Over 100 technologists and social entrepreneurs descended on our Mountain View campus last Saturday, October 11th, for BarCampAfrica, an event designed to help strengthen Silicon Valley's ties to our continent. The event contributed to the 'Africa: Open for Business' narrative that gained prominence at TEDGlobal and at this year's BarCamps in Nairobi, Kampala, Mauritius, Madagascar and Johannesburg.
As participants set the agenda for the day, a clear consensus emerged that digital technology has a major role to play in addressing Africa's interconnected business and social challenges. Throughout the day, discussions of laptop distribution models were followed by conversations on the state of democracy on the continent, and talk of the future of mobile payments was followed by insights on mobile solutions for human rights monitoring.
Googlers Matthew Stepka and Andrew McLaughlin jointly opened the event and set the tone for the day. They discussed the challenges and opportunities of Google's work in Africa, and how both policymakers and philanthropists can pave the way for business leaders to succeed. A major theme on the morning panel was the return of centers of excellence to the African continent. Several panelists touched on the encouraging trend of "Re-aspora": Africans returning to their home countries. Others explored the model of the African Leadership Academy, a pan-African university dedicated to developing the next generation of African leaders.
The afternoon panels were equally rich, with projects showcasing the role of digital technology as a means to for-profit and non-profit ends. Guy Kawasaki led a panel on emerging technologies, which showcased exciting ventures from across the continent including KickStart, an entrepreneurial water pump project, AppAfrica, a thumb drive-based educational resource for web developers in East Africa, and Ushahidi, a mobile and Google Maps mashup that crowdsources human rights campaigns. One participant observed that global corporations should pay attention to African innovation because "if it works in Africa, it will work anywhere."
The projects featured on the Social Issues and Outlook panel demonstrated that mobile phones and the Internet can actually help keep government leaders accountable. These initiatives included Frontline SMS, a mass texting solution for NGOs which monitor elections and work to improve rural health care, and Global Girl Media which showed that a girl living in a Nairobi slum, using just a video thumbdrive, can communicate the sights, sounds and feelings of living through the violence of the 2007 Kenyan Presidential election. Towards the end of the day, participants announced Kelele: The African Bloggers Conference, which will take place in Nairobi next year from August 13-16th.
Like other recent barcamps, much of the collaboration and fun took place in impromptu sessions and gatherings throughout the day. To see more of the conversation, or to get involved, see BarCampAfrica's blog, twemes feed, wiki, photostream.
BarCamp Afrique
Des ingénieurs et des entrepreneurs sociaux se sont rendus à notre campus de Mountain View samedi dernier, 11 octobre, pour assister au BarCampAfrica, un événement destiné à renforcer les liens entre la Silicon Valley et notre continent. Cet événement a contribué au récit "L'Afrique : Ouverte aux Affaires" qui fut mis en valeur à la conférence TEDGlobal et aux barcamps de cette année à Nairobi, Kampala, l'île Maurice, Madagascar et Johannesbourg.
Des ingénieurs et des entrepreneurs sociaux se sont rendus à notre campus de Mountain View samedi dernier, 11 octobre, pour assister au BarCampAfrica, un événement destiné à renforcer les liens entre la Silicon Valley et notre continent. Cet événement a contribué au récit "L'Afrique : Ouverte aux Affaires" qui fut mis en valeur à la conférence TEDGlobal et aux barcamps de cette année à Nairobi, Kampala, l'île Maurice, Madagascar et Johannesbourg.
Tandis que les participants définissaient l'emploi du temps de la journée, un consensus clair émergeait sur le fait que la technologie numérique a un rôle majeur à jouer pour répondre au monde interconnecté des affaires et aux défis sociaux de l'Afrique. Tout au long de la journée, des discussions sur des modèles de distribution d'ordinateurs portables furent suivies par des débats sur le niveau de démocratie dans le continent, et une conversation sur l'avenir des moyens de paiement mobiles fut suivie par des idées de solutions mobiles dans le domaine de la surveillance des droits de l'homme.
Les Googlers Matthew Stepka et Andrew McLaughlin ont débuté conjoitement cet événement et donné le ton de la journée. Ils ont évoqué les défis et les opportunités du travail de Google en Afrique, et de la façon par laquelle les hommes politiques et les philanthropes pouvaient contribuer au succès des entrepreneurs. Un thème majeur repris par le panel du matin était le retour de centres d'excellence sur le continent africain. Plusieurs membres du panel ont mentionné la tendance encourageante de la "re-aspora" : des africains qui reviennent au pays. D'autres ont exploré l'idée d'une académie du leadership africain, une université pan-africaine dédiée au développement de la prochaine génération de leaders africains.
Les panels de l'après-midi étaient également fournis, avec des projets mettant en valeur le rôle de la technologie numérique à des fins commerciales et non-commerciales. Guy Kawasaki a mené un panel sur les technologies émergentes, qui a révélé des start-ups passionnantes de tout le continent, comme KickStart, un projet entreprenarial de pompe à eau, AppAfrica, des ressources éducatives sur les clés à destination des développeurs Internet d'Afrique de l'Est, et Ushahidi, un mashup Google Maps et mobile qui recoupe les campagnes en faveur des droits de l'homme. Un participant a observé que les entreprises internationales devraient prendre note des innovations africaines, car "si cela marche en Afrique, cela marchera n'importe où."
Les projets mis en lumière lors du panel "Questions Sociales et Perspectives" ont démontré que les téléphones portables et Internet peuvent en fait aider à rendre davantage responsables les dirigeants politiques. Ces initiatives incluent Frontline SMS, une solution d'envois de SMS en masse pour les ONG qui surveillent les élections et travaillent pour améliorer les soins de santé en milieu rural, et Global Girl Media qui a prouvé qu'une fille habitant un bidonville de Nairobi pouvait communiquer, à l'aide d'une clé vidéo, les visions, les sons et les émotions de quelqu'un qui a vécu à travers les violences des élections présidentielles kényanes de 2007. Vers la fin de la journée, les participants ont annoncé la conférence Kelele : La conférence des Blogueurs africains, qui aura lieu à Nairobi l'année prochaine du 13 au 16 août.
Comme d'autres barcamps récents, la plupart de la collaboration et de l'amusement ont pris place lors de sessions et rassemblements improvisés pendant la journée. Pour en savoir plus, ou vous impliquer, rendez vous sur le blog de BarCampAfrica, le flux twemes, le wiki, ou le photostream.
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