(cross-posted from the Google Lat Long Blog)
Last week, the World Bank and Google announced a collaborative agreement aimed at improving disaster preparedness and development efforts in countries around the world.
Under this agreement, the World Bank will act as a conduit to make Google Map Maker source data more widely and easily available to government organizations in the event of major disasters, and also for improved planning, management, and monitoring of public services provision.
The free, web-based mapping tool called Google Map Maker enables citizens to directly participate in the creation of maps by contributing their local knowledge. Once approved, those additions are then reflected on Google Maps and Google Earth for others around the world to see.
The Google Map Maker data includes detailed maps of more than 150 countries and regions, and identifies locations like schools, hospitals, roads, settlements and water points that are critical for relief workers to know about in times of crisis. The data will also be useful for planning purposes, as governments and their development partners can use the information to monitor public services, infrastructure and development projects; make them more transparent for NGOs, researchers, and individual citizens; and more effectively identify areas that might be in need of assistance before a disaster strikes.
Community mapper in Kampala, Uganda |
The World Bank Institute (WBI) and the Global Facility for Disaster Reduction and Recovery (GFDRR) will manage the World Bank’s involvement in the collaboration, building on previous joint mapping efforts. For example in April 2011, members of the Southern Sudanese Diaspora participated in a series of community mapping events organized by World Bank and Google to create comprehensive maps of schools, hospitals and other social infrastructure in this new country via Map Maker technology.
Google has enjoyed a strong relationship with World Bank for many years. As indicated by the World Bank Vice President for the Africa Region Obiageli Ezekwesili, “Today’s technology can empower civil society, including the diaspora, to collaborate and support the development process. This collaboration is about shifting the emphasis from organizations to people, and empowering them to solve their own problems and develop their own solutions using maps.”
Posted by France Lamy, Program Manager, Google.org
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La Banque Mondiale et Google unissent leurs efforts pour donner des moyens aux communautés de cartographie
La semaine dernière, la Banque Mondiale et Google ont annoncé un accord de collaboration destiné à améliorer l'anticipation des catastrophes et les efforts de développement de certains pays dans le monde.
Dans le cadre de cet accord, la Banque Mondiale fera le lien pour faciliter l'accès aux données source de Google Map Maker aux organisations gouvernementales en cas de catastrophes majeures, et améliorer la planification, la gestion et le contrôle de la mise à disposition de services publics.
L'outil de cartographie gratuit sur Internet, Google Map Maker, permet aux citoyens de participer directement à la création de cartes en apportant leur connaissance locale. Après validation, ces ajouts figurent alors sur Google Maps et Google Earth pour que d'autres dans le monde puissent les voir.
Les données de Google Map Maker comportent des cartes détaillées de plus de 150 pays et régions, et situent les emplacements d'écoles, d'hôpitaux, de routes, villages et points d'eau, qui sont cruciaux pour les sauveteurs lors de catastrophes. Ces données peuvent également être utiles à des fins de planification. Les gouvernements et leurs partenaires en développement peuvent les utiliser pour suivre des projets de développement et d'infrastructure, ainsi que les services publics. Ils peuvent également les rendre plus accessibles aux ONG, aux chercheurs et aux citoyens, et identifier plus efficacement les zones ayant besoin d'assistance avant la survenue d'une catastrophe.
Les organisations partenaires de la Banque Mondiale, dont les gouvernements et les agences des Nations Unies, peuvent contacter les bureaux de la Banque Mondiale pour obtenir l'accès aux données de Google Map Maker pour leurs différents projets. Les bureaux de la Banque Mondiale dans les pays suivants prévoient de piloter l'accord Map Maker : Kenya, Sud Soudan, Tanzanie, Sierra Leone, Ghana, Zambie, Nigeria, République Démocratique du Congo, Moldavie, Mozambique, Népal et Haïti.
L'Institut de la Banque Mondiale (IBM) et la GFGRR (Global Facility for Disaster Reduction and Recovery) gèreront l'intervention de la Banque Mondiale dans cette collaboration en utilisant les travaux de cartographie déjà réalisés. Par exemple, en avril 2011, des membres de la diaspora du Sud Soudan ont participé à une série de travaux de cartographie,organisés par la Banque Mondiale et Google, pour créer des cartes exhaustives des écoles, hôpitaux et autres infrastructures sociales de ce nouveau pays, grâce à la technologie Map Maker.
Google et la Banque Mondiale entretiennent une solide collaboration depuis plusieurs années. Comme le souligne Obiageli Ezekwesili, vice-président de la Banque Mondiale pour la région Afrique, « les technologies actuelles donnent à la société civile, y compris à la diaspora, les moyens de participer et d'apporter son soutien au développement. L'idée est de recentrer l'attention sur les populations plutôt que sur les organisations, et de donner aux citoyens les moyens de résoudre eux-mêmes leurs problèmes et de développer leurs propres solutions à l'aide de cartes »
Posté par France Lamy, responsable programmes, Google.org
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