Tuesday, 30 November 2010

Tandaa: Spurring the growth of locally relevant digital content

En Français

"Tandaa" is a Swahili word which means "to spread out over a large area". The Kenya ICT Board and Google have partnered to host the Tandaa Local Content Forums - a series of day-long symposiums whose aim is to ignite the creation of local, relevant, digital content in Kenya through thought leadership, compelling presentations and practical workshops from experts in emerging technologies. Tandaa offers a unique opportunity to build skills, network and share new ideas on how to leverage technology to grow businesses, bring about social change, entertain and inform.

This year, the Tandaa team has reached over 600 people through its 4 symposiums with the following themes: Local Digital Content, Film and Animation, Technology for Social Good and Tools for Taking Your Company Online. With a great selection of speakers including Caroline Mbindu from AMREF, award winning film maker Wanuri Kahiu, Aly-Khan Satchu of Rich Managment, Mugo Kibati of Kenya's Vision 2030 and several Googlers, the symposiums have attracted participants from NGOs, web start-up companies, as well as the film and animation industry. In case you missed any of the symposiums, you can read past presentations here.

Copywriter Judith Kithaka speaking to Tandaa attendees

Music is part of everyday life in Africa - we sing or dance to the beat of music from dawn to dusk. As society transitions to the digital economy, it is reasonable to expect that music will continue to play a major part in the way we produce and consume content in Africa. For this reason, the next symposium will be targeted at the music industry and is scheduled for 10th December 2010 during the Kenya Music Week. If you are in the music industry and are interested to attend, please register here. To find out more, follow tandaaKENYA on twitter for up to date information on this upcoming event.



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Tandaa : Dynamiser les contenus numériques localement pertinents

« Tandaa », en swahili, signifie « s’étendre sur une vaste zone ». Le Kenya ICT Board et Google se sont mis d’accord pour accueillir des forums sur le contenu local Tandaa – une série de réunions d’une journée complète, visant à dynamiser la création de contenu numérique local, pertinent au Kenya via des leaders d’opinion, des présentations attirantes et des ateliers pratiques avec des experts des technologies émergentes. Tandaa offre une opportunité unique d’acquérir des compétences, de constituer des réseaux et de partager des idées sur les moyens de tirer parti de la technologie pour développer l’activité des entreprises, participer aux évolutions sociales, distraire et informer.

Cette année, l’équipe Tandaa a touché plus de 600 personnes au travers de ses quatre forums, sur les thèmes suivants : Contenu numérique local, Film et animation, Technologie et social, et Outils pour mettre votre entreprise en ligne. Avec un panel d’intervenants prestigieux, dont Caroline Mbindu de l’AMREF (association pour la médecine et la recherche en Afrique), le réalisateur primé Wanuri Kahiu, Aly Khan Satchu de Rich Management, Mugo Kibati de Kenya's Vision 2030 et plusieurs Googlers, les forums ont attiré des participants venus d’ONG, de start-up informatiques, ainsi que du monde du cinéma et de l’animation. Si vous avez manqué l’un de ces forums, vous pouvez prendre connaissance des présentations ici.

En Afrique, la musique est indissociable de la vie même – nous chantons ou dansons au rythme de la musique de l’aube au crépuscule. Avec le passage de la société à l’économie numérique, on peut raisonnablement penser que la musique va continuer à jouer un rôle majeur dans le mode de production et de consommation des contenus en Afrique. C’est pourquoi le prochain forum, programmé pour le 10 décembre 2010, sera ciblé sur l’industrie musicale durant la semaine Kenya Music Week. Si vous travaillez dans l’industrie musicale et que vous souhaitez y assister, vous pouvez vous inscrire ici. Pour en savoir plus, suivez tandaaKENYA sur twitter pour connaître les toutes dernières informations sur ce prochain événement.

Monday, 29 November 2010

Mapping Korogocho

En Français

At Google we want to make the world's information more accessible and useful to people all over the globe. This includes providing rich local geographic data because a high percentage of search queries have a geographic component. We have often spoken about Google Map Maker, a tool that allows people to help create a map by adding or editing features such as roads, businesses, parks, schools and more.

We are ever grateful to Kenya’s active online cartographers who have helped us build our maps from the ground up. Maps are valuable for users, governments, NGOs, universities and entrepreneurs alike, who can visualise, plan and market the areas and projects that they work on. The mapping session we held recently with 21 volunteers in Korogocho, one of the largest slum neighbourhoods in Nairobi, is one such example of cartographers literally putting their community on the map. We joined forces with Internews and a group of inspiring volunteers from the Korogocho community to build their very own maps.

Ahmed Abdi of Korogocho receives a certificate from Jacqueline Rajuai on completion of the mapping exercise
We only had two and a half days to achieve this task but the group was up to the challenge! After 2 hours of hands-on training on the mapping tools, we embarked on mapping Korogocho and, thanks to the amazing hardworking volunteers from the area, they have now added all sorts of rich information about Korogocho on Google Maps (Map Maker). See below for ‘before’ and ‘after’!

Korogocho before the mapping session

Korogocho after the volunteers mapped the area on Google Map Maker

During this productive mapping exercise, the group mapped social and health infrastructure that is important to their community, including water vendors, public toilets, bio-gas projects, schools, Adopt-a-Light locations and more.

This is the beginning of bigger things that Internews has in store for the area, and we are grateful that they approached us to help them take that first step towards an impressive new map of an important part of Nairobi. We are pleased to continually improve our maps functionality for Africa, and helping to make Africa's information readily available.



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Cartographier Korogocho

Chez Google, nous voulons rendre les informations sur le monde plus accessibles et plus utiles aux populations à travers la planète. Cette ambition suppose de disposer de données géographiques locales précises et fournies : de fait, un pourcentage conséquent de recherches comportent une part géographique. Nous avons souvent parlé de Google Map Maker, un outil qui aide à créer une carte en ajoutant aux images satellites des caractéristiques, comme des routes, entreprises, parcs ou écoles, ou en modifiant celles-ci.

Nous sommes très reconnaissants aux cartographes en ligne du Kenya qui nous ont aidés à constituer nos cartes à partir de zéro. Les cartes sont des outils inestimables pour les utilisateurs, gouvernements, les ONG, les universités et les entrepreneurs, qui sont à même de visualiser les zones sur lesquelles ils travaillent, et de planifier et d’affiner leurs projets en conséquence. La session de cartographie que nous avons organisée récemment avec 21 volontaires à Korogocho, un des plus grands bidonvilles de Nairobi, est un exemple de cartographes intégrant littéralement leur communauté à la carte. Nous avons collaboré avec Internews et avec un groupe de volontaires passionnés de Korogocho pour établir leurs propres cartes.

Nous n’avions que deux jours et demi pour mener cette tâche à bien, mais le groupe a su relever
le défi. Au bout de deux heures de formation pratique sur les outils de cartographie, nous nous
sommes lancés dans la cartographie de Korogocho et, grâce au remarquable travail des volontaires du secteur, toutes sortes d’informations utiles sur Korogocho ont été ajoutées sur Google Maps (Map Maker). Voir ci-dessous « avant » et « après » !

Au cours de cet exercice productif, le groupe a intégré les infrastructures sociales et sanitaires, essentielles pour leur communauté, dont les fournisseurs d’eau, les toilettes publiques, les projets de bio-gaz, les écoles, les lieux Adopt-a-Light, etc.

C’est le début de projets de plus grande envergure que prévoit Internews pour la zone, et nous
sommes heureux qu’ils se soient adressés à nous pour les aider à faire les premiers pas vers une
nouvelle carte de cette partie importante de Nairobi. Nous sommes heureux d’améliorer en permanence les fonctionnalités associées à la cartographie de l’Afrique, et d’aider à rendre
les données sur l’Afrique immédiatement disponibles.

Thursday, 25 November 2010

Connecting Problems with Solutions

En Français

On October 29th-30th, the first ever DevFest in Africa took place in Lagos, Nigeria. The goal of the two day event was to bring together mappers, programmers and Google tools to build solutions for the upcoming 2011 elections.

Day One featured sessions led by representatives from Google, Ushahidi and the World Bank, putting the code, data and maps in the grasp of software developers and mappers to create applications. Hands-on breakouts, interactive brainstorming sessions using Google Moderator, and a heated competition brought out the best of these Lagos techies. By the end of day one, 25 teams were ready to take on the apps/maps challenge.

Evans Arabu from the Nairobi Geo team explaining the Maps challenge

The goal of Day Two was to help the teams further their ideas and get out a prototype. The Google team aided groups in setting benchmarks for their projects. Hourly snippets of team progress drove teams to compete. At the end of 48 hours, we met two outcomes: first, our mapping teams completed 2458 edits with the top contributor, Mr. John Okolie making 401 additions to Google’s Maps in Nigeria and winning a new netbook; secondly, over two dozen energized teams were challenged to submit completed apps in the next 10 days.

200+ mappers and developers participated in the first-ever DevFest in Africa
Ten days later, the result: 200 mappers and developers brought over 60 ideas to the group, generated 25 apps and the overall prize went to the Alpha team, comprised of members Joshua Balogun, Chukwuemeka Afigbo, Kehinde Awolesu, and Ayodele Marcus. They successfully built an app that helps users locate polling stations near them by displaying the crowdsourced locations of the stations on a map, with mobile-friendly pages. We would also like to give honorable mentions to some solid contending apps: Vote-Naija and Rockclimber.

Congratulations to all the winners. Keep building apps, enhancing maps and watch out for more G-Africa action near you.



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A chaque problème sa solution

Les 29 et 30 octobre, le tout premier DevFest en Afrique s’est déroulé à Lagos (Nigéria). L’objectif de ces deux journées était de réunir des cartographes, des programmeurs et des outils Google pour élaborer des solutions en vue des prochaines élections de 2011.

Le premier jour, au cours de sessions pilotées par des représentants de Google, d’Ushahidi et de la Banque mondiale, le code, les données et les cartes ont été mis entre les mains des développeurs de logiciels et des cartographes pour créer des applications. Des sessions pratiques pour les cartographes et les développeurs de logiciel, sessions de brainstorming interactives avec Google Moderator et une compétition acharnée ont permis de faire émerger les meilleurs de ces fans de technique de Lagos. À la fin du premier jour, 25 équipes étaient constituées pour relever un défi d’applications/cartes.

Le deuxième jour, notre but était d’aider les équipes à creuser leurs idées pour obtenir un prototype. L’équipe Google a aidé les groupes à établir des grilles d’évaluation de leurs prototypes. La progression des équipes est vérifiée toutes les heures, les poussant à la compétition. À l’issue des 48 heures, nous avions obtenu deux résultats : tout d’abord, nos équipes de cartographie ont opéré 2458 changements, le principal contributeur, M. John Okolie effectuant 401 ajouts aux cartes Google au Nigéria et gagnant un nouveau netbook ; en deuxième lieu, plus d’une vingtaine d’équipes dynamiques ont été mises au défi de soumettre des applications finalisées dans les dix jours suivants.

Dix jours plus tard, le résultat était au rendez-vous: 200 cartographes et développeurs ont proposé plus de 60 idées au groupe et généré 25 applications. Le prix final a été décerné au groupe Alpha qui réunissait Joshua Balogun, Chukwuemeka Afigbo, Kehinde Awolesu et Ayodele Marcus. Ensemble, ils ont élaboré une application pour aider les utilisateurs à localiser les bureaux de vote à proximité de chez eux. Sur des pages adaptées aux téléphones portables, l’application repère les lieux indiqués en crowdsourcing sur une carte. Nous tenons aussi à citer certaines applications qui se sont distinguées par leur sérieux : Vote-Naija et Rockclimber.

Félicitations à tous les gagnants. Continuez à élaborer des applications, à améliorer les cartes et ne ratez pas les prochaines actions G-Africa près de chez vous.

Wednesday, 24 November 2010

In Africa, citizen cartographers tell their stories through their maps

En Français

(Cross-posted from the Google Lat Long Blog)

Earlier this month, we invited 60 of Google Map Maker’s top users in Africa to a community workshop in Nairobi. The event celebrated the contributions of exceptional mappers from across Africa who have collectively mapped hundreds of thousands of roads, cities and buildings, covering more than half the population in Africa. Participants from places including Burkina Faso, the Democratic Republic of Congo, Ethiopia, Gambia, Kenya, Morocco, Uganda, Rwanda, and Tanzania came together for this unique and inspiring opportunity to tell their stories, learn from each other, and share their mapping experiences using Google Map Maker. Check out the the Super Mappers Conference site for more details.


Meeting these passionate online mappers inspired all of us to think not only about creating maps to fulfill a practical need, but also about why we map and the deeply personal stories a map can tell. During these two days, we traveled to places that we perhaps may never see in person, but now mean more to us when we see them on a map because of the stories of mappers such as Noé Diakubama.

Noé grew up in the Democratic Republic of Congo (formerly Zaire), a country that has suffered many years at war. He is now living in Belgium and proud to give back to his country and people via mapping.

His mapping story began in Mbandaka, where he grew up. Noé liked to walk. Walking was about exploration and discovery. And Noé had many places to go, including secret spots to find wild vegetables and the EALA botanical garden. But without a map it was easy to get lost, so he could never wander too far from home. With his uncle, Noé sketched a small paper illustration of Mbandaka and its landmarks - that was his first experience with mapping! A few years later, he was surprised to find Mbandaka poorly represented on Google Maps; it only showed the city airport and two roads. Using Google Map Maker, he began mapping the roads by himself, and then asked friends and family to help him with adding local roads, their names and so on. Together, they created the first map ever of Mbandaka!


When I asked Noé why he maps, he replied:
Everyday, I spend hours and hours in front of my computer… mapping. My rewards include seeing a smile on the face of someone who sees for the first time the name of his/her street on the Internet, and knowing that someone benefited from the maps I created - kids journeying in the neighborhoods, business owners, or tourists. And ultimately, I want to see Africa being mapped and these maps made accessible to everyone. My message to other Africans: don’t be just a spectator, let’s all share our knowledge and start mapping cities and remote areas. We will soon, together, complete the mapping of our continent!
I’m used to seeing maps and thinking of them as a collection of edits or points of interests. It was an incredible feeling to personally meet and interact with the people behind the creation of the many dots on our maps. This was a gentle and welcome reminder that maps are not static. They’re alive, they’re personal, and they tell the stories of the people who create them. Mapping allows each of us to be a driving force for change and growth in both our immediate communities and the rest of the world. Let’s continue mapping, let’s stay connected through the Map Your World Community, and let’s continue doing amazing things together!



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En Afrique, des citoyens cartographes racontent leur histoire avec leurs cartes

Au début du mois, nous avons invité 60 des utilisateurs les plus assidus de Google Map Maker en Afrique à un atelier communautaire à Nairobi. L’événement visait à célébrer les contributions de cartographes exceptionnels venus de toute l’Afrique qui ont collectivement cartographié des centaines de milliers de routes, de villes et de bâtiments, couvrant plus de la moitié de la population africaine Les participants venus notamment du Burkina Faso, de la République démocratique du Congo, d’Éthiopie, de Gambie, du Kenya, du Maroc, d’Ouganda, du Rwanda et de Tanzanie se sont saisis de cette occasion unique pour raconter leur histoire, se découvrir mutuellement et partager leurs expériences de cartographes travaillant avec Google Map Maker. Pour en savoir plus, consultez le site the Super Mappers Conference.

Rencontrer ces cartographes en ligne passionnés nous a amené à penser qu’il fallait créer des
cartes non seulement pour répondre à un besoin pratique, mais aussi à réfléchir sur la finalité
de ces cartes et les histoires profondément personnelles qu’elles peuvent raconter. Au cours de ces deux jours, nous avons voyagé en des lieux que nous ne verrons peut-être jamais de nos yeux, mais qui ont désormais un sens pour nous lorsque nous les apercevons sur une carte, grâce à l’histoire des cartographes, tel que celle de Noé Diakubama.

Noé a grandi en République démocratique du Congo (ex-Zaïre), un pays qui a souffert de la guerre pendant de nombreuses années. Il vit à présent en Belgique et il est fier de rendre à son pays et à son peuple un peu de ce qu’il leur doit via la cartographie.

L’aventure commence à Mbandaka, où il a grandi. Noé aimait marcher. Marcher permet d’explorer et de découvrir. Et Noé connaissait beaucoup d’endroits où aller, dont des lieux secrets où trouver des légumes sauvages et le Jardin botanique d'Eala. Mais sans carte, il était facile de se perdre, de sorte qu’il n’osait se risquer trop loin de la maison. Avec son oncle,

Noé a dessiné une petite illustration de Mbandaka et de ses paysages – ce fut sa première
expérience de cartographie ! Quelques années plus tard, il a été surpris de trouver Mbandaka si peu représentée sur Google Maps : seuls l’aéroport de la ville et deux routes y figuraient. Avec Google Map Maker, il a commencé à tracer lui-même le plan des routes, puis il a demandé à des amis et des parents de l’aider pour y ajouter les routes locales avec leur nom, etc. Ensemble, ils ont ainsi créé la toute première carte de Mbandaka!

Lorsque j’ai demandé à Noé pourquoi il cartographiait, il m’a répondu :
Tous les jours, je passe plusieurs heures devant mon ordinateur… à cartographier. Ma récompense, c’est de voir le visage de quelqu’un s’éclairer lorsqu’il voit pour la première fois le nom de sa rue sur Internet, et de savoir que quelqu’un se sert des cartes que j’ai créées – des enfants séjournant aux environs, des hommes d’affaires ou des touristes. Enfin, j’ai envie que l’Afrique soit cartographiée et que les cartes soient accessibles à tous. Mon message aux autres Africains : ne soyez pas seulement spectateurs, partageons nos connaissances et commençons à tracer les plans des villes et de régions lointaines. Nous allons bientôt, ensemble, achever la cartographie de notre continent!
J’ai l’habitude de consulter des cartes et de les considérer comme un ensemble de points ou de sites intéressants. Cela m’a fait une très grande impression de rencontrer personnellement les gens qui sont à l’origine de si nombreux points sur nos cartes. C’est une excellente façon d nous rappeler que les cartes ne sont pas statiques. Elles sont vivantes, personnelles, et elles racontent l’histoire de ceux qui les ont créées. La cartographie permet à chacun de nous d’être un vecteur de changement et de croissance à la fois dans notre environnement immédiat et dans le monde entier. Continuons donc à cartographier, restons connectés via la Map Your World Community, et continuons à réaliser de grande choses ensemble!

Monday, 22 November 2010

Virtual site clinic, round one: Kenya

En Français

Welcome to the first round of the Virtual African Site Clinic! Our first guest, Eric, is a photographer based in Nairobi and owns the website http://egmgem.com/.

First things first: let’s find out whether his site is indexed by Google. A quick check using the site: operator shows that it has over 300 indexed pages; however, remember that this number is an estimate and you can get more granular stats about crawled and indexed URLs in your Sitemaps report in Webmaster Tools.

Titles, snippets and URLs are great ways to immediately give users an idea of the content of your pages, so it’s important to make them descriptive and accurate for each page. However, the site: search results page shows that many pages have the same title (“Eric Gitonga Photography - Nairobi, Kenya”). Moreover, page “snippets” -- the short text previews we display for each result -- in most cases do not accurately describe the content of the different pages and are often repeated. Take a look at the identical snippets and titles in the image below.


For example, a better title for the “Nature” page could be as simple as “Nature photography by Eric Gitonga.” What can you do to improve the quality of your snippets? Google uses several sources for snippets, including descriptive information in the description meta tag of a page, so don’t forget to use it! For example, see how the snippet of our Map Maker page is taken from its meta description.


Moving on to the next area of development, let’s take a look at one of the pages from the portfolio in the “/content/watu” subdirectory. Compared to a traditional user, Googlebot (the web crawling bot used at Google) has a more limited understanding of what this page is about because it cannot understand the contents of image files. You can see a page just like Googlebot sees it by signing up with Webmaster Tools and using the “Fetch as Googlebot” feature.

Webmasters can give many clues to Googlebot to make images easier to understand. Best practices to optimize images include:
  • use few, meaningful keywords rather than numbers in the image filename: for example, Flag_of_Kenya.svg provides better information than 05.jpg.
  • use great alternative (“alt”) text, which also improves accessibility for users of low-bandwidth connections who may not be able to see images on web pages.
  • captions, descriptive titles, and in general good context for your images provide search engines with useful information about their subject matter.
  • if your site is very image-oriented, it may make sense to create an Image Sitemap file.
In our previous example the lack of context and of alternative text, as well as a non descriptive filename, make it difficult for search engines to understand what the image is about.

As mentioned, a short post like this one may not cover all the areas of improvement for a site, but the good news is that we provide a lot of different ways to get help, so make the most of them! For all your questions, please don’t hesitate to post them in the Webmaster Help Forum or its companion site.



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“Site clinic” en ligne première partie: Kenya

Bienvenue sur le premier “Site Clinic” dédié aux webmasters africains! Notre premier invité, Eric, est un photographe basé à Nairobi et proprietaire du site http://egmgem.com/.

Pour commencer, allons voir si le site est indexé par Google. Une vérification rapide avec l'opérateur site: montre qu'il a plus de 300 pages indexées, mais n’oubliez pas que ce nombre n’est qu’une estimation et vous pouvez trouver des statistiques plus exactes sur les pages indexées dans la section Sitemaps des Outils pour les webmasters.

Les titres, les extraits ou “snippets” et les URL sont d'excellentes façons de donner immédiatement aux utilisateurs une idée du contenu de vos pages, il est donc important de les écrire de façon précise et descriptive pour chaque page. Cependant, les résultats de la recherche avec l'opérateur site: montrent que plusieurs pages ont le même titre ("Eric Gitonga Photographie - Nairobi, Kenya”). En outre, les extraits ou “snippets” - c'est-à-dire le texte que nous affichons pour chaque résultat - dans la plupart des cas, ne décrivent pas exactement le contenu des différentes pages et sont souvent répétés. Faites attention aux titres et aux snippets identiques dans l'image ci-dessous.

Par exemple, un meilleur titre pour la page "Nature" pourrait être aussi simple que «Photographie de nature par Eric Gitonga." Qu’est-ce que pouvez-vous faire pour améliorer la qualité de vos snippets? Google utilise plusieurs sources pour les snippets, y compris des informations descriptives dans la balise meta description d'une page, donc n'oubliez pas de l'utiliser! Par exemple, l'extrait de notre page Map Maker vient de sa meta description.

Passons au deuxième thème avec une des pages du sous-répertoire "/content/watu". Par rapport à un utilisateur traditionnel, Googlebot (le robot d'exploration web de Google) a une compréhension plus limitée de cette page parce qu'il ne peut pas comprendre le contenu des fichiers image. L'outil “Analyser comme Googlebot” dans les Outils pour les webmasters peut aider à comprendre comment votre site est présenté à Googlebot.

Les webmasters peuvent donner beaucoup d'informations à Googlebot pour rendre les images plus faciles à comprendre. Quelques conseils pour optimiser les images:
  • utilisez des mots-clés significatifs plutôt que des chiffres dans le nom du fichier image: par exemple, Flag_of_Kenya.svg donne plus d’information que 05.jpg.
  • utilisez du texte alternatif ("alt") efficace, qui améliore également l'accessibilité pour les utilisateurs d’une connexion à bas débit - qui ne sont pas forcément en mesure de visualiser les images contenues dans les pages web;
  • les légendes, les titres descriptifs, et un contexte pertinent pour vos images fournissent aux moteurs de recherche des informations utiles sur leur contenu.
  • si votre site a beaucoup d’images, vous pouvez ajouter des informations relatives aux images dans un fichier Sitemap
Dans notre exemple, il est difficile pour les moteurs de recherche de comprendre le contenu des images à cause du manque de contexte et d'un texte “alt”, ainsi qu’un nom de fichier non pertinent.

Comme mentionné précédemment, un petit post comme celui-ci ne peut pas couvrir tous les domaines de l'amélioration d'un site, mais nous offrons beaucoup de ressources d’aide aux webmasters, alors profitez-en! Pour toutes vos questions, s'il vous plaît n'hésitez pas à les poster dans le Forum d'aide aux webmasters ou à consulter notre site d’aide.

Friday, 19 November 2010

A Reflection from G-South Africa

En Français

Last week, over 1000 participants from all over South Africa joined Google in beautiful Cape Town for G-South Africa, our sixth G-event in Africa this year. It was two days where we shared our latest tech news and demonstrated how businesses can get the best from Google products. I was pleased to be part of the team of more than forty Googlers who went along to present, answer questions, and also learn about the challenges facing organisations in the region first hand from the attendees.

The questions came thick and fast from everyone - students, developers and business leaders - all keen to find out more about what we’re doing in South Africa. Googlers from around the globe swapped suggestions and ideas on products as wide ranging as Google Sites, Mobile advertising, and YouTube. I particularly enjoyed the panel sessions with entrepreneurs sharing their experiences and being very candid about some of the problems which many start-ups face.

Just last week Google announced voice search for South African English, Afrikaans and Zulu and many attendees were excited about having this feature available in their languages. It was intriguing to see first hand some Zulu speakers using it - getting their search results after a few words and clicks.

This was my first visit to South Africa and I’m very much hoping it won’t be my last. There are many opportunities and just as many complex issues to be tackled - from helping to improve the internet infrastructure to ensuring that it’s easy for everyone to use the web regardless of their level of literacy. It was great to see that so many people - inside and outside Google - are helping and I look forward to going back again soon to see how things change.



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Une réflexion sur G-South Africa

La semaine dernière, plus de 1000 participants de toute l’Afrique du Sud ont rejoint Google dans la superbe ville du Cap pour le G-South Africa, notre sixième G-événement en Afrique cette année. Pendant deux jours, nous avons partagé les toutes dernières informations techniques et montré comment les entreprises peuvent tirer le meilleur parti des produits Google. J’ai été heureux de faire partie d’une équipe de plus de quarante Googlers, qui n’ont eu de cesse de présenter les produits, répondre aux questions et aussi s’informer, de la bouche même des participants, sur les défis que doivent relever les entreprises de la région.

Les questions se sont succédé à un rythme rapide, posées par tout un chacun - étudiants, développeurs et chefs d’entreprise – tous désireux d’en savoir plus sur ce que nous faisons en Afrique du Sud. Les Googlers du monde entier ont échangé des suggestions et des idées sur des produits aussi divers que les Google Sites, la publicité sur portable ou YouTube. J’ai particulièrement apprécié les sessions avec des entrepreneurs partageant leurs expériences, se montrant parfois très naïfs sur les problèmes rencontrés par de nombreuses start-up.

Il y a tout juste une semaine, Google annonçait le lancement de Voice search en anglais sud-africain, afrikaans et zoulou, et de nombreux participants étaient très heureux de disposer de cette fonction dans leur langue. J’étais curieux de voir en direct certains zoulouphones l’utiliser – et obtenir le résultat de leur recherche avec quelques mots et quelques clics.

C’était mon premier séjour en Afrique du Sud et j’espère vivement que ce ne sera pas le dernier. Il existe de nombreuses opportunités et autant de questions complexes à résoudre – de l’amélioration de l’infrastructure Internet à la facilité pour chacun d’utiliser Ia toile, quel que soit son niveau d’étude. Il est formidable de voir tant de gens – de et hors de Google – se mobiliser et je suis impatient de revenir bientôt pour voir comment les choses évoluent.

Thursday, 11 November 2010

Broadcast yourself in Kiswahili & Amharic

En Français
Kwa Kiswahili
የቀረበው ትግርኛ


It’s not news that watching video online continues to be immensely popular here in Africa. A quick check on traffic measurement sites will tell you that YouTube is among the top 7 visited sites in Kenya, Tanzania, and several other African countries, despite challenges with low bandwidth internet in large pockets of the region.

But what makes it so compelling? It could be all the cute cat videos (like this one seen 34 million times!), the local music, or the local TV shows, but I suspect that it may have to do with the powerful idea of giving regular folk like you and me a platform to broadcast ourselves; the YOU in YOUtube.

But what about YOU in Sub Saharan Africa? It is a fact that many in Africa interact, learn, have fun and make music primarily in local languages. It’s natural that this should extend to their online lives - especially when viewing and uploading videos.

Today, whilst we are not yet lauching any new local domains, we are delighted to be adding YouTube to the growing list of services that are available in Kiswahili and Amharic.

So why use it in either of these new languages? Well, for a start, let’s be proud of our own, even when it means learning a word or two. Secondly, I have found using YouTube in Kiswahili serves as a great reminder of the rich Kiswahili content available on the platform. In addition, Ethiopian users will be able to use the virtual Amharic keyboard to search for and upload videos containing ethiopic text, eliminating a real barrier to broadcasting themselves.


Switching to your language is easy: at the bottom of the page, click on the link beside languages, then select Kiswahili or አማርኛ. So go ahead - Jitangaze! ራስዎን ያስራጩ! Broadcast yourself!

Note: in order to see Ethiopic characters, you will need to install an Ethiopic font on your computer. If you can't see the following ፊደል, then you don't have an Ethiopic font installed. Please install one of the options listed here for example.



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Diffusez vos propres contenus en Kiswahili et en Amharique

On sait déjà que regarder des vidéos en ligne continue d'être très populaire ici en Afrique. Une consultation rapide de l’audimat montre que YouTube figure parmi les 7 sites les plus visités au Kenya, en Tanzanie, et dans plusieurs autres pays africains, en dépit des difficultés liées à la faible bande passante dans de nombreux endroits dans la région.

Mais ce qui le rend si irrésistible? Cela pourrait être toutes les vidéos de chat mignon (comme celui-ci vu 34 million de fois!), la musique locale, ou les émissions de télévisions locales, mais au fond, je soupçonne que cela pourrait avoir à faire avec la puissante idée de donner aux gens ordinaires comme vous et moi une plate-forme de diffusion de nous-mêmes; YOU dans Youtube.

Mais qu'en est-il de YOU en Afrique subsaharienne? C’est un fait que pour beaucoup de gens en Afrique, échanger, apprendre, s'amuser ou produire de la musique se fait principalement dans les langues locales. Il est naturel que l’utilisation des langues locales devrait s'appliquer aussi à la vie en ligne - en particulier lors de la visualisation et diffusion de vidéos en ligne.

Aujourd'hui, bien que nous ne lançons pas, pour l’heure, de nouveaux domaines locaux, nous sommes vraiment heureux d’ajouter YouTube à la liste croissante de services qui sont disponibles en kiswahili et en amharique.

Alors, pourquoi utiliser YouTube dans une de ces nouvelles langues? Eh bien, pour commencer, soyons fiers de nos langues, même si cela signifie apprendre un ou deux nouveau mots. Deuxièmement, j'ai trouvé que l’utilisation de YouTube en kiswahili nous rappelle la richesse du contenu en kiswahili qui est disponible sur la plateforme. En outre, les utilisateurs Ethiopiens seront en mesure d'utiliser le clavier virtuel en amharique pour rechercher et diffuser des vidéos contenant du texte éthiopien, éliminant ainsi un obstacle réel à la diffusion d’eux-mêmes en ligne.

Le passage à votre langue est facile: au bas de la page, cliquez sur le lien à côté de langues, puis sélectionnez le Kiswahili ou አማርኛ. Alors allez-y - Diffusez vos propres contenus!



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Jitangaze kwa Kiswahili na Kiamhariki

Sio jambo jipya kuwa kutazama video kwenye wavuti ni maarufu sana hapa Afrika. Uchunguzi kidogo kwenye tovuti zinazoweka takwimu za tovuti zingine unaonyesha kuwa YouTube ni tovuti ya saba inayotembelewa zaidi nchini Kenya, Tanzania na katika nchi nyinginezo barani Afrika, licha ya changamoto za kasi ndogo ya wavuti katika maeneo makubwa barani.

Lakini ni kwa nini inavutia kiasi hiki? Labda ni zile video nzuri za paka (kama hii ambayo imetazamwa mara milioni 34), muziki, au vipindi vya kienyeji; lakini nadhini ni kwa sababu ya lile wazo zito la kuwapa watu wa kawaida, kama mimi na wewe, ukumbi wa kujitangaza; yaani YOU katika YouTube.

Na wewe je, uliye Afrika Kusini mwa Jangwa la Sahara? Ni dhahiri kuwa watu wengi Afrika hushirikiana, husoma, hujifurahisha na kutunga muziki pakubwa kwa lugha za kienyeji. Basi yafaa hali hii iwepo katika maisha yao kwenye wavuti pia - hasa katika kutazama na kupakia video.

Hivi leo, ijapokuwa hatuzindui vikoa vipya vya nchi katika eneo hili kwa sasa, tuna furaha kubwa kuiongeza YouTube kwenye orodha inayokua ya huduma zinazopatikana kwa Kiswahili na Kiamhariki.

Ni kwa nini uitumie YouTube katika mojawapo ya lugha hizi mpya? Kwanza kabisa, tujivunie chetu, hata inapokubidi ujifunze neno moja au mawili. La pili, nimegundua kuwa kutumia YouTube kwa Kiswahili ni njia nzuri ya kujikumbusha maudhui bora ya Kiswahili yanayopatikana kwenye tovuti hii. Isitoshe, watumiaji kutoka Ethiopia wataweza kutumia kibodi pepe ya Kiamhariki kutafuta na kupakia video zilizo na maandishi ya kiethiopia, jambo litakalowaondelea kikwazo kikubwa katika kujitangaza.

Kubadilisha lugha ni rahisi: kwenye sehemu ya chini ya ukurasa, bofya kiungo kilicho kando ya lugha, kisha chagua Kiswahili au አማርኛ. Haya basi - Jitangaze!



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በኪስዋሂሊኛና በአማርኛ ራስዎን ያስራጩ

ቪዲዮ በመስመር ላይ መመልከት እዚህ አፍሪካ ውስጥ በከፍተኛ ሁኔታ እየታወቀ እየሄደ መሆኑ አዲስ ዜና አይደለም። ምንም እንኳ በአህጉሩ ወስጥ ስፋት ያላቸው ቦታዎች ላይ አነስተኛ የበይነመረብ የማስተላለፍ መጠን መኖሩ ትልቅ ችግር ቢሆንም የደንበኞች ፍሰትን የሚለኩ ድረ ጣቢያዎች YouTube በኬንያ በታንዛኒያ እና ሌሎች በርካታ የአፍሪካ አገሮች በከፍተኛ ሁኔታ ከተጎበኙ 7 ድረ ጣቢያዎች ውስጥ አንዱ እንደሆነ ይናገራሉ።

ለመሆኑ እንደዚህ ሰፊ ሽፋን እንዲያገኝ ያደረገው ምንድነው? ሊሆኑ የሚችሉት የሚያምር ድመት የሚያሳዩ ቪዲዮዎች (ልክ እንደዚህ 34 ሚሊዮን ጊዜ የታዩ!) ፣ የአገርኛ ሙዚቃዎች ወይም የአገርኛ የቲቪ ትዕይንቶች ቢመስሉም እኔ ግን ታላቁ ሐሳብ እንደርሶና እንደኔ የሉትን ሰዎች ራሳችንን ለአለም ለማሰራጭት ምቹ መድረክ ከመክፈቱ ጋር የሚያያዝ ነገር እንዳለው አምናለሁ።

ለመሆኑ እናንተስ በአፍሪካ ከሰሃራ በታች ያላችሁት? በአፍሪካ ውስጥ ያሉ አብዛኞቹ በዋናነት የአገርኛ ቋንቋን በመጠቀም እንደሚገናኙ ፣ እንደሚማሩ ፣ እንደሚዝናኑ እንዲሁም ሙዚቃ እንደሚሰሩ የታወቀ ነው። ይህም ወደ መስመር ላይ ህይወታቸው መስፋት እንዳለበት እርግጥ ነው በተለይም ቪዲዮዎችን ሲያዩና ሲጭኑ።

ዛሬ አዲስ ብሔራዊ ጎራዎች ባንከፍትም በማደግ ላይ ባሉት በኪስዋሂሊ እና በአማርኛ የሚገኙ የአገልግሎቶች ዝርዝር ውስጥ YouTubeን በማካተታችን እጅግ ደስተኞች ነን።

ስለዚህ ለምን በእነዚህ ሁለት አዲስ ቋንቋዎች አንጠቀመውም? በመጀመሪያ የራሳችን በሆነ ነገር እንኩራ ፤ ይህም ሲባል አንድም ሆነ ሁለት ቃል መማር ብኖርብንም ማለት ነው። ሁለተኛ YouTubeን በኪስዋሂሊ መጠቀም በመሳሪያ ስርዓቱ (ፕላትፎርም) ለሚገኘው የኪሲዋሂሊ ይዘት ትልቅ ማስታወሻ ሆኖ አግኝቼዋለሁ። ከዚህ በተጨማሪ ኢትዮጵያዊያን ተጠቃሚዎች ለመፈለግ እና የአማርኛ ጽሁፍ ያላቸውን ቪዲዮዎች ለመጫን ምናባዊ የአማርኛ የቁልፍ ሰሌዳን በመጠቀም ራሳቸውን ለአለም ለማስተዋወቅ የነበረባቸውን ውሱንነት ማሰወገድ ይችላሉ።

ወደ ራስህ ቋንቋ ለመቀየር ቀላል ነው ፦ በገጹ ግርጌ ላይ ከቋንቋዎች ቀጥሎ የሚገኘውን አገናኝ ጠቅ አድርግና በመቀጠል Kiswahili ወይም አማርኛ የሚለውን ምረጥ። ስለዚህ ቀጥሉ ፤ ራስዎን ያስራጩ!

Friday, 5 November 2010

Voice Search arrives in South Africa

En Français
In Zulu
In Afrikaans

Here’s a test for the Zulu speakers out there: which is faster... saying “isolezwe iphephandaba” or typing the same query character-by-character? And for Afrikaans speakers, how about “tweebuffelsmeteenskootmorsdoodgeskietfontein”?

Speaking into the phone comes naturally to us, whilst typing is sometimes a challenge on a small screen. We developed Voice Search to make it easier for users to search the web simply by simply speaking their query. Voice Search was first launched to work in English, as it is spoken in the USA. Next, we added other variants of English and additional languages: Mandarin Chinese, Japanese, Korean, French, German, Italian, Spanish, Dutch, Czech, Polish, Russian and Brazilian Portuguese. Today, we’re pleased to announce that we’re launching in South African English, Zulu and Afrikaans.




We are excited about the development of languages for Africa. The launch of Zulu is our first effort in building Voice Search for under-represented languages. These languages are spoken by millions, but have little presence in electronic and physical media. They have received little attention from the speech research community, and we had to ‘start from scratch’ in developing them.

One of the challenges that we faced was the paucity of content on the web in Zulu in comparison to other languages that we developed. As a result, our Voice Search in Zulu is “work in progress”. Improvement will come from content creation efforts in Zulu and from the use of Voice Search by Zulu speakers.


Getting Started

How you get started with Google Voice Search depends on what kind of phone you have. If your phone runs Android 2.1 or later, and you have the Quick Search Box installed, all you have to do is tap the microphone icon to start a voice-powered search. If you don’t have the Voice Search application, you can install it from Android Market on your phone - search for ‘voice search‘. Once you install the application be sure to go to settings and choose the language that you wish to use.

To get Google Mobile App for iPhone, search for ‘Google Mobile App’ in the App Store or follow this link. iPhone users who already have Google Mobile App installed can enable voice search by selecting the new languages from the settings panel within the app.

Learn more at http://mobile.google.com and select your country in the footer.



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LA RECHERCHE VOCALE ARRIVE EN AFRIQUE DU SUD

Voici un test pour les zoulouphones : Qu’est-ce qui est le plus rapide... Prononcer “isolezwe
iphephandaba” ou saisir cette phrase lettre par lettre ? Et, pour les personnes parlant l’afrikaans, qu’en est-il de « tweebuffelsmeteenskootmorsdoodgeskietfontein » ?

Parler au téléphone est une démarche naturelle pour nous, alors que saisir un texte sur un petit écran peut parfois se révéler ardu. Nous avons développé Voice Search pour faciliter les recherches sur Internet : il suffit simplement de prononcer la question. Voice Search a été d’abord lancé en anglais américain. Nous avons ensuite ajouté quelques variantes d’anglais et d’autres langues : chinois mandarin, japonais, coréen, français, allemand, italien, espagnol, néerlandais, tchèque, polonais, russe et portugais brésilien. Aujourd’hui, nous sommes heureux d’annoncer que nous le lançons en anglais sud-africain, zoulou et afrikaans.

C’est avec enthousiasme que nous travaillons au développement des langues pour l’Afrique. Le
lancement du zoulou est la première étape de la construction de Voice Search pour les langues sous-représentées. Ces langues, pourtant pratiquées par des millions de personnes, sont peu présentes dans les médias électroniques et physiques. Elles n’ont pas suscité beaucoup d’intérêt de la part des communautés de recherche vocale et nous avons dû partir de zéro pour les développer.

Un des défis que nous avons eu à relever était la pauvreté des contenus Internet en zoulou, par
rapport aux autres langues que nous avons développées. Conséquence : notre Voice Search en
zoulou est « en cours de réalisation ». Les améliorations seront le fruit des efforts de création de contenus en zoulou et de l’utilisation de Voice Search par des locuteurs en zoulou.

Comment lancer Voice Search

La manière de démarrer Google Voice Search dépend du type de téléphone dont vous disposez.
Si votre téléphone utilise Android 2.1 (ou une version ultérieure), et que Quick Search Box est
installé, il vous suffit de cliquer sur l’icône microphone pour lancer une recherche vocale. Si vous ne disposez pas de l’application Voice Search, vous pouvez l’installer à partir d’Android Market sur votre téléphone – recherche pour « recherche vocale ». Une fois l’application installée, veillez à afficher la configuration et à choisir la langue que vous souhaitez utiliser.

Pour obtenir Google Mobile App for iPhone, recherchez « Google Mobile App » dans la boutique
App Store ou cliquez sur ce lien. Les utilisateurs d’iPhone qui disposent déjà de Google Mobile
App peuvent activer la recherche vocale en sélectionnant les nouvelles langues sur le panneau de
configuration de l’application.

Pour en savoir plus, consultez le site http://mobile.google.com et sélectionnez votre pays dans le bas de la page.



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UKUCINGA NGEZWI KUFIKILE ENINGIZIMU AFRIKA

Nakhu okokuhlola labo abakhuluma isiZulu: yikuphi okushesha kakhulu... phakathi kokusho ukuthi “isolezwe iphephandaba” noma ukukuthayipha uhlamvu ngalunye? Kulabo abakhuluma i-Afrikaans yikuphi okusheshayo ku-“tweebuffelsmeteenskootmorsdoodgeskietfontein”?

Ukukhuluma efonini kuyazenzakalela kithina, ngoba ukuthayipha kuvamise ukuba lukhuni kusiphequluli esincanyane. Ukucinga Ngezwi sikusungulele ukwenza lula ukusesha iwebhu ngokuvele ukhulume lokho ofuna ukukusesha. Ukucinga Ngezwi kwethulwa nge-English kuqala, ngoba ikhulunywa e-USA. Kwalandela ngokuthi sengeze ngezinye izinhlobo ze-English nalezi ezinye izilimi: i-Mandarin Chinese, i-Japanese, i-Korean, i-French, i-German, i-Italian, i-Spanish, i-Dutch, i-Czech, i-Polish, i-Russian kanye ne-Brazilian Portuguese. Namuhla sinentokozo yokumemezela ukuthi sethula nge-English yaseNingizimu Afrika, IsiZulu kanye ne-Afrikaans.

Sinenjabulo enkulu ngokuthuthukisela i-Afrika izilimi zayo. Ukwethula Ukucinga Ngezwi ngesiZulu isinyathelo sokuqala ekwakheni lolu hlelo ngezilimi ezincishwe amathuba. Lezi zilimi zikhulunywa yizigidi zabantu, kodwa zinendima encane kwezokusakaza okuphathekayo kanye nokwe-elektronik. Zishaywa indiva ngumphakathi ocwaninga ngokwenkulumo, ‘sikususe phansi’ ukuthuthukisa lezi zilimi.

Enye yezinselelo esabhekana nazo kwaba ngukwentuleka kokuqukethwe ngesiZulu kuwebhu uma kuqhathaniswa nezinye izilimi esisungule lolu hlelo ngazo. Ngalokho ke, Ukucinga Ngezwi esiZulwini “ngumsebenzi oqhubekayo”. Intuthuko izosukela emizamweni yokwakha okuqukethwe esiZulwini kanye nasekusetshenzisweni Kokucinga Ngezwi yilabo abakhuluma IsiZulu.

Ukuqalisa

Ukuqala Ngokucinga Ngezwi ku-Google kulele enhlobeni yefoni yakho. Uma ifoni yakho isebenzisa i-Android 2.1 noma entsha, futhi uma ufake Ibhokisi Lokusesha Ngokushesha lakwaGoogle, okudingeka ukwenze ukuthinta uphawu lwemakhrofoni ukuqala ukucinga ngezwi. Uma ungenalo uhlelo lokusebenza Ukucinga Ngezwi, ungalifaka eMakethe ye-Android efonini yakho - cinga ‘ukucinga ngezwi’. Uma usulifakile uhlelo lokusebenza qinisekisa ukuthi uya kuzilungiselelo ukhethe ulimi ofisa ukulisebenzisa.

Ukuthola Uhlelo Lokusebenza Lwamaselula ku-Google ku-iPhone, cinga ‘Uhlelo Lokusebenza Lwamaselula ku-Google’ Esitolo Sezinhlelo Zokusebenza noma ulandele leli xhumo. Abasebenzisi be-iPhone asebelufakile Uhlelo Lokusebenza Lwamaselula ku-Google bangavumela ukucinga ngezwi ngokukhetha izilimi ezintsha kwiphaneli yezilungiselelo ngaphakathi kohlelo lokusebenza.

Funda kabanzi ku-http://mobile.google.com ukhethe izwe lakho ngezansi.

- Amir Mané, Product Manager, Google Speech Technologies

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STEMSOEK MAAK SY OPWAGTING IN SUID-AFRIKA

Hier’s ’n toets vir Afrikaans- en Zoeloe-sprekendes daar buite: wat is vinniger... om [lugversorgingstelsel] te sê, of om dieselfde navraag letter-vir-letter te tik?

Stem was nog altyd die natuurlikste manier om met ’n foon om te gaan – om te praat, is tipies vinniger en makliker as om te tik. Ons het heel eerste Stemsoek vir Engels, Mandaryn en Japannees ontwikkel en later het ons Franse, Duitse, Italiaanse en Spaanse sprekers verwelkom. Nou is dit met genoeë dat ons dié funksie in Suid-Afrikaanse Engels, Zoeloe en Afrikaans bekend stel.

Ons doel is om Google Stemsoek na sprekers van alle tale te bring. Ons volg ’n gestrenge proses om elke nuwe taal of dialek by te voeg. Deur regstreeks met moedertaalsprekers in elke land te werk, bestee ons weke daaraan om gesproke uitdrukkings te versamel ten einde die spesifieke modelle te skep waardeur die diens aangedryf word. Ons helpers word gevra om populêre navrae in hul moedertaal in ’n verskeidenheid akoestiese toestande soos in restaurante, buite op besige strate en binne-in motors uit te lees. Ons konstrueer ook vir elke taal ’n woordeskat van meer as een miljoen herkenbare woorde. Dit is geen maklike takie nie, maar ons geniet dit geweldig.

Let daarop dat ons nuwe taalmodelle vir aksente vanuit Suid-Afrika ontwerp is. As jy een van dié tale met ’n ander aksent praat (byvoorbeeld, met ’n Britse of Amerikaanse aksent wanneer jy Engels gebruik), sal Stemsoek dalk nie so goed vir jou werk nie.

Beskikbaarheid

Hoe jy begin om Google Stemsoek te gebruik, hang af van watter tipe foon jy het. As jou foon Android 2.1 of ’n jonger weergawe gebruik, en as jy die “Quick Search”-blokkie geïnstalleer het, hoef jy bloot op die mikrofoon-ikoon te tik om ’n stemgedrewe soektog te begin. iPhone- en BlackBerry-gebruikers wat reeds Google Mobile App geïnstalleer het, kan stemsoek in werking stel deur die nuwe tale vanaf die instellingspaneel binne die app te kies.

As jy Android 2.1 of 2.2 het en jy het reeds die stemsoek-toepassing geïnstalleer, sal stemsoek vanaf later vandag begin om resultate vir Suid-Afrikaanse Engels, Zoeloe en Afrikaans op te lewer as jy op jou foon een van daardie tale uit die instellings vir taal en sleutelbord gekies het. As jy nie die stemsoek-toepassing het nie, kan jy dit vanaf Android Market op jou foon installeer – soek vir ‘voice search’. Hierdie toepassing is slegs beskikbaar in die Android Markets vir [Suid-Afrika]

Om Google Mobile App vir iPhone te kry, soek vir ‘Google Mobile App’ in die App Store of volg hierdie skakel. BlackBerry- en Nokia S60-gebruikers moet m.google.com besoek deur hul fone se blaaiers te gebruik.

Vind meer uit by http://mobile.google.com en kies jou land uit die voetreël.

Opgelaai deur Amir Mané, Product Manager, Google Speech Technologies