Thursday, 6 June 2013

More than 15 African countries gather to explore the potential of TV White Spaces

To help bring more of Africa online, we often work with others: offering programs to get universities connected, supporting nonprofit innovators to increase engineering know-how, and partnering to test the use of TV White Spaces for broadband access in underserved areas.

TV White Spaces--unused channels in the broadcast TV spectrum--have the potential to help cover the last mile of Internet access. The last mile, or final connection to the user, is one of the biggest challenges to improving connectivity in Sub-Saharan Africa and other emerging markets. TV White Spaces are important because they offer available and underutilized spectrum (especially in less developed areas), allow signals to travel over long distances, and can enable a lower-cost alternative for broadband.

Many are catching on to the promise of TV White Spaces, developing technologies and advancing regulation to use this spectrum. Last week, 25 countries, 17 in Africa, joined the TV White Spaces & Dynamic Spectrum Africa Forum in Dakar, Senegal to discuss what’s next. The event, supported by Google, Microsoft, the Association for Progressive Communications, Afrinic, Senegal’s Minister of Communication, Telecommunications and Digital Economy and ISOC Senegal, focused on a few key themes that highlight the potential of the technology.
  • TV White Spaces are available. Using our spectrum database, we shared a visual of available white space in Senegal. There is more than 90 MHz available in Dakar alone, and more across the country--spectrum that could be used for broadband. Compared to the San Francisco Bay area, the number of available channels is remarkable.

  • Regulation can pave a path in Africa. ICASA, the South African regulator, plans to use trial outcomes to evaluate possible rules for use of the TV White Spaces. Other regulators showing interest in TV White Spaces for broadband included Senegal, as well as Malawi, where less than 9% of the population receives broadcast TV and many channels are left available. 
  • Developing new technologies for TV White Spaces. Radio manufacturers shared how TV White Spaces radios can talk to a database, which tells the radio which channels are available in a given geography. Adaptrum and Carlson presented the results of deployments of these radios, in Kenya and South Africa respectively. 
From trials to databases to radios, these efforts show that players are stepping up to use TV White Spaces to help enable Internet access in West Africa and beyond. That’s good news for a future where more people have access to the Web.
Alan Norman, Principal


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Plus de 15 pays africains réunis pour explorer le potentiel des espaces blancs télévisuels 

Pour aider les Africains à disposer d'un accès à Internet, nous travaillons souvent avec des partenaires : en offrant des programmes pour connecter des universités, en soutenant les innovateurs à but non lucratif pour développer les savoir-faire d'ingénierie et en créant des partenariats pour tester l'exploitation des espaces blancs télévisuels pour l'accès haut débit dans les régions sous-équipées.

Les canaux inexploités des espaces blancs télévisuels sont susceptibles d'aider à couvrir le "dernier kilomètre" pour l'accès à Internet. Le "dernier kilomètre", i.e. la connexion finale de l'utilisateur, est l'un des principaux défis pour améliorer la connectivité en Afrique sub-saharienne et dans d'autres marchés émergents. Les espaces blancs télévisuels sont importants car ils offrent du spectre disponible et sous-exploité (notamment dans les régions les moins développées), permettent aux signaux de transiter sur de longues distances et peuvent constituer une alternative à bas coût pour le haut débit.

Beaucoup s'enthousiasment pour les promesses des espaces blancs télévisuels, développant des technologies et proposant des réglementations pour exploiter ce spectre. La semaine dernière, 25 pays, dont 17 en Afrique, ont rejoint le Forum Afrique sur les Espaces blancs télévisuels et le Spectre dynamique à Dakar (Sénégal) pour discuter des étapes suivantes. L'événement, soutenu par Google, Microsoft, l'Association pour le Progrès des Communications, Afrinic, le ministre des communications, des télécommunications et de l'économie numérique du Sénégal et ISOC Sénégal, s'est concentré sur quelques thèmes majeurs qui mettent en valeur le potentiel de cette technologie.


  • Les espaces blancs télévisuels sont disponibles. À l'aide de notre base de données de spectre, nous avons partagé une visualisation des espaces blancs disponibles au Sénégal. Il y a plus de 90 MHz disponibles rien qu'à Dakar, et davantage dans le reste du pays --un spectre qui peut être exploité pour le haut débit. Comparé à la région de la baie de San Francisco, le nombre de canaux disponibles est impressionnant.
  • La réglementation peut ouvrir la voie en Afrique. L'ICASA, l'autorité réglementaire sud-africaine, prévoit d'utiliser les résultats des essais pour évaluer les règles possibles d'exploitation des espaces blancs télévisuels. D'autres autorités réglementaires ont manifesté leur intérêt pour les espaces blancs télévisuels exploités pour le haut débit, dont le Sénégal, ainsi que le Malawi, où moins de 9 % de la population reçoit les émissions de télévisions et où de nombreux canaux sont disponibles. 
  • Développer de nouvelles technologies pour les espaces blancs télévisuels. Les fabricants de radio ont échangé sur la façon de relier les radios exploitant les espaces blancs télévisuels à une base de données, laquelle indique à la radio les canaux disponibles dans une région donnée. Adaptrum et Carlson ont présenté le résultat du déploiement de ces radios, respectivement au Kenya et en Afrique du Sud. 
Des essais aux bases de données et aux radios, ces efforts montrent que les acteurs avancent dans l'exploitation des espaces blancs télévisuels pour le développement de l'accès à Internet en Afrique de l'Ouest et au-delà. C'est une bonne nouvelle : un avenir où de plus en plus de gens auront accès à Internet.

Publié par Alan Norman, Directeur

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