Internet Freedom is not just a concern just for the West - it’s an essential issue for the entire world. The Freedom Online coalition now counts 18 governments from all over the world, including two in Africa, and, underlining this global reach, the Kenyan government this week hosted the second Freedom Online Summit in Nairobi. We supported this initiative, which brought together more than 400 stakeholders from governments, business and NGOs.
The Dutch government launched the Freedom Online coalition in the Hague last November. We held a Big Tent at the event, which featured, among other luminaries, US Secretary of State Hillary Clinton. She used the occasion to make a spirited defense of Internet freedom.
Kenya’s decision to hold the second summit demonstrates its role as a tech pacesetter. “I am proud to be the first African country to host this conference which confirms the country's leading role in adoption of information and communication technology in the region," said Information and Communications Minister Samuel Poghisio. More than 17 million Kenyans - a little more than a third of the total population, and the highest figure in sub-Saharan Africa - enjoy Internet access.
At Google, we believe free expression can be a spur for economic and social development. The more a country allows different voices to be heard, on and offline, the more knowledge it encourages citizens to obtain. This knowledge translates into innovation, economic growth, education and other signs of social success. During the conference, we showed some research demonstrating a strong correlation between the highest rankings in Internet freedom index and social and economic success.
The Freedom Online coalition continues to grow. On Friday, the Tunisian government joined. Moez Chakchouk, CEO of the Tunisian Internet Agency, announced the decision and vowed to host the coalition’s next summit in Tunis. We look forward to being present and contributing.
Posted by William Echikson, Head of Free Expression, Europe, Middle East and Africa
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Ancrer la liberté sur Internet en Afrique
La liberté sur Internet ne préoccupe pas seulement l'Occident - c'est une question majeure pour le monde entier. La coalition internationale Freedom Online compte désormais 18 États membres à travers le monde, dont deux en Afrique. Signe de cette portée mondiale, le gouvernement kenyan a accueilli cette semaine le deuxième sommet Freedom Onlineà Nairobi. Nous avons soutenu cette initiative, qui a réuni plus de 400 parties prenantes, issues des sphères gouvernementales, du monde des affaires et des ONG.
Le gouvernement néerlandais a lancé la coalition Freedom Onlineà La Haye en novembre dernier. Nous avons organisé un Big Tent à l'occasion de cet événement, qui a reçu, entre autres invités de marque, la secrétaire d'État américaine Hillary Clinton, laquelle a profité de l'occasion pour défendre avec ardeur la liberté sur Internet.
La décision du Kenya d'organiser le deuxième sommet affirme son rôle de pionnier du secteur de la technologie. “Je suis fier que nous soyons la première nation africaine à accueillir ce congrès, ce qui conforte notre position de leader dans l'adoption de technologies d'information et de communication dans la région," a déclaré Samuel Poghisio, le ministre de l'information et des communications. Plus de 17 millions de Kenyans - un peu plus du tiers de la population, et le chiffre le plus élevé de l'Afrique sub-saharienne - bénéficient d'un accès à Internet.
Chez Google, nous sommes convaincus que la liberté d'expression peut être un stimulant pour le développement économique et social. Plus un pays autorise différentes voix à s'exprimer, en ligne et hors ligne, plus les citoyens se sentent incités à obtenir davantage d'informations. Ces connaissances se traduisent par des innovations, de la croissance économique, de l'éducation et d'autres signes de réussite sociale. Au cours du congrès, nous avons présenté des études démontrant la forte corrélation entre le degré de liberté sur Internet et la réussite sociale et économique.
La coalition Freedom Online continue à progresser. Vendredi, c'est le gouvernement tunisien qui s'y est associé. Moez Chakchouk, PDG de l'Agence Tunisienne d'Internet a annoncé la décision et demandé à ce que le prochain sommet de la coalition se tienne à Tunis. Nous sommes impatients d'y participer.
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