Thursday 30 September 2010

Get your website checked!

En Français

In the past few months I’ve had the great opportunity to meet a lot of webmasters from many African countries - starting from G-Ghana in Accra all the way to Kampala and Nairobi. Your interest in the area of search and web development has been simply amazing, and a great motivation to extend the scope of our conversations even further and bring them to the next level, hosting a regular appointment with webmasters on the Google Africa Blog.

The first initiative - the “Online Site Clinic” - is dedicated to African webmasters who would like to get some constructive advice on accessibility and recommendations that may lead to better visibility for their website in Google's search results. So if you’d like to get your website checked, don’t wait; submit it today!

To submit your website, please use this form and fill in all the required information. Your website must be verified in Google Webmaster Tools - registering is free and easy. Also, before submitting your website, make sure that it meets our Webmaster Guidelines.

The submission form will be available until October 9. Out of all submissions, we’ll select those sites that offer the greatest opportunities to highlight several areas of improvement. We’re looking forward to submissions from all African webmasters, no matter if the language of the website is English, French, Portuguese, Swahili, Amharic, etc.

Once again, don’t wait: submit your website and spread the word!



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Faites analyser votre site!

Au cours de ces derniers mois j'ai eu l'opportunité de rencontrer beaucoup de webmasters africains – à partir du G-Ghana à Accra jusqu'à Kampala et Nairobi. Votre intérêt dans la recherche organique et dans le développement des sites web a été tout simplement incroyable, et a offert une motivation supplémentaire pour continuer nos conversations à un autre niveau, avec un rendez-vous régulier avec les webmasters sur le blog de Google Afrique.

La première initiative – un « Site Clinic en ligne » - est dédiée aux webmasters africains qui souhaitent obtenir quelques conseils constructifs sur l’accessibilité de leurs sites et découvrir des techniques qui peuvent aider à améliorer la visibilité des sites web dans les résultats de recherche de Google. Alors si vous voulez que votre site web soit révisé, n’hésitez pas et soumettez-le dès aujourd’hui!

Pour soumettre votre site, veuillez remplir ce formulaire avec toutes les infos nécessaires. Votre site web doit être validé avec les Outils pour webmasters - l’inscription est gratuite et très facile! N’oubliez pas de vous assurer que votre site respecte nos Conseils aux webmasters.

Le formulaire de soumission sera disponible jusqu’au 9 Octobre. Parmi tous les sites reçus, nous allons sélectionner ceux qui offrent plusieurs possibilités d’améliorations. Nous espérons recevoir des sites web de tous webmasters africains, en français, anglais, swahili, etc.…C’est à dire, n’importe quelle langue parlée en Afrique.

Encore une fois, n’attendez pas: soumettez votre site et faites passer le mot!

Tuesday 21 September 2010

Google Code University: free access to quality computing tutorials

En Français

Two weeks ago at our G-Uganda and G-Kenya Developer Day events, members of the Google Education team talked about Google Code University (GCU), an online course repository containing educational material, tutorials, lecture slides and videos focused entirely on computer science. The content—developed by the best schools around the United States, and some of which is used to train Google engineers—is cutting-edge. And because everything is Creative Commons licensed, instructors can download the materials and reuse it in their classes. GCU is free to use and does not require sign-in.

At the Developer Days, the team highlighted new course content that's been added to GCU, including C++ and Android. They also focused on the Python course as many participants were using the language for the first time during the event. Initial feedback on the content was very positive and many participants walked away eager to learn more.

GCU has several discussion forums with topics like web security, Android and C++, where you can ask your fellow students questions, or post interesting articles and resources. So whether you attended a G-Africa event and want a refresher on Python or are just interested in learning about HTML5, be sure to take a peek at Google Code University.

We'd appreciate your input on new course content we should include—please visit our General Forum and let us know what you think!



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Google Code University : Accès gratuit à des didacticiels de qualité
sur l’informatique


Lors de nos Journées techniques développeurs G-Uganda et G-Kenya la semaine dernière, les
membres de l’équipe de formation Google ont présenté Google Code University (GCU), un référentiel de cours en ligne contenant du matériel de formation, des didacticiels, des diaporamas et des vidéos entièrement consacrés à l’informatique. Rédigé par les meilleures écoles des États-Unis et utilisé en partie pour former les ingénieurs de Google, le contenu de ce référentiel est à la pointe de l’industrie.Et comme tout est placé sous licence partagée Creative Commons, les formateurs peuvent télécharger le matériel pour le réutiliser dans leur cours. Les cours de GCU sont gratuits et accessibles sans inscription.

Lors de ces Journées, l’équipe a présenté de nouveaux contenus de cours ajoutés au GCU,
notamment C++ et Android. Le cours Python a également été évoqué car de nombreux participants
utilisaient ce langage pour la première fois. Les premiers retours sur le contenu ont été très favorables et de nombreux participants étaient impatients d’en apprendre davantage en partant.

Le GCU propose plusieurs forums de discussion sur des thèmes tels que la sécurité Internet, Android et C++, où vous pouvez poser des questions aux autres étudiants ou poster des articles et ressources intéressantes. Si vous avez participé à une journée G-Africa et que vous souhaitez mettre à jour vos connaissances sur Python, ou si vous avez juste envie d’en savoir plus sur HTML5, rendez-vous sur Google Code University.

Nous serions ravis d'avoir votre avis sur les cours que nous pourrions rajouter. N’hésitez pas à nous dire ce que vous en pensez sur le Forum général!

Wednesday 15 September 2010

Seet ko ci Google*: Google Search now available in Wolof

En Français

“Seet ko ci Google”*. This phrase in Wolof will now take on a whole new meaning with the launch of the Wolof Interface for Google Web Search in Senegal.

In our mission to organize the world’s information and make it universally accessible and useful, language localization plays a very important part, and the Google Africa team is proud to provide support for languages spoken by millions of African people. The ‘Google in Your Language’ initiative already supports many African languages and now we are taking a more hands-on approach: reaching out to interested universities and other volunteers in the community, training them on our translation tools and holding a fun workshop where volunteers can contribute their translations for Google Web Search in their language, with guidance from language moderators.

Group photo of the volunteers after the translation marathon
Credit for making the Google interface in Wolof available goes to 45 volunteers who, in collaboration with Google Senegal and the Universite Gaston Berger of Saint Louis in northern Senegal, gathered on campus for an exciting and productive translation marathon. Mohamadou El-Hadj Nguer, the professor who led the translation effort, is passionate about efforts to bring Wolof online, and believes that being able to search in Wolof will not only increase the value of writing in Wolof but also create an opportunity for growth of the language on the Internet.

As of today, “Google deggna Wolof” (Google understands Wolof). Check it out at www.google.sn


Posted by Angela Muigai, Localization Community Manager - Africa

* means “Search on Google” 

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Seet ko ci Google*: Google Search désormais disponible en Wolof

“Seet ko ci Google”*. Cette phrase en wolof prendra désormais un tout nouveau sens. En effet, avec le lancement de l’interface Wolof de Google Web Search il est désormais possible pour les Internautes du Sénégal d’accéder à Google en wolof pour effectuer leurs recherches.

Dans le cadre de notre mission d’organiser l’information à l’échelle mondiale et de la rendre utile et accessible, le support des langues joue un rôle très important. Google Africa est ainsi très fier d’avoir permis la prise en charge de plusieurs langues utilisées par des millions d’africains. Nous allons plus loin, avec l’initiative « Google in Your Language » (GIYL), en permettant d’étendre cette prise en charge à toutes les langues : GIYL offre à des volontaires passionnés par une langue comme le Wolof et soucieux de promouvoir sa présence en ligne, des outils pour traduire l’interface Google dans cette langue.

Tout le bénéfice de la disponibilité de Google en Wolof revient cependant à l’équipe de l’équipe de 45 volontaires (étudiants et experts) qui, grâce à la collaboration entre Google et l’Université Gaston Berger (UGB) de Saint Louis, se sont réunis au mois de juin sur le campus de l’UGB pour un marathon de traduction enthousiaste et productif. Mohamadou El-Hadj Nguer, enseignant à l’UGB, qui a dirigé les travaux de traduction, explique l’enthousiame des experts et des volontaires par leur envie de renforcer la presence du Wolof en ligne et leur conviction que la disponibilité de Google Search en Wolof va donner plus de raisons d’écrire dans cette langue et lui donner une opportunité de développement sur Internet.

Maintenant, comme vous pouvez le voir sur www.google.sn, “Google deggna Wolof” (Google comprend Wolof).



Poste par Angela Muigai, Localization Community Manager - Afrique

* signifie “Recherche sur Google” 

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Seet ko ci Google: Google Search jàppandi na léegi ci Wolof

“Seet ko ci Google”. Kàddug Wolof gii dina am léegi weneen maanaa ak doorug jokkalekaayu Google ci Wolof ngir Seet ci Web bi ak Google ci Senegaal.

Ci sunu sémbub dundal xam-xam ci àdduna sépp te fexe mu am njariñ te jàppandi, jumtukaayu làkk wi lu ci am solo la. Google Afrig bég na lool ci li mu fexe ba boole ci làkk Afrig yu ay milyoηi doomam di jëfandikoo. Dinanu egg sax fu gën a sore ak naalub « Google ci Saw Làkk » (GIYL), ngir jàppandal ko ci làkk yépp : GIYL day may ay way-coobarewu yu aw làkk soxal, niki Wolof, te bëgg mu suqaliku ci buum gi (Web bi), ay jumtukaay ngir ñu tekki jokkalekaay gu Google ci làkk woowu.

Njariñal jàppandig Google ci Wolof a ngi ñeel nag kuréel gu 45 way-coobare (Ndongook i way-màcc), yi nga xamne ci lonkoog Google ak Iniwersite Gaston Berger bu Ndar, ci bëj-gànnaaru Senegaal, ñoo ànd ci weeru suwe ca Iniwersite ba ngir amal liggéey bu am a am njariñ bii. Allaaji Mamadu Nger, jàngalekat ca UGB, di ki jiite liggéey bi, leeral na cawarte gi way-màcc yeek way-coobarewu yi am ci bëgg a dëgëral làkk Wolof ci Web bi ak seenug dogu ci ne jàppandig Google Ceet ci Wolof dina wone lu bari lu nu war a bindloo Wolof ak yeneen i njariñ yees mën a amee ci yëngu ci internet.

Bis niki tey, “Google dégg na wolof’. Doorees na ko ci www.google.sn


Tuesday 14 September 2010

Growing Local, Going Global with G-South Africa

En Français

A few weeks ago, I went on a tech scouting trip to South Africa to better understand the developer and entrepreneur environment. Over three days, I found the ideal platforms for my investigation - SeedCamp and Tech4Africa. As a mentor and participant, I was afforded the valuable opportunity to dive into an array of promising start-ups, I also got acquainted with some of South Africa’s front-running developers who are organizing Android hackathons, leading search engine marketing companies, creating asset-tracking systems with maps, and taking advantage of open source web tools.

Somewhat to my surprise, the hot topics at both events echoed the challenges and opportunities facing the rest of sub-Saharan Africa: the exponential rise of mobile, the demand for local content, the lack of a ubiquitous form of payment, the constraints of bandwidth, the desire to export technology, and the will to innovate locally. Our Google Africa team strongly believes that the solutions to these issues will be solved by the tech communities in Africa.

Our G-Africa initiative is aimed at putting the tools to solve local and global needs into the right hands. We are dedicated to empowering tech communities to build game-changing applications and businesses to harness the endless opportunities within reach.

With that in mind, we would like to an extend an invitation to CS students, developers and entrepreneurs to G-South Africa happening November 8th and 9th in Cape Town. Some of Google’s best and most engaging engineers, product managers, business managers and leadership will be speaking about Google’s open web and mobile technologies, so we hope to see you there. For more information and to register, check out the G-South Africa website.



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Réussir localement et grandir à l’international avec G-South Africa


Il y a quelques semaines, j’ai participé à un voyage de reconnaissance technique en Afrique du Sud pour mieux comprendre l’univers des développeurs et des entrepreneurs. Pendant trois jours, j’ai bénéficié de plates-formes d’investigations idéales - SeedCamp et Tech4Africa. En ma double qualité de tuteur et de participant, j’ai pu me familiariser avec toute sorte de start-ups prometteuses et faire connaissance avec quelques-uns des développeurs les plus pointus d’Afrique du Sud. J’ai notamment rencontré les organisateurs des hackatons Android, les dirigeants d’entreprises de formation destinée aux entreprises qui veulent utiliser les moteurs de recherche comme outil de marketing, les créateurs de systèmes de géolocalisation et des utilisateurs d’outils Internet open-source.

À ma grande surprise, les sujets les plus abordés lors des deux événements faisaient parfaitement écho aux défis et aux opportunités auxquels est confronté le reste de l’Afrique subsaharienne – l’explosion du nombre de téléphones portables, la demande de contenus locaux, le manque de moyens de paiement universel, les contraintes de bande passante, le souhait d’d’exporter de la technologie et la volonté d’innover localement. Notre équipe Google Africa est absolument convaincue que les solutions à ces problèmes seront apportées par les communautés techniques d’Afrique.

Notre initiative G-Africa vise à mettre dans de bonnes mains les outils requis pour faire face aux besoins locaux et globaux. Nous sommes attachés à donner aux communautés techniques les moyens de mettre en place des applications et des entreprises révolutionnaires, pour exploiter à fond les opportunités qui sont à portée de main.

Dans cette optique, nous aimerions inviter les étudiants, développeurs et entrepreneurs en informatique à G-South Africa, une manifestation qui aura lieu les 8 et 9 novembre au Cap. Quelques-uns parmi les meilleurs ingénieurs, directeurs produit, directeurs commerciaux et membres de la direction de Google interviendront sur les technologies mobiles et open-web de Google. Nous espérons vous y voir nombreux. Pour en savoir plus et/ pour vous inscrire, consultez G-South Africa website.

Tuesday 7 September 2010

Health Speaks translation project begins pilot in Swahili

En Français

People often search online in English for information on the flu or what vaccinations are recommended before they travel abroad. This information makes them more informed about their own health and more confident in making healthy decisions.

In East Africa, however, quality information that would help people improve their health is not as readily available online in Swahili. In fact, a 2004 Lancet article (.pdf) described the lack of access to health information as a “major barrier to knowledge-based healthcare in developing countries.” The authors noted that “among currently available technologies, only the Internet has the potential to deliver universal access to up-to-date healthcare information.”

To tackle this issue, we're introducing a new initiative called Health Speaks which aims to help increase the amount of high-quality online health information in local languages. Today we are beginning pilot projects to support community-based, crowd-sourced translation of health information from English into Swahili, Arabic and Hindi.

We encourage anyone with health knowledge who is bilingual in English and Swahili to take part in the pilot projects for Health Speaks. We have chosen hundreds of good quality English language health articles from Wikipedia that we hope will be translated with the assistance of Google Translator Toolkit, made locally relevant, reviewed and then published to the corresponding local language Wikipedia site. To further show our commitment to this cause, we have funded the professional translation of a small subset of these articles.

We are additionally providing a donation incentive to encourage community translators to participate. For the first 60 days, we will donate 3 cents (US) for each English word translated to the African Medical and Research Foundation (AMREF) for the pilot in Swahili, up to $50,000. This means that community translators will help their friends and neighbors access quality health information in Swahili, while also supporting a local non-profit organization working in health.

We will undoubtedly learn from these three pilots and iterate on our approach as we learn how best to engage volunteers and provide tools that allow for easy and accurate translation. We hope to one day expand the Health Speaks initiative to include high-quality health content from other publishers and other languages that suffer from a lack of health information online.

According to UNESCO, 90% of the content on the Internet exists in only 12 languages. Language should not be the barrier that denies millions of people worldwide the opportunity to improve their health with valuable health information. Please join us in the effort to break down part of that barrier.



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Projet-pilote de traduction en swahili Health Speaks

Les internautes cherchent souvent des informations en ligne en anglais à propos de la grippe ou des vaccinations nécessaires pour partir en voyage à l’étranger. Ces données contribuent à les tenir mieux informés sur leur santé et les aident à prendre les bonnes décisions.

Malheureusement, l’Afrique de l’Est ne dispose pas d’informations de qualité en ligne en swahili susceptibles d’aider les gens sur le plan de la santé. En réalité, un article 2004 Lancet article (.pdf) décrit « l’absence d’accès à l’information sur la santé comme un obstacle majeur aux soins liés à la connaissance dans les pays en voie de développement. » Les auteurs font remarquer que « parmi les technologies disponibles à l’heure actuelle, seul Internet a la capacité de fournir un accès universel à des informations médicales actualisées. »

Pour résoudre ce problème, nous lançons une nouvelle initiative appelée Health Speaks qui vise à augmenter la quantité d’informations de qualité sur la santé disponibles en ligne dans les langues locales. Nous démarrons actuellement des projets pilotes de crowdsourcing pour encourager la traduction par des internautes locaux d’informations sur la santé d’anglais en swahili, en arabe et en hindi.

Nous encourageons toute personne bilingue anglais-swahili, ayant des connaissances dans le domaine de la santé, à participer aux projets pilotes Health Speaks. Nous avons sélectionné des centaines d’articles médicaux de qualité dans Wikipedia que nous souhaitons faire traduire avec l’aide de Google Translator Toolkit, adapter au public local, vérifier et publier dans la langue locale correspondante du site Wikipedia. Pour démontrer notre engagement dans cette cause, nous avons financé la traduction d’une sélection de ces articles par des professionnels.

De plus, nous avons décidé de faire un don pour encourager les traducteurs locaux à participer. Pendant les 60 premiers jours, nous remettrons 3 cents (US) par mot anglais traduit à African Medical and Research Foundation (AMREF) pour le projet pilote en swahili jusqu’à concurrence de 50 000 $. Les traducteurs locaux aideront ainsi leurs communauté à accéder à une information de qualité sur la santé en swahili, tout en soutenant un organisme local à but non lucratif dédié à la santé.

Ces trois projets pilotes seront certainement riches d’enseignement et nous ferons évoluer notre approche à mesure que nous apprendrons comment impliquer davantage de bénévoles et fournir des outils qui permettent une traduction facile et précise. Nous espérons un jour étendre l’initiative Health Speaks à d’autres éditeurs de contenu de qualité sur la santé et à d’autres langues qui souffrent d’un déficit d’informations médicales en ligne.

Selon le site Selon l’UNESCO, 90% du contenu disponible sur Internet n’existe qu’en 12 langues. La langue ne doit pas être une barrière qui empêche des millions de personnes dans le monde d’être en meilleure santé faute d’informations médicales sérieuses. Veuillez consulter le site join us pour plus d’infos sur cette initiative.

Androiding in Nairobi

En Français

When the Google G-Kenya team arrived at Strathmore University’s Business School late on Sunday night, they discovered sagging tents and steel littering the courtyard, relics of an earlier conference. Team chief Bridgette Sexton, ably assisted by local wedding planners (yes, she uses wedding planners!) worked through the evening. By Monday morning, all the former remants had been removed and the campus was sparkling in bright Google blue, red and yellow, ready to receive more than 1200 developers, entrepreneurs and marketers ...

... and a few dozen Googlers from around the world.

Kenya is home to arguably Africa’s largest tech community, and Google’s largest Africa office. The Google Nairobi office did crucial work to launch Google Maps across the African continent as well as on Google Search and Translate in African languages.

Mobile is another African priority, and Google is working hard to provide mobile solutions for Kenyans. Excitement and even cheering filled the auditorium as Nelson Mattos, Engineering Vice President, announced the Kenyan launch of Android Market – an open distribution channel for mobile applications that allows developers to distribute their applications to users worldwide. From now on, Kenyan developers will be able to develop and deploy their apps just like an American, Japanese, French or any other developer.

Google's Joseph Mucheru and Nelson Mattos meet the press

The Android launch came on the same days as a local operator announced plans to sell an inexpensive Android powered phone in Africa. Let’s be clear – the timing was an accident and not coordinated with us. The Android mobile software operating system is free and open to all operators. Kenyan market leader Safaricom already offers a sophisticated, and pricey, Android model.

G-Kenya is the latest in a series of interactive forums and tech days that Google has been holding across Africa this year to promote innovation and business. For the full schedule, visit the G-Kenya website. Just last week, we rocked on the shores of Lake Victoria in Kampala, Uganda. Once we pack up in Nairobi on Wednesday evening, we’ll start planning for the next one in November in Cape Town. Get ready wedding planners!



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Androiding à Nairobi

Lorsque l'équipe de Google G-Kenya est arrivée à Strathmore University Business School dans la nuit de dimanche, ils ont découvert des chapiteaux affaisés, les vestiges d'un événement précédent. Chef de l'équipe, Bridgette Sexton et son équipe d’oragnisateurs de mariages (oui, elle utilise des organisateurs de mariage!) ont travaillé toute la soirée. Le lundi matin, tous les débris étaient enlevées et le campus était étincelant avec les lumineuses couleurs bleu, rouge et jaune de Google, prêt à recevoir plus de 1200 ingénieurs.

Le Kenya est sans doute un des leaders technologiques de l'Afrique sub-saharienne, et le plus grand bureau de Google sur le continent. Le bureau de Google à Nairobi a joué un rôle crucial dans le lancement sur le continent africain de Google Maps, Google Search ainsi que de la prise en charges des langues africaines pour les produits Google.

Le mobile est une autre priorité des pays africains et Google s'efforce de fournir des solutions mobiles pour les Kenyans. Un excitation palpable remplissait l'auditorium, lorsque Nelson Mattos, vice-président ingénierie, a annoncé le lancement d'Android Market au Kenya - un canal de distribution ouvert pour les applications mobiles qui permet aux développeurs de distribuer leurs applications aux utilisateurs du monde entier. A partir de maintenant, les développeurs du Kenya seront en mesure de développer et déployer leurs applications comme un Américain, Japonais, Français ou n'importe quel autre développeur. La nouvelle a produit des applaudissements dans une salle comble.

Le lancement d’Android Market est venu le même jour où un opérateur local a annoncé son intention de vendre un téléphone Android de qualité a un prix abordable. Précisons cependant que c’etait un accident de calendrier et l’annonce était non concertée. Le système d’exploitation mobile Android est libre et ouvert à tous les opérateurs. Leader sur le marché kenyan Safaricom offre déjà un modèle Android.

G-Kenya est la dernière d'une série de forums interactifs et des Tech Days que Google a tenu en Afrique cette année pour promouvoir l'innovation et les entreprises. Pour le programme complet, visitez le site Web du G-Kenya. La semaine dernière, nous étions à Kampala, en Ouganda et une fois que nous aurons fini à Nairobi mercredi soir, nous allons commencer à planifier la prochaine en Novembre à Cape Town. Que les organisateurs de mariage se tiennent prêt.

A Hackathon in Uganda

En Français

The excitement was palpable. Over two days, more than 650 eager Ugandan computer science students, professional software developers and IT entrepreneurs crammed the conference room at the Speke Resort along the shimmering shores of Lake Victoria, just north of the capital Kampala. They came to participate in the G-Uganda developer days. After listening to Google executives and engineers explain Google products, we challenged them to spend an afternoon creating their own application.

Google’s Nelson Mattos, Vice President of Product Management and Engineering for Europe, 
Middle East and Africa speaks about Google software applications and tools, at G-Uganda


G-Uganda was our first developer event of this scale in Uganda and it really highlighted the country’s potential. While less than 10 percent of the country’s population enjoys Internet access, this figure grew by 20 percent in 2009 and is expected to grow at double the rate this year. Most importantly, like in the rest of Africa, mobile interactivity is racing ahead of fixed line or PC connectivity: Uganda, with a population of a little more than 32 million, already supports more than nine million mobile subscribers.

We’re working hard to make our products relevant to Ugandans. Over the past two years, we’ve launched a series of SMS products, including health and agricultural tips. These allow Ugandans to “ask” a question and receive an answer over their mobile phone. We’ve also launched Google Trader, a service allowing traders to exchange information via their mobiles. Another priority is localizing the web: we’ve inaugurated search in five Ugandan languages, recently adding Luo and Runyakitara.

A software developer makes an inquiry during a break-out session at the G-Uganda conference which took place at the Speke Resort, Munyonyo. The conference, that brought together over 600 software developers, entrepreneurs and Computer Science students, was aimed at demonstrating Google's suite of products that are driving innovation in technology and business across the globe, and in Africa.


The hundreds of assembled Ugandan developers showed remarkable enthusiasm. In three hours after being challenged to write creative code in Python to run on Google App Engine, the finalists at our G-Uganda hackathon stood center stage, demonstrating their creations. Many of the ideas used not just App Engine, but also integrated with Google Maps, Translate and Calendar. Daniel Okalang did a demo of a guest book, with authentication and a privacy filter; Samuel Mugisha created a guest book with public and private messages and Joseph Kaizzi transformed the guest book concept into a full-fledged phone book, allowing users to email or phone contacts. Marc Charles Wanume and Eric Lwanga implemented a bilingual version of the guestbook, supporting English and Swahili interfaces. The audience selected two winners among nine finalists: an app that searches recent Twitter posts, per-user or anonymously; and a new microblog app where you can delete your posts. The winners received a new Android-powered Nexus One phone – and hopefully, the encouragement to develop many more exciting apps.



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Hackathon en Ouganda

L’excitation était palpable. Pendant deux jours, plus de 650 jeunes étudiants en
informatique, développeurs professionnels et entrepreneurs du secteur informatique
ougandais se sont tassés, fort impatients, dans la salle de conférence du Speke Resort,
sur les splendides berges du Lac Victoria, au nord de la capitale Kampala. Ils étaient
venus participer aux journées développeurs G-Uganda. Après avoir écouté les
ingénieurs et responsables de Google décrire les produits Google, ils ont été mis au
défi de passer une après-midi à créer leur propre application.

G-Uganda est notre premier événement de cette envergure pour les développeurs en
Ouganda et il a vraiment révélé le potentiel du pays. Bien que moins de 10 % de la
population bénéficie d’un accès à Internet, ce chiffre a augmenté de 20 % par rapport
à 2009 et on estime qu’il doublera cette année. Mais surtout, comme dans le reste
de l’Afrique, l’interactivité mobile arrive en tête devant la connexion fixe ou le PC :
l’Ouganda, avec une population légèrement supérieure à 32 millions d’habitants,
compte déjà plus de neuf millions d’abonnés au téléphone portable.

Nous nous efforçons vraiment de rendre nos produits utiles aux Ougandais. Au cours
de ces deux dernières années, nous avons lancé une série de produits SMS, dont
health and agricultural tips. Ceux-ci leur permettent de poser une question et de
recevoir la réponse sur leur portable. Nous avons également lancé Google Trader, un
service offrant la possibilité aux commerçants d’échanger des informations avec leurs
portables. L’une de nos priorités est également la localisation d’Internet : nous avons
inauguré une recherche en five Ugandan languages et ajouté récemment le luo et le
runyakitara.

Les centaines de développeurs ougandais rassemblés ont fait preuve d’un
enthousiasme exceptionnel. Trois heures après avoir été mis au défi d’écrire un
code créatif en Python qui fonctionne sur Google App Engine, les finalistes de notre
hackathon G-Uganda étaient sur la scène pour présenter leurs créations. La plupart
des idées n’utilisaient pas seulement App Engine, mais intégraient également Google
Maps, Google Traduction et Google Agenda. Daniel Okalang a fait une démonstration
d’un livre d’or avec filtre de protection de la vie privée et authentification ; Samuel
Mugisha a créé un livre d’or avec messages publics et privés ; et Joseph Kaizzi
a transformé le concept de livre d’or en répertoire à part entière, permettant aux
utilisateurs d’accéder aux coordonnées téléphoniques ou électroniques. Marc Charles
Wanume et Eric Lwanga ont mis en œuvre une version bilingue du livre d’or,
prenant en charge des interfaces en swahili et en anglais. Le public a sélectionné
deux vainqueurs parmi les neuf finalistes : une application de recherche d’articles
récents sur Twitter par utilisateur ou de façon anonyme ; et une nouvelle application
de microblog vous permettant d’effacer vos articles. Les gagnants ont reçu le nouveau
téléphone Nexus One Android et, bien sûr, un encouragement à développer de
nombreuses autres applications nouvelles.

Monday 6 September 2010

Connecting with Liberia


A small team of Googlers and friends at the Africa Governance Initiative recently completed a short scoping trip to Liberia.  The ending of the long and violent 1990s civil wars and subsequent democratic elections have paved the way for a rebuilding of the country and a new-found focus on the future.  Meeting the requirements of basic human needs - shelter, energy, transportation infrastructure etc. - is of course the priority at national level.  There is, for example no power grid in Liberia today.  However, there is also strong recognition at policy levels of the important role that technology - and internet connectivity in particular - can play in underpinning education, healthcare provision, economic development, employment and mobility in Liberia and across the broader region.

With the ACE under-sea communications cable due to reach the Liberian shores in 2012, it is key - as with similar cables around the African continent, that the potential of affordable internet access really does materialise for people on the ground in Liberia and across wider sub-Saharan Africa.  Securing these benefits will depend on open and competitive access to the landing station, fair interconnection arrangements, the roll-out of terrestial backbone infrastructure to end the current need for local-to-local communications to go via expensive international satellite routes, competing offers to users, and an enabling regulatory environment. 

The level of optimism around the benefits of the cable among senior Liberian policymakers, regulators,operators and aid agencies is striking, and the supporting policy intentions clear.  As always though, the devil will be in the detail of implementation.  Open connection policies, infrastructure deployment follow-through and credible alternatives for the user are what will ultimately drive competition, reduce access prices to the user and ensure that Liberians are able to enjoy the economic, social and innovation benefits of internet access that so many of us enjoy and that can help underpin the country’s stability and future prosperity.

Posted by Susan Pointer, Public Policy and Government Relations EMEA
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Le Libéria bientôt en ligne

Une petite équipe de Googlers et d’amis de Africa Governance Initiative a entrepris récemment un rapide voyage de repérage au Libéria. La fin des guerres civiles longues et violentes ayant sévi dans les années 1980 et les élections démocratiques qui ont suivi ont ouvert la voie à la reconstruction du pays et à une priorité nouvelle donnée à l’avenir. La réponse aux besoins premiers de la population (logement, énergie, infrastructures de transports) constitue évidemment une priorité nationale. À ce jour, il n’y a pas de réseau d’électricité au Libéria, par exemple. Cependant, au niveau politique, il y a une forte reconnaissance du rôle important que la technologie et Internet, en particulier, peuvent jouer pour soutenir l’éducation, la santé , le développement économique, l’emploi et la mobilité dans le pays et dans la région qui l’entoure.

Avec le câble de communication sous-marin ACE qui devrait atteindre les côtes du Libéria en 2012, il est essentiel, comme avec d’autres câbles identiques à la périphérie du continent africain, que le potentiel d’un accès abordable à Internet se matérialise pour les populations du Libéria et plus largement de l’Afrique subsaharienne. L’apport de ces avantages dépendra de plusieurs facteurs : un accès ouvert et concurrentiel à la station d’atterrissement ; des accords d’interconnexion équitable ; la généralisation d’une infrastructure réseau terrestre pour mettre fin à la nécessité de passer par des voies coûteuses sur les satellites internationaux pour les communications local-local ; des offres compétitives pour les utilisateurs ; et un environnement réglementaire favorable.

L’optimisme sur les avantages du câble chez les hommes politiques libériens expérimentés, les législateurs, les opérateurs et les agences d’aide au développement est surprenant, et l’intention de d’établir une politique en conséquence est également claire. Pourtant, comme toujours, les problèmes surgiront dans les détails de la mise en œuvre. Des politiques de connexion ouvertes, la continuité du déploiement de l'infrastructure et des alternatives crédibles pour l'utilisateur sont ce qui, en fin de compte, guidera la concurrence et réduira les prix d'accès pour le grand public. C’est également ce qui assurera aux Libériens de bénéficier des avantages économiques, sociaux et innovants de l'accès à Internet, que nous sommes très nombreux à apprécier aujourd’hui, et qui pourra asseoir la stabilité et la prospérité future du pays.

Poste par Susan Pointer, Public Policy and Government Relations (Europe, Moyen-Orient et Afrique)