploiter des plateformes telles que Google Earth et Google Maps peut aider les organisations à diffuser largement leur contenu et permettre aux gens de visualiser et comprendre ce qui était auparavant indisponible. Une fois l'information disponible, largement répandue, et facile à comprendre, nous parions que les gouvernements et citoyens seront plus attentifs aux fuites dans les canaux de distribution de services, et auront le sentiment d'être responsable pour proposer des solutions.

Vous ne pouvez changer ce que vous ne voyez pas. La force du savoir combinée à celle de l'action est la méthode la plus sûre d'apporter des changements sociaux bénéfiques à tous. Et lorsque nous considérons la magnitude des moyens investis dans les services publics chaque année, une amélioration globale de 10% dépasserait la valeur de toutes les aides provenant de l'étranger. Nous croyons que c'est un pari qui mérite d'être lancé.

Posté par Aleem Walji, Head of Global Development Initiatives, Google.org

Initialement posté sur le blog google.org, 15 octobre 2008

Wednesday 15 October 2008

BarCamp Africa




Over 100 technologists and social entrepreneurs descended on our Mountain View campus last Saturday, October 11th, for BarCampAfrica, an event designed to help strengthen Silicon Valley's ties to our continent. The event contributed to the 'Africa: Open for Business' narrative that gained prominence at TEDGlobal and at this year's BarCamps in Nairobi, Kampala, Mauritius, Madagascar and Johannesburg.

As participants set the agenda for the day, a clear consensus emerged that digital technology has a major role to play in addressing Africa's interconnected business and social challenges. Throughout the day, discussions of laptop distribution models were followed by conversations on the state of democracy on the continent, and talk of the future of mobile payments was followed by insights on mobile solutions for human rights monitoring.

Googlers Matthew Stepka and Andrew McLaughlin jointly opened the event and set the tone for the day. They discussed the challenges and opportunities of Google's work in Africa, and how both policymakers and philanthropists can pave the way for business leaders to succeed. A major theme on the morning panel was the return of centers of excellence to the African continent. Several panelists touched on the encouraging trend of "Re-aspora": Africans returning to their home countries. Others explored the model of the African Leadership Academy, a pan-African university dedicated to developing the next generation of African leaders.

The afternoon panels were equally rich, with projects showcasing the role of digital technology as a means to for-profit and non-profit ends. Guy Kawasaki led a panel on emerging technologies, which showcased exciting ventures from across the continent including KickStart, an entrepreneurial water pump project, AppAfrica, a thumb drive-based educational resource for web developers in East Africa, and Ushahidi, a mobile and Google Maps mashup that crowdsources human rights campaigns. One participant observed that global corporations should pay attention to African innovation because "if it works in Africa, it will work anywhere."

The projects featured on the Social Issues and Outlook panel demonstrated that mobile phones and the Internet can actually help keep government leaders accountable. These initiatives included Frontline SMS, a mass texting solution for NGOs which monitor elections and work to improve rural health care, and Global Girl Media which showed that a girl living in a Nairobi slum, using just a video thumbdrive, can communicate the sights, sounds and feelings of living through the violence of the 2007 Kenyan Presidential election. Towards the end of the day, participants announced Kelele: The African Bloggers Conference, which will take place in Nairobi next year from August 13-16th.

Like other recent barcamps, much of the collaboration and fun took place in impromptu sessions and gatherings throughout the day. To see more of the conversation, or to get involved, see BarCampAfrica's blog, twemes feed, wiki, photostream.

Posted by Josh Goldstein, Public Policy Research Intern

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BarCamp Afrique

Des ingénieurs et des entrepreneurs sociaux se sont rendus à notre campus de Mountain View samedi dernier, 11 octobre, pour assister au BarCampAfrica, un événement destiné à renforcer les liens entre la Silicon Valley et notre continent. Cet événement a contribué au récit "L'Afrique : Ouverte aux Affaires" qui fut mis en valeur à la conférence TEDGlobal et aux barcamps de cette année à Nairobi, Kampala, l'île Maurice, Madagascar et Johannesbourg.

Tandis que les participants définissaient l'emploi du temps de la journée, un consensus clair émergeait sur le fait que la technologie numérique a un rôle majeur à jouer pour répondre au monde interconnecté des affaires et aux défis sociaux de l'Afrique. Tout au long de la journée, des discussions sur des modèles de distribution d'ordinateurs portables furent suivies par des débats sur le niveau de démocratie dans le continent, et une conversation sur l'avenir des moyens de paiement mobiles fut suivie par des idées de solutions mobiles dans le domaine de la surveillance des droits de l'homme.

Les Googlers Matthew Stepka et Andrew McLaughlin ont débuté conjoitement cet événement et donné le ton de la journée. Ils ont évoqué les défis et les opportunités du travail de Google en Afrique, et de la façon par laquelle les hommes politiques et les philanthropes pouvaient contribuer au succès des entrepreneurs. Un thème majeur repris par le panel du matin était le retour de centres d'excellence sur le continent africain. Plusieurs membres du panel ont mentionné la tendance encourageante de la "re-aspora" : des africains qui reviennent au pays. D'autres ont exploré l'idée d'une académie du leadership africain, une université pan-africaine dédiée au développement de la prochaine génération de leaders africains.

Les panels de l'après-midi étaient également fournis, avec des projets mettant en valeur le rôle de la technologie numérique à des fins commerciales et non-commerciales. Guy Kawasaki a mené un panel sur les technologies émergentes, qui a révélé des start-ups passionnantes de tout le continent, comme KickStart, un projet entreprenarial de pompe à eau, AppAfrica, des ressources éducatives sur les clés à destination des développeurs Internet d'Afrique de l'Est, et Ushahidi, un mashup Google Maps et mobile qui recoupe les campagnes en faveur des droits de l'homme. Un participant a observé que les entreprises internationales devraient prendre note des innovations africaines, car "si cela marche en Afrique, cela marchera n'importe où."

Les projets mis en lumière lors du panel "Questions Sociales et Perspectives" ont démontré que les téléphones portables et Internet peuvent en fait aider à rendre davantage responsables les dirigeants politiques. Ces initiatives incluent Frontline SMS, une solution d'envois de SMS en masse pour les ONG qui surveillent les élections et travaillent pour améliorer les soins de santé en milieu rural, et Global Girl Media qui a prouvé qu'une fille habitant un bidonville de Nairobi pouvait communiquer, à l'aide d'une clé vidéo, les visions, les sons et les émotions de quelqu'un qui a vécu à travers les violences des élections présidentielles kényanes de 2007. Vers la fin de la journée, les participants ont annoncé la conférence Kelele : La conférence des Blogueurs africains, qui aura lieu à Nairobi l'année prochaine du 13 au 16 août.

Comme d'autres barcamps récents, la plupart de la collaboration et de l'amusement ont pris place lors de sessions et rassemblements improvisés pendant la journée. Pour en savoir plus, ou vous impliquer, rendez vous sur le blog de BarCampAfrica, le flux twemes, le wiki, ou le photostream.

Wednesday 1 October 2008

Let's Map Africa!

En Français

We are excited to announce that users may now build and edit maps in Map Maker for 45 new African countries, bringing the total number of countries covered in Map Maker to 122 countries, covering a population of 3 billion people. The Map Maker team is very excited about this announcement as Africa symbolizes our dream - to bring rich, deep map and local data to places that had none. Having good maps and local data spurs investment, local commerce and planning. Many NGOs also depend on a good base map to plan and execute their work. So much so that many NGOs have told us that they either cannot do their work without good maps or have to spend a lot of effort building these.

However, we need your help. With Map Maker, any user can create or edit map data including schools, buildings, local businesses, national parks, trails and safaris. If you have strong local knowledge, this is your chance to make a little difference.

We leave you with an image of Nairobi, Kenya, where Google MapMaker has been working on a project in partnership with a team of seven students from three Kenyan universities to create better online maps for this region.



Link to map

The countries enabled for editing today:
Algeria, Angola, Benin, Botswana, Burkina Faso, Burundi, Cameroon, Central African Republic, Chad, Congo, Côte d'Ivoire, Democratic Republic of the Congo, Djibouti, Equatorial Guinea, Eritrea, Ethiopia, Gabon, Gambia, Ghana, Guinea-Bissau, Kenya, Lesotho, Liberia, Libya, Malawi, Mali, Mauritania, Mauritius, Morocco, Mozambique, Namibia, Niger, Nigeria, Rwanda, Senegal, Sierra Leone, Somalia, Sudan, Swaziland, Tanzania, Togo, Tunisia, Uganda, Morocco (including Western Sahara), Zambia, Zimbabwe. And don't forget that you can also edit the several other countries in Africa that were made available in August: Cape Verde, Comoros, Madagascar, Reunion, São Tomé and Príncipe and Seychelles.

Cross posted with the Google Lat Long Blog

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Cartographions l'Afrique!

Nous sommes ravis d'annoncer que les utilisateurs peuvent désormais construire et modifier les cartes dans Map Maker pour 45 nouveaux pays africains, ce qui amène le nombre total de pays couvert par Map Maker à 122, couvrant une population de 3 milliards de personnes. L'équipe Map Maker est excité par cette annonce car l'Afrique est un symbole de notre rêve : proposer un contenu cartographique et local riche et précis à des endroits qui n'en avaient pas. Avoir de bonnes cartes et un contenu local encouragent les investissements, le commerce local et la planification. De nombreuses ONG dépendent également d'un bonne carte pour planifier et exécuter leurs missions. A tel point que de nombreuses ONG nous ont indiqué qu'elles ne pouvaient pas effectuer leurs missions sans de bonnes cartes ou devaient dépenser beaucoup d'énergie à les construire.

Cependant, nous avons besoin de votre aide. Avec Map Maker, tout utilisateur peut créer ou modifier une carte pour y inclure écoles, bâtiments, commerces, pacs nationaux, chemins de randonnée et safaris. Si vous avez de solides connaissances locales, ceci est votre chance pour contribuer et faire une petite différence.

Voici une image de Nairobi, au Kenya, où Google Map Maker a travaillé sur un projet en partenariat avec une équipe de sept étudiants de trois universités kenyanes pour créer de meilleures cartes interactives pour cette région.

Les pays qu'il est possible de modifier aujourd'hui incluent :
Algérie, Angola, Bénin, Botswana, Burkina Faso, Burundi, Cameroun, République Centrafricaine, Tchad, Congo, Côte d'Ivoire, République Démocratique du Congo, Djibouti, Guinée-Equatoriale, Erythrée, Ethiopie, Gabon, Gambie, Ghana, Guinée Bissau, Kenya, Lesotho, Libéria, Libye, Malawi, Mali, Mauritanie, Ile Maurice, Maroc (Ouest du Sahara inclus), Mozambique, Namibie, Niger, Nigéria, Rwanda, Sénégal, Sierra Leone, Somalie, Soudan, Swaziland, Tanzanie, Togo, Tunisie, Ouganda, Zambie, Zimbabwe. N'oubliez pas que vous pouvez aussi modifier de nombreux autres pays en Afrique, déjà possible depuis août: Cap Vert, Comores, Madagascar, Ile de la Réunion, Sao Tomé et Principe et Seychelles.

Posté egalement sur le blog Lat Long

Thursday 25 September 2008

South Africa's rubik's cube comes together

En Français



Our direct sales team in South Africa have all got one goal in common: To make our office environment one of the most fun, funkiest and essentially Googliest places in which to work.

The South African team is still relatively small, but our London office has provided us with many of the standard ‘Google’ paraphernalia seen in offices around the globe. The office started off as a plain white, very corporate-looking space, but with the help of iconic lava lamps on each desk, framed iGoogle themes and Google doodle art, balls and Google South Africa beanbags, we’ve managed to slowly but surely transform it into the busiest and most sought-after office in our building.

We often find passers-by peeking in through the frosted glass or knocking on the door, wanting to come in and have a look. Recently we had all the walls painted in the primary logo colours. We happen to like working in a Rubik’s Cube.

On my end of the office, we have our ‘Googlin Wall.’ This is our own individual element to our office that we are indeed very proud of! This was one drywall that we left white and have doodled and scribbled and drawn our ideas, snippets and quotes onto this space. (‘Google South Africa: Raising Clickthrough Rates Since 2008’) No other company has encouraged, never mind warmed to the idea, of its employees writing on the wall - but in line with the Google culture of thinking out of the box, and expressing one’s creativity, our magic markers have transformed this space into a wall which we will personally cut out and transport to a new space if we ever have to move.




Being located in sunny South Africa (and now that summer is on the way!), our office is a casual and close-knit environment. Having just been on a team-building week in Greece, we have begun to know each other very well, and as a result we work very well together. On high impact days, to take time out – we’ll give the Lego sets a crack, or race the remote-controlled cars on the balcony.

We don’t have our own personal canteen; we share one with the other offices in our building. But we’re still looked after and are very happy in our amazing environment. We look forward to our growth, with continued establishment of exciting cultural aspects and elements to our workplace.



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Le Rubik's cube sud-africain prend forme

Notre équipe de vente directe en Afrique du Sud poursuit un but : faire de notre environnement de travail un des endroits les plus amusants, les plus originaux et, en fin de compte, une ambiance de travail qui reflète le mieux la culture Google.

L'équipe sud-africaine est encore relativement petite, mais notre bureau de Londres nous a fourni tout un attirail d'objets vus dans les bureaux du monde entier et qui suivent le standard Google.

A ses débuts, le bureau était tout blanc et ressemblait à un bureau classique, mais avec l'aide de lampes à lave iconiques sur chaque bureau, de tableaux représentant des thèmes iGoogle et des logos Doodle art, de balles et des sacs à haricots de l'Afrique du Sud, nous avons réussi, lentement mais sûrement, à le transformer en un des bureaux les plus actifs et les plus convoités de notre immeuble.

Nous constatons souvent que les gens qui passent regardent à travers le verre dépoli ou frappent à la porte, désireux de venir jeter un coup d'oeil. Récemment, nous avons eu tous les murs peints dans les couleurs primaires de notre logo. Nous avons l'impression de travailler dans un Rubik's cube !

De mon côté du bureau, nous avons notre "mur Googlin". C'est une particularité de notre bureau dont nous sommes très fiers ! C'est une des cloisons laissées en blanc et sur laquelle nous avons fait figurer des Doodles, puis griffonné et dessiné nos idées ainsi que des citations ("Google Afrique du Sud : nous augmentons les taux de clics depuis 2008"). Aucune autre entreprise n'avait jusqu'à maintenant encouragé ses employés à écrire sur les murs - mais la culture Google nous incitant à penser différemment et à exprimer notre créativité, nos feutres marqueurs ont transformé cet espace en un mur que nous nous chargerons de découper nous-même et de transporter ailleurs si nous devons déménager.

Être situé sous le soleil de l'Afrique du Sud (et maintenant que l'été est sur le chemin !), notre bureau est décontracté et nous avons des liens personnels forts. Après avoir vécu une semaine d'activités de cohésion d'équipe en Grèce, nous avons commencé à nous connaître mieux les uns les autres et, par conséquent, nous travaillons très bien ensemble. Pendant les jours intenses de travail, pour se détendre, nous nous défoulons sur la boîte à légo ou jouons aux voitures télécommandées sur la terrasse.

Nous n'avons pas notre propre cantine car nous la partageons avec les autres bureaux de notre bâtiment. Mais on prend bien soin de nous et nous sommes très heureux dans notre environnement incroyable. Nous nous réjouissons de contribuer à la croissance de notre activité, tout en poursuivant la mise en place passionnante des aspects de notre culture d'entreprise et des éléments propres à notre lieu de travail.

Sunday 14 September 2008

New Mozambique page live

En Français
Em Português

We are excited to announce the launch of our homepage for Mozambique: www.google.co.mz. This launch marks our 26th country home page in Sub-Saharan Africa, and our third for Portuguese-speaking countries in Africa - the others being Angola and São Tomé and Príncipe.

As part of our ongoing commitment to Africa, we look forward to enabling more people to access the internet in their local language, and have better access to local content.



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Nous sommes heureux d'annoncer le lancement de notre page d'accueil pour le Mozambique: www.google.co.mz

C'est donc notre 26e page d'accueil nationale en Afrique sub-saharienne, et notre 3e pour les pays Africains de langue portugaise - Les autres étant l'Angola et São Tomé-et-Príncipe.

Dans le cadre de notre engagement pour l'Afrique, nous sommes impatients de permettre l'accès à internet à plus de personnes dans leur propre langue, et un meilleur accès au contenu régional.

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É com um enorme prazer que anunciamos o lançamento da página do Google em Moçambique: www.google.co.mz

Este lançamento marca a nossa 26ª página na África Subsaariana, e a nossa 3ª página dos países de língua portuguesa em África – sendo os outros Angola e São Tomé e Principe.

Como parte do nosso contínuo compromisso com África, estamos empenhados em permitir a mais pessoas o acesso à internet no seu idioma, bem como um melhor acesso aos conteúdos locais.

Friday 12 September 2008

Congratulations to the gadget competition winners!

En Français

In February, we launched the East Africa Gadget Competition that saw students from 10 universities in 6 East African countries compete in creating and developing the "next big thing". Following several other such competitions around the world, the East Africa contest was the first of its kind for those of us on the African continent. It gave East African students in computer science and IT the opportunity to demonstrate their skills, creativity to develop gadgets with content, feeds, features, looks and languages that reflect the needs of online users of today and tomorrow. Those students who combine outstanding creativity and exceptional technical skills could win great prizes.

Throughout the six months of the competition, all participating students received support via a dedicated email contact as well as monthly emails taking them step by step through how to create a gadget. Regardless of the technical difficulties we experienced, students kept working hard and submitted 41 fully functioning gadgets. Everyone who submitted a gadget have put a lot of time, effort, creativity and care into developing outstanding web applications. We're certain that the high quality of the gadgets and their relevance for local as well as international users will attract a high number of users not only in Africa but around the world.

Our East Africa Gadget Team was impressed by the quality and level of creativity of the submissions, which did not make it easy for our panel to select the winners. Still, only six entries could win one of the great prizes, and the judges have chosen these:

Overall Winner
Best Gadget UI
Best Local Content
Best Education-Specific
Best Procrastinator
Most Technically Sophisticated
  • Add Mad by Hussein Lightwalla (Strathmore University, Kenya) 

Here's a full list of winners and links to their gadgets. And the prize? Antoine will receive a US$600 stipend, and the five runners-up will receive a US$350 stipend.

Thanks to everyone for their hard work. We look forward to seeing what students will come up with next time!



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Félicitations aux Vainqueurs de la Compétition de Gadgets!

En février, nous avons lancé la compétition de Gadgets en Afrique de l'Est qui a fait concourir des étudiants de 10 universités dans 6 pays africains pour la création et le développement des meilleurs gadgets. Sur le même principe que plusieurs autres concours dans le monde, la compétition en Afrique de l'Est a été la première de son genre à se dérouler sur le continent africain. Elle a permis aux étudiants en informatique et nouvelles technologies d'Afrique de l'Est d'utiliser leurs connaissances et leur créativité pour développer des gadgets avec du contenu, des flux, des options, des apparences et des langues qui reflètent les besoins des internautes d'aujourd'hui et de demain - et de récompenser les étudiants qui combinent une créativité hors du commun avec des compétences techniques exceptionnelles par des prix.

Pendant les six mois de compétition, tous les étudiants participants ont reçus de l'aide via un contact par email dédié ainsi que des emails mensuels les guidant pas après pas vers la création d'un gadget. Malgré les difficultés techniques que nous avons expérimentées, les étudiants ont continué de travailler durement et ont soumis en tout 41 gadgets fonctionnant parfaitement. Tous ceux qui ont soumis un gadget ont donné beaucoup de temps, d'efforts, de créativité et ont pris soin de développer d'exceptionnelles applications web. Nous sommes certains que la haute qualité des gadgets et leur pertinence pour les populations locales ainsi que les utilisateurs internationaux vont attirer a un nombre élevé d'utilisateurs non seulement en Afrique mais aussi partout dans le monde.

Notre équipe gadget d'Afrique de l'Est a été très impressionnée par la qualité et le niveau de créativité des gadgets soumis, ce qui n'a pas rendu facile pour notre panel de sélectionner les gagnants. Cependant, uniquement six gadgets pouvaient remporter l'un de nos prix, et les juges ont choisi les gadgets suivants :

Premier Prix
Meilleure Interface Utilisateur
  • Charty Wizard de Murithi Borona (Université de Nairobi, Kenya) 
Meilleur Contenu Local
Meilleur Contenu Educatif
  • Alphabet Braille de Jean Claude Nzayisenga (Université Nationale du Rwanda, Rwanda)
Meilleur Potentiel
Le Plus Sophistiqué Techniquement
  • Add Mad de Hussein Lightwalla (Université Strathmore, Kenya) 

Vous trouverez ici la liste complète des gagnants et les liens vers leurs gadgets. Qu'en est-il des prix? Antoine remporte une bourse de US$600, et les 5 suivants reçoivent une bourse de US$350.

Merci à tous les participants pour leur travail acharné. Nous avons hâte de voir ce que les étudiants nous réservent pour la prochaine édition !