Wednesday, 10 August 2011

No more Guinea worm in Ghana!

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(cross-posted from The Official Google.org blog)

We’re proud to celebrate with Ghana and the Carter Center the elimination of Guinea worm (dracunculiasis) from Ghana. Several years ago Google.org provided $1,450,000 in funding to the Carter Center to support the eradication of this debilitating, 3,000 year old disease from Ghana. It’s now been 14 months since the last case of Guinea worm was reported there.

This is a fantastic accomplishment that took a lot of hard work by the Carter Center, the Ministry of Health and their partners. There is no drug to prevent the infection of Guinea worm disease. Thus, our funds supported health education, as village-based health workers were trained to educate people about the origins of the disease and how to prevent it. In addition, these health workers mobilized to treat water sources, advocate for the provision of clean water, and monitor and contain cases of Guinea worm. With our funds in 2008, the Carter Center achieved an 85% reduction in cases--the largest year over year percentage reduction seen in the history of the program! Ghana now enters an additional surveillance period to achieve official World Health Organization certification of its success.

Guinea worm is caused by a roundworm that lays its larvae in water. When people drink the infected water the larvae hatch inside them and can grow up to 3 feet in length before painfully emerging through their skin about a year later. There’s no way of knowing where the worm will emerge. It’s not unusual for it to exit near the ankle or foot, which impairs the victim’s movement and ability to work. It’s a slow and painful process to remove the worm without breaking it off in the patient. Often, affected individuals seek relief by submerging their sores in water, at which point the worm releases new larvae into the water and the cycle continues.

In 1986, when the Carter Center began the campaign to eradicate Guinea worm, there were more than 3.5 million cases across 20 countries in Asia and Africa. Today, only 3 countries remain: South Sudan, Mali and Ethiopia. So far this year only 800 cases have been reported.

To date, smallpox is the only disease that’s been eradicated. The Carter Center is well on its way to making Guinea worm the second disease to be wiped off the earth.



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La fin de la dracunculose au Ghana!

Nous sommes heureux de fêter avec le Centre Carter et le Ghana l’élimination de la dracunculose (ver de Guinée) de ce pays. Il y a plusieurs années, Google avait apporté un financement de 1 450 000 $ au Centre Carter pour contribuer à l’éradication au Ghana de cette maladie débilitante, qui existe depuis 3 000 ans. Voici maintenant 14 mois que le dernier cas de dracunculose y a été signalé.

C’est une réalisation fantastique qui représente le travail considérable effectué par le Ministère de la Santé, le Centre Carter et leurs partenaires. Il n’y a pas de médicament qui empêche l’infection par le ver de Guinée. Nos financements ont contribué à la formation à l’hygiène grâce au travail des assistants médicaux dans les villages pour informer les gens sur les origines de la maladie et la façon de la prévenir. En outre, ces assistants se sont mobilisés pour contrôler et limiter les cas de dracunculose, traiter les sources d’eau et recommander la fourniture d’eau propre. En 2008, avec notre financement, le Centre Carter a réussi à réduire de 85 % le nombre de cas. Il s’agit du pourcentage de réduction le plus élevé observé d’une année sur l’autre depuis l’origine du programme. Le Ghana entre maintenant dans une nouvelle période de surveillance pour obtenir la certification officielle de son succès par
l’OMS.

Le ver de Guinée est un ver rond qui dépose ses larves dans l’eau. Lorsque les gens boivent l’eau infectée, les larves éclosent et peuvent se développer et atteindre 30 cm de long avant de ressortir par la peau environ un an après, en provoquant de violentes douleurs. Il est impossible de savoir où le ver ressortira et il n’est pas rare de le voir ressortir près de la cheville ou des pieds, ce qui gêne les mouvements de la victime et sa capacité à travailler. Le processus d’extraction du ver du patient, sans le rompre, est lent et douloureux. Fréquemment, les patients atteints cherchent à soulager leurs douleurs en immergeant leurs plaies dans l’eau, ce qui permet au ver d’y pondre de nouvelles larves et de perpétuer ainsi le processus.

Lorsqu’en 1986, le Centre Carter a débuté la campagne pour éradiquer la dracunculose, il y avait plus de 3,5 millions de cas dans 20 pays d’Afrique et d’Asie. Aujourd’hui, il ne reste plus que 3 pays touchés: le Sud Soudan, le Mali et l’Éthiopie. Cette année, il n’y a eu que 800 cas enregistrés.

À ce jour, la variole est la seule maladie à avoir été éradiquée. Le Centre Carter est sur la bonne voie pour faire de la dracunculose la seconde maladie rayée de la planète.

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