Sunday, 31 July 2011

Sawubona to South Africa’s new Google Student Ambassadors!

En Français

These seventeen young people - Bachelors, Masters and PhD students studying Architecture, Law, Chemistry, Computer Science, and more - all had something in common: a passion to use technology to empower their academic communities and to inspire students to help change their world for the better. These are the students we selected to become pioneer Google Student Ambassadors in South Africa (SA). They came from five SA universities - University of Cape Town, University of Pretoria, University of the Free State, Vaal University of Technology and Rhodes University.

On 18th July, Nelson Mandela Day, we brought the Ambassadors together in Johannesburg, for a 2-day orientation and team-building program. The Google SA team trained them on various products - from Mobile, Google Apps for Education, Translation Toolkit, to Search for Educators. Event planning sessions helped prepare them for a fun year of Googley campus events ahead. The following day, they attended their first official event as Ambassadors - Google Engage for advertising Agencies, alongside over 400 attendees.

The SA Google Student Ambassadors at the Orientation program in Jo’burg

Ambassador Wanga Mbasa, a Mechanical Engineering Student at University of Pretoria, said that the Mandela Day was the perfect starting point for the Ambassador program because of the opportunity for this very diverse group of people to share ideas and experiences. Wanga said the knowledge gained from the Google SA team, especially about projects like Umbono, has inspired him to ensure that he brings change and sustainability to his campus during his time as an Ambassador.

Happy days! They each went home with a Samsung Galaxy Android phone donated by Samsung

So, what will the Ambassadors be doing over the next year? They’ll be holding events on campus to help raise awareness about the internet, Google technologies and opportunities that Google provides for the academic community. For Gerald Nondia, an Information Technology student at Vaal University of Technology, the Ambassadors’ mission will be to pass their newfound knowledge to fellow students, first by promoting web technologies and second, by teaching and training students on how to use these technologies. For example, Matthew Boswell, a Computer Science & Information Systems student at Rhodes University, said that learning about Google Docs has changed his whole perspective on how to approach group assignments and, with the Android phone, he’ll put his new knowledge into practise.

The most exciting moment was at the end of the orientation, after an Android training and demo session, when we surprised the new Ambassadors with a box full of Samsung Galaxy Android phones donated by Samsung SA for them to keep! They couldn’t believe their eyes, as one Ambassador shouted “Happy days are here, happy days are here!”

Earlier in the year, we launched the Student Ambassador program in Ghana and Nigeria selecting 47 Ambassadors from 13 universities to serve as our Ambassadors for 2011-2012 term. To learn more about the Ambassador and other university programs, visit http://www.google.com/africa/universityprograms/

Happy days South Africa!



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Sawubona aux étudiants ambassadeurs Google en Afrique du Sud!

Ces dix-sept jeunes étudiants en licence, master et doctorat d’architecture, de droit, de chimie, d’informatique et autre, ont tous un trait commun: une passion pour la technologie qui donne plus de moyens à la communauté universitaire et incite les étudiants à rendre le monde meilleur. Il s’agit des étudiants que nous avons sélectionnés pour devenir les premiers ambassadeurs Google en Afrique du Sud et qui sont issus de cinq universités d'Afrique du Sud: Université du Cap, Université de Pretoria, Université de l'État-Libre, Université de technologie de Vaal et Université de Rhodes.

Le 18 juillet, lors de la Journée internationale Nelson Mandela, nous avons réuni ces ambassadeurs à Johannesburg dans le cadre d’un programme d'orientation et de team-building de 2 jours. L’équipe Google Afrique du Sud les a formés sur différents produits: mobile, Apps Google pour l’éducation, boîte à outils pour la traduction et recherche pour les enseignants. Les sessions de planification événementielle les ont préparés à une année divertissante et riche en événements Google sur leur campus. Le second jour, ils ont assisté à leur premier événement officiel en tant qu’ambassadeurs, à savoir «Google Engage pour les agences de publicité», devant un public de 400 personnes.

L’ambassadeur Wanga Mbasa, étudiant en ingénierie mécanique à l’Université de Pretoria, a déclaré que la Journée internationale de Nelson Mandela était un point de départ parfait pour le programme Ambassadeur parce qu’elle offrait l’opportunité à ce groupe de personnes très diversifié de partager leurs idées et leurs expériences. Wanga a souligné que les connaissances acquises par l’équipe Google Afrique du Sud, en particulier sur des projets comme Umbono, lui ont donné envie de changer durablement son campus pendant qu’il serait ambassadeur.

Alors, que feront ces ambassadeurs au cours de l’année prochaine? Ils organiseront des événements sur les campus pour accroître la notoriété d’Internet, des technologies Google et des opportunités offertes par Google à la communauté universitaire. Pour Gerald Nondia, étudiant en technologie de l’information à l'Université de technologie de Vaal, la mission des ambassadeurs est de transmettre leurs nouvelles connaissances aux autres étudiants, d’abord en leur faisant découvrir les technologies Internet et, ensuite, en les formant sur leur utilisation. À titre d’exemple, Matthew Boswell, étudiant en informatique et systèmes d'information à l’Université de Rhodes, a fait remarquer que ce qu’il avait appris sur Google Docs avait changé son attitude par rapport à la façon d’aborder les travaux de groupe et qu’il avait mis ce nouveau savoir en pratique avec le téléphone Android.

Le moment le plus passionnant de cette manifestation a été la fin de la session d’orientation lorsque, après une formation et une démonstration sur Android, nous avons réservé une surprise à ces nouveaux ambassadeurs, en leur remettant une boîte complète de téléphones Samsung Galaxy Android offerte par Samsung Afrique du Sud. Il n’en croyait pas leurs yeux et l’un d’entre-eux s’est même exclamé: «Vive les beaux jours! Vive les beaux jours!»

Peu auparavant, nous avions lancé le programme Ambassadeur au Ghana et au Nigeria, et sélectionné 47 ambassadeurs dans 13 universités pour l’année 2011-2012. Pour en savoir plus sur le programme Ambassadeur et d’autres programmes pour les universités, rendez-vous sur http://www.google.com/africa/universityprograms/

Nous souhaitons de beaux jours à l’Afrique du Sud!

Friday, 29 July 2011

A small step towards improving internet access in Nairobi

En Français

Google has been working hard to improve Internet access in Sub-Saharan Africa through programs such as Google Apps Supporting Programs for Education, technical assistance for Internet providers, and more. These efforts are part of our broader goal in Africa: to get more users online, to reduce internet access barriers, and to help develop a vibrant Internet environment. Bit by bit, the web in Africa is helping to transform communication and open up new economic opportunities.


As part of these efforts, we have also been supporting local businesses to explore providing high speed WiFi at low cost. Today one such local business, Wananchi Group (K) Limited, turned on a very small, and experimental, WiFi network - called “Wazi”- at the Junction shopping area in Nairobi, Kenya. The network offers 10 minutes free access and paid daily or monthly subscriptions. Simply connect to the SSID “Wazi” and select your free or paid plan; payment is taken through credit card or mobile payments. At this point it is not clear if or how the network will expand, but there are discussions among local businesses to explore the options. For further information on location, cost and how to access, please see http://www.waziwifi.co.ke. We hope that you’ll try it out.



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Un petit pas vers une amélioration de l’accès à Internet à Nairobi

Google s’efforce d’améliorer l’accès à Internet en Afrique subsaharienne par des programmes comme les Google Apps Supporting Programs for Education, l’assistance technique des fournisseurs d’accès, etc.. Ces initiatives font partie de notre objectif plus large en Afrique: augmenter le nombre d’internautes, réduire les obstacles à l’accès à Internet et contribuer à développer un environnement dynamique en ligne. Pas à pas, le web en Afrique contribue à transformer la communication et à ouvrir de nouvelles opportunités économiques.

Dans cette perspective, nous avons aussi aidé des entreprises locales à analyser la possibilité d’offrir, à faible coût, le WiFi à haut débit. Aujourd’hui, l’une d’entre elles, Wananchi Group (K) Limited, gère un tout petit réseau WiFi expérimental, dénommé «Wazi», dans la zone commerciale de Junction à Nairobi au Kenya. Ce réseau offre 10 minutes d’accès gratuit et des abonnements quotidiens ou mensuels payants. Il suffit de se connecter au SSID «Wazi» et de sélectionner votre programme gratuit ou payant; le règlement se fait par carte de crédit ou via un téléphone portable. À ce stade, on ne sait pas encore si le réseau s’étendra ni comment, mais des discussions sont engagées sur le plan local pour explorer ces possibilités. Pour de plus amples informations sur le lieu, le coût et la façon d’y accéder, rendez-vous sur http://www.waziwifi.co.ke. Nous espérons que vous l’essaierez!

Wednesday, 27 July 2011

3D buildings in Google Maps for Android arise in Johannesburg, Cape Town and more

En Français

Last December, the release of Google Maps 5.0 for Android ushered in the next-generation of mobile maps where you rotate, tilt, and zoom in and out of 3D maps. Earlier this week we added support for 3D buildings in a number of South African cities, including Johannesburg, Cape Town and Durban. Now, when you're zoomed in on these cities in Google Maps for Android, you can drag down with two fingers to tilt the map and see a skyline spring to life with 3D buildings.


Here’s the full list of South African cities that now have 3D buildings:
  • Bloemfontein
  • Cape Town
  • Durban
  • Johannesburg
  • Nelspruit
  • Polokwane
  • Port Elizabeth
  • Pretoria
  • Rustenburg
You'll also now see 3D buildings on Google Maps on the desktop for these cities. We hope you enjoy exploring them even more with 3D buildings!



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Bâtiments en 3D sur Google Maps pour le lancement d’Android à Johannesburg, Le Cap, etc.

En décembre dernier, le lancement de Google Maps 5.0 pour Android a coïncidé avec la nouvelle génération de cartes sur mobiles, que vous pouvez faire pivoter, incliner, agrandir ou réduire, sur des cartes 3D. Au début de la semaine, nous avons intégré le support des bâtiments intégré le support des bâtiments en 3D pour plusieurs villes sud-africaines, dont Johannesburg, Le Cap et Durban. Désormais, lorsque vous zoomez sur ces villes dans Google Maps pour Android, vous pouvez tirer vers le bas avec deux doigts pour incliner la carte et voir l’horizon prendre vie avec des bâtiments en 3D.

Voici la liste complète des villes sud-africaines dotées de cartes en 3D:
  • Bloemfontein
  • Le Cap
  • Durban
  • Johannesburg
  • Nelspruit
  • Polokwane
  • Port Elizabeth
  • Pretoria
  • Rustenburg
Vous avez aussi désormais accès à des bâtiments en 3D sur Google Maps sur le bureau pour ces villes. Nous espérons que vous apprécierez encore plus d’explorer ces villes avec leurs bâtiments en 3D!

Tuesday, 26 July 2011

Building a high-performance Nigerian Research and Education Network

En Français

If a professor from Ahmadu Bello University, Zaria in Northern Nigeria wants to collaborate on a project with his colleague from the University of Lagos, he wouldn’t fly through Europe to meet with him. Yet this is what might happen today to data traffic if they want to collaborate via the Internet. If the two universities are using different ISPs, data might be sent all the way to Europe or the USA, potentially via satellite connection, before they make their way back to Nigeria, creating a barrier to high-speed collaborative research.

I was lucky to spend the second week of July with network engineers from 18 universities across Nigeria who are building the technical foundation and professional community for establishing a National Research and Education Network (NREN), a high-speed data network between research institutes in the country. Given Nigeria is quite large, they are first networking research institutes in close proximity, forming clusters for local collaboration.These clusters will then be interconnected to form the NREN, and provide access to regional and global research networks, such as the West African Research and Education Network (WACREN), GÉANT2, the European Academic Network and Internet2 in the USA.

Scalable and well designed networks on campus are the foundation for a robust NREN. Therefore, the Nigeria ICT Forum together with the Network Startup Resource Center from the University of Oregon (NSRC) organized a five-day workshop on campus network design at Obafemi Awolowo University, Ile-Ife. For five days, the engineers worked hands-on creating scalable networks using layer 2 switching and dynamic routing protocols such as OSPF and BGP. After the sessions, they peer-reviewed their current designs with facilitation of the NSRC experts until late at night, giving each other hints on how to use their network resources more effectively. Google is happy to have been able to support this workshop financially and with some networking hardware.

Network Engineers building simulated campus networks during the workshop

Google has been supporting Infrastructure for African Universities through our grants to the ICT Forum and NSRC earlier this year, and several Universities are already benefiting from assistance with connectivity and technical training and consulting through the Google Apps Supporting Programs (GASP). In Kenya and South Africa, KENET and TENET are already providing high-speed connectivity to universities at a low cost to the institutions, and we are happy to see that other African countries moving quickly - building the foundation for a pan-African research and Education network.

A network engineer myself, I am excited to see a huge national network like this being built from the ground up through the collaboration of so many colleagues. Scientists at the Nigerian universities will embrace the high-speed collaboration and research tools, and students will benefit from access to better learning tools and Internet connectivity. Meanwhile, university administrations are excited about the savings they can make on connectivity by pooling their needs together through organizations such as the Bandwidth Consortium (BWC).



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Construction d’un réseau nigérian haute performance de recherche et d’éducation

Si un professeur de l'université Ahmadu Bello de Zaria au nord du Nigéria souhaite collaborer avec un de ses collègues de l'université de Lagos, il ne va pas prendre un avion pour l’Europe pour le rencontrer. C’est pourtant ce qui a des chances de se produire pour les données qu’ils souhaitent partager via Internet. Si les deux universités ne partagent pas le même FAI, les données peuvent transiter par l’Europe ou les États-Unis, éventuellement via une connexion satellite, avant de revenir au Nigéria, créant de ce fait un obstacle à la recherche collaborative à haut débit.

J’ai eu la chance de passer la deuxième semaine de juillet avec des ingénieurs réseau de 18 universités du Nigéria, qui élaborent les bases techniques et mettent sur pied la communauté professionnelle pour la création d‘un Réseau national de la recherche et de l'enseignement (NREN), un réseau haut débit entre les instituts de recherche à travers le pays. Le Nigéria étant un pays relativement vaste, ils s’attachent d’abord à mettre en réseau les instituts de recherche proches les uns des autres, créant des clusters pour une collaboration locale. Ces clusters seront ensuite interconnectés pour former le NREN, et donner accès aux réseaux de recherche régionaux et internationaux, tels que le réseau de l'Afrique de l'Ouest et du Centre dédié à l'éducation et la recherche (WACREN), GÉANT2, l’European Academic Network et Internet2 aux États-Unis.

Des réseaux évolutifs et bien conçus sur les campus sont la base d’un NREN solide. C’est pourquoi le Forum TIC du Nigéria en collaboration avec le Network Startup Resource Center de l'université de l'Oregon (NSRC) a organisé un atelier de conception de réseaux pour les campus de cinq jours à l'université Obafemi Awolowo d'Ile-Ife. Pendant ces cinq jours, les ingénieurs ont travaillé concrètement à la création de réseaux évolutifs, en utilisant des commutateurs de niveau 2 et des protocoles de routage dynamiques tels que OSPF et BGP. A l’issue de ces sessions, ils ont ensemble passé en revue leurs conceptions avec l’aide d’experts NSRC, jusque tard dans la nuit, se donnant mutuellement des conseils sur la manière d’exploiter plus efficacement leurs ressources réseau. Google est heureux d’avoir pu apporter son soutien à cet atelier, à la fois financièrement et par le biais de matériel réseau.

Google a soutenu le développement des infrastructures pour les universités africaines via ses dons au Forum TIC et au NSRC au début de l'année, et plusieurs universités bénéficient d’ores et déjà d’une assistance, en terme de connectivité, de formation technique, de conseils et via les programmes de support Google Apps (GASP). Au Kenya et en Afrique du Sud, KENET et TENET fournissent déjà aux universités une connexion haut débit à faible coût, et nous sommes heureux de constater que d’autres pays africains avancent rapidement – vers la construction des bases d’un réseau de recherche et d’éducation panafricain.

Étant moi-même ingénieur réseau, je suis enthousiaste à l’idée de voir naître ex nihilo un gigantesque réseau national comme celui-ci, grâce à la collaboration de tant de collègues. Les scientifiques des universités nigériannes vont s’approprier ces outils de recherche et de collaboration haut débit, et les étudiants bénéficieront d’un accès à de meilleurs outils d’apprentissage et à Internet. Parallèlement, les administrations universitaires se réjouissent des économies qu’elles vont pouvoir réaliser sur leurs connexions grâce au regroupement de leurs besoins via des organisations telles que le consortium de largeur de bande (BWC).

Wednesday, 20 July 2011

Open Data in Kenya - Setting the Pace for Africa

En Français

The Kenya government’s recent launch of an open data web portal both local and international pundits buzzing. By making this step, Kenya is the first country in Africa to publish over 290 datasets with no restrictions on access and use. Released datasets include a variety from the ministries of Finance, Planning, Local Government, Health and Education and the Kenyan National Bureau of Statistics. This, in our humble opinion, is HUGE.

Minister of Information Hon. Samuel Poghisio & 
President of Kenya, H.E. Mwai Kibaki, getting a glimpse of Google Tools for Government

In the past, most Kenyan government information has been treated by default as a state secret. One had to be physically present at the respective ministry, with a letter of support, to access it. Now, all one needs is an internet connection and a search query. The launch marks a turning point as far as how citizens can engage with government, and will result in new ways through which Kenyans can hold their leaders accountable and amplify their voice on complex issues. For the government, this is a great foundation for fact-based policy making. For the local content landscape, it means new opportunities to analyze rich historical archives and new jobs to apply a stream of usable data: developers, statisticians, teachers and students alike will benefit. For Africa, the Open Data initiative could become the blueprint for how to move into the knowledge economy.

To be clear, this didn’t all happen overnight - it is the outcome of several years of prodding by the local ICT community. Google is proud to have played a small but crucial role in supporting the initiative's main aim: to make core government development, demographic, statistical and expenditure data available in a useful digital format for anyone to access.

The Ministry of Information invited Google to join the Open Data Taskforce and help guide the technology and policy work leading up to the launch. In our role, we advocated for use of open standards, APIs for developers and local language support for the datasets. In addition, many of the apps and visualizations showcased at the launch by local developers - like Msema Kweli and Eduweb - made use of the Google Maps APIs & Charting APIs.

Finally, we were involved in helping bring several datasets to life using the Google Public Data Explorer. In the live example below, based on data from the Kenya National Bureau of Statistics, users can easily see and interact with the Social, Physical Infrastructure and other Government expenditure trends from 2002-2008. Questions like “ How much capital expenditure was spent on Schools & Health in 2007” can be answered by simply pressing play.



Other advances in government transparency highlighted at the launch were the Kenya Gazettes and Parliamentary Hansards archives, which are now online via Google Books through a partnership with the Kenya National Assembly and the National Council for Law Reporting.

It is extremely rewarding to see an African government adopting values that are so deeply espoused by Google and development community at large - democratizing access to information. In his speech, the President of Kenya recognized that “information is power and an informed citizenry is an empowered citizenry” and promised to continue to work towards access to information and free flow of information. We look forward to working with other countries to helping make the ideal of an informed citizenry a reality.



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Données ouvertes au Kenya – Donner le rythme en Afrique

Le gouvernement kényan a lancé récemment un portail Internet de données ouvertes pour relayer aussi bien les experts locaux qu’internationaux. Avec cette démarche, le Kenya est le premier pays africain à publier plus de 290 ensembles de données sans restriction d'accès, ni d'utilisation. Parmi ceux-ci figurent des données des ministères des finances, de la planification, de l'administration locale, de l'éducation et de la santé et du Bureau national kényan de la statistique. À notre humble avis, c’est un événement CONSIDÉRABLE.

Auparavant, la plupart des informations étaient traitées par défaut comme secrets d’État. Il fallait être physiquement présent chez le ministre concerné, avec un courrier de recommandation, pour y accéder. Désormais, il suffit d’une connexion Internet et d’un moteur de recherche. Ce lancement marque un tournant dans la façon dont les citoyens peuvent s'impliquer vis-à-vis du gouvernement, et leur offre de nouveaux moyens de faire entendre leur voix dans les problèmes complexes et d’inciter leurs dirigeants à répondre de leurs actes. Quant au gouvernement, il dispose d’une base exceptionnelle pour élaborer une politique basée sur les faits. Dans le contexte du contenu local, cette initiative ouvre de nouvelles opportunités d’analyser des archives historiques riches et crée de nouveaux emplois pour mettre en œuvre ce flux de données utilisables: développeurs, statisticiens, enseignants et étudiants en bénéficieront tous. Enfin, pour l’Afrique, elle pourrait devenir une référence sur la manière d’entrer dans l’économie du savoir.

Il est évident que tout cela ne s’est pas fait en un jour : c’est le résultat de plusieurs années de démarches de la part de la communauté locale des TIC. Google est fier d’avoir joué un petit rôle, mais pourtant décisif, en soutenant l’objectif principal de cette initiative: assurer la disponibilité des principales données statistiques, démographiques, de développement et de dépenses des gouvernements, dans un format numérique accessible à tous.

Le ministère de l’information a invité Google à participer au groupe de travail sur les données ouvertes pour orienter les travaux sur les principes et la technologie qui ont finalement abouti à ce lancement. Dans notre intervention, nous avons plaidé pour des standards ouverts, des interfaces de programmation d’application (API) pour les développeurs et une assistance en langue locale pour les ensembles de données. En outre, nombre des applications et visualisations présentées lors du lancement par les développeurs locaux - comme Msema Kweli et Eduweb – faisaient appel aux interfaces de programmation d’applications cartographiques et graphiques de Google.

Enfin, nous avons contribué à l’animation de plusieurs ensembles de données à l’aide de Google Public Data Explorer. Dans l’exemple ci-dessous, basé sur les données du Bureau national kényan de la statistique, les utilisateurs peuvent facilement consulter les tendances sur les dépenses du gouvernement en infrastructures physiques et sociales, et autres, entre 2002 et 2008, et interagir avec elles. Par un simple clic, il est possible d’obtenir la réponse à une question comme: «Quels investissements ont été consentis pour l’éducation et la santé en 2007?».

Parmi les autres progrès réalisés par le gouvernement sur le plan de la transparence et soulignées lors de ce lancement, figurent les Kenya Gazettes et les archives des Hansards du Parlement, qui sont désormais en ligne via Google Livres, grâce à un partenariat avec l’Assemblée Nationale du Kenya et le National Council for Law Reporting.

Il est extrêmement réconfortant de voir un gouvernement africain adopter des valeurs profondément ancrées chez Google et chez les développeurs en général – la démocratisation de l’accès à l’information. Dans son allocution, le président du Kenya a reconnu «que l’information est un pouvoir et que des citoyens informés sont des citoyens plus forts». Il a promis de continuer à favoriser l’accès à l’information et la liberté de circulation de l’information. Nous sommes impatients de travailler avec d’autres pays pour concrétiser l’idéal d’une nation de citoyens informés.

Tuesday, 19 July 2011

Announcing Finalists for the Android Developer Challenge!

En Français

It is our pleasure to announce the finalists of the Android Developer Challenge, Sub Saharan Africa. It was great to see so many developers get involved -- we received hundreds of applications from 19 African countries. Our judges really enjoyed evaluating the apps, and it wasn’t easy for them to select only 28 semi-finalists. Here they are by category and country:

Entertainment / Media / Games
  • Human Droid, Kenya - a game that lets players battle one another virtually while in the same physical location.
  • What’s Happening?, Kenya - an events and entertainment finder in Nairobi that could be customized for other cities.
  • Matatu, Uganda - a two player competitive card game.
  • Slate Racer, South Africa - a time trial racing game.
  • Gliese - South Africa, a 2D platformer game.
  • Bawo Board Game, South Africa - an app for a popular African board game.
  • Afrinolly, Nigeria - an app to watch African movie trailers and track the stars.
  • Ha!! Buggy, Senegal - a fast-paced racing game.
  • Ayo, Nigeria - an app for an ancient board game of strategy from West Africa.
Social Networking / Communication
  • SMS Tweetbox, Kenya - an app that connects smartphone and non-smartphone users through SMS.
  • Seekika, Kenya - a mobile audio storytelling application.
  • Olalashe, Kenya - an open source SOS and alerting mapping app.
  • Dribble, South Africa - a geo-social networking service that allows users to leave location-based messages.
  • Cnectd, South Africa - a cross-platform mobile messaging app for smartphones.
  • Setswana Phrases, Malawi - a phrase dictionary of the Setswana language.
  • Nomad, Togo - an app that pushes notifications for a social network called Oasis.
  • TextOnMotion, Nigeria - an app that allows you to navigate and text at the same time.
  • Yandda!, Nigeria - an app that engraves your signature at any location for others to discover.
Productivity / Tools / Local / Geo
  • GPS Tanzania GuideTanzania - a tourist and business guide to Tanzania.
  • Shoppers' Delight, Kenya - an app that assists shoppers, comparing prices across several supermarkets.
  • Rush Hour, Kenya - an app that helps drivers navigate the streets of Nairobi with speed and safety.
  • Wedding Plandroid, South Africa - an app that makes planning a wedding easy and helps to get brides and grooms ready for their big day.
  • Booka, South Africa - an app that helps locate nearest car dealers, book a car in for a service, and track the progress of a service request.
  • SpotIt, South Africa - an app that lets users find and report animals while on safari.
  • UniDayz, Ghana - an app that helps university students better manage and prioritize their coursework.
  • Breeze Through Service, Nigeria - an app that enables services providers to improve the quality of their services and strategic business decisions.
  • Wise Africa, Republic of Guinea - an African proverbs crowdsourcing app for Android.
  • Esoko, Ghana - a market app for agricultural goods that allows users to track inventory and find the best price.
These finalists will be awarded a new Android mobile device, and will have the opportunity to make their applications even better with help from Googlers from around the world, who will provide mentoring and advice to teams. Finalists will have until August 30th to submit final versions of their apps. You can find more about how we chose these apps, and about the competition, here.

Thanks so much to all the teams that participated. We are really excited about the future of app development in this region and can’t wait to see what else you create.



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Nom des finalistes de l’Android Developer Challenge

Nous avons le plaisir de vous dévoiler aujourd’hui le nom des finalistes de l’Android Developer
Challenge en Afrique subsaharienne
. Le nombre de développeurs à avoir participé est vraiment
impressionnant. Nous avons reçu des centaines de demandes issues de 19 pays africains. Nos experts ont pris plaisir à évaluer les apps et il ne leur a pas été facile de n’en retenir que 28 pour la demi-finale. Voici la liste des demi-finalistes par catégorie et par pays.

Divertissement / médias / jeux
  • Human Droid, Kenya – un jeu dans lequel les joueurs rivalisent virtuellement les uns contre les autres dans un même lieu physique.
  • What’s Happening?, Kenya – un moteur de recherche de divertissements et d'événements à Nairobi, qui peut être personnalisé pour d’autres villes.
  • Matatu, Ouganda – un jeu de carte captivant pour deux joueurs.
  • Slate Racer, Afrique du sud – un jeu de course contre la montre.
  • Gliese, Afrique du sud – un jeu de plates-formes en 2D.
  • Bawo Board Game, Afrique du sud - une app pour un célèbre jeu de société africain.
  • Afrinolly, Nigeria - une app pour regarder les bandes-annonces des films africains et suivre les stars.
  • Ha!! Buggy, Sénégal – un jeu de courses à grande vitesse.
  • Ayo, Nigéria - une app pour un ancien jeu de société stratégique d’Afrique de l’ouest.
Réseaux sociaux / communication
  • SMS Tweetbox, Kenya - une app qui connecte les utilisateurs de smartphone avec les non- utilisateurs via des SMS.
  • Seekika, Kenya – une application audio mobile qui raconte des histoires.
  • Olalashe, Kenya – une application en open source de SOS et de cartographie des alertes.
  • Dribble, Afrique du sud – un service de réseau social géolocalisé, qui permet aux utilisateurs de laisser des messages basés sur le lieu.
  • Cnectd, Afrique du sud – une app multiplateforme pour messagerie mobile dédiée aux smartphones.
  • Setswana Phrases, Malawi – un dictionnaire de phrases en Setswana.
  • Nomad, Togo - une app qui pousse les notifications pour Oasis, un réseau social.
  • TextOnMotion, Nigéria - une app qui permet de naviguer et d’envoyer simultanément des textes.
  • Yandda!, Nigéria - une app qui grave votre signature n’importe où afin que d’autres la trouvent.
Productivité / outils / local / géo
  • GPS Tanzania Guide, Tanzanie - un guide touristique et professionnel de la Tanzanie.
  • Shoppers' Delight, Kenya - une app pour aider les clients à comparer les prix de plusieurs supermarchés.
  • Rush Hour, Kenya - une app qui aide les conducteurs à circuler dans les rues de Nairobi, rapidement et en toute sécurité.
  • Wedding Plandroid, Afrique du sud - une app qui facilite la planification d’un mariage et aide les jeunes époux à être prêts pour le grand jour.
  • Booka, Afrique du sud - une app qui permet de localiser les concessionnaires automobiles les plus proches, prendre rendez-vous pour un entretien et suivre la progression d'une demande de service.
  • SpotIt, Afrique du sud - une app de repérage et signalement des animaux pendant les safaris.
  • UniDayz, Ghana - une app qui permet aux étudiants de mieux gérer leur travail universitaire et d’établir leurs priorités.
  • Breeze Through Service, Nigéria - une app qui permet aux prestataires de service d'améliorer la qualité de leurs services et de leurs décisions stratégiques.
  • Wise Africa, République de Guinée – une application d’externalisation ouverte pour les proverbes africains sur Android.
  • Esoko, Ghana –une app de marché pour les produits agricoles qui permet à l’utilisateur de trouver du stock et les meilleurs prix.
Ces finalistes seront récompensés par un nouvel appareil mobile Android et auront la possibilité
d’améliorer encore leur application avec l’aide des Googlers du monde entier, qui apporteront conseil et soutien aux équipes. Les finalistes ont jusqu’au 30 août pour envoyer la version finale de leur app. Pour en savoir plus sur le mode de sélection de ces apps et sur le challenge, cliquez ici.

Nous remercions toutes les équipes participantes. Nous sommes vraiment passionnés par l’avenir du développement des apps dans cette région et nous sommes impatients de découvrir ce que vous allez encore créer.

Monday, 11 July 2011

More of South Africa (and the rest of the world) on Street View

En Français

Since we launched Street View on Google Maps in the U.S. in 2007 we’ve added 26 more countries and enabled you to explore images across all seven continents. Today we’re excited to share with you the latest expansion of Street View because it’s our biggest update yet. New imagery is now available for 13 of our established Street View countries: Denmark, Ireland, Italy, Spain, Netherlands, Norway, Sweden, Romania, Taiwan, Japan, the United States, the United Kingdom and... South Africa.

A wide array of imagery is now available for Limpopo, Western Cape, Northern Cape, Free State, North West, and Mpumalanga provinces. The southernmost tip of Africa has made its debut on Street View, with the addition of Cape Agulhas, the notoriously hazardous place for sailors where the Indian and Atlantic oceans meet.

Cape Agulhas, South Africa

Coastal fans can take a drive through the beautiful West Coast National Park, check out imagery of Saldanha Bay, an important natural harbour and port town, or visit Port Edward.

For those who are more interested in our urban centres, check out Polokwane - capital of Limpopo Province, Mokopane - one of South Africa's richest agricultural areas, Mthatha - not far from Mandela’s home village, or Harrismith - a wool producing district that is also home to the largest truck stop in the Southern Hemisphere!

Mthatha, South Africa

Want to go further afield? Wine lovers can zoom across to Europe and see Italy’s famous Chianti region and other beautiful areas of Tuscany. Across the Mediterranean in Spain, the home of another renowned wine is viewable with the addition of the Rioja province.

Pechina, Rioja Region, Spain

Meanwhile, across the other side of the world, you can view the beautiful Pacific Ocean from Japan’s Hahajima, one of the remote Ogasawara islands.

Haha-Jima, Japan

In addition, this latest batch of street-level imagery includes higher resolution panoramic views of places throughout the San Francisco Bay Area, Los Angeles and San Diego. This is great for both locals and potential visitors of these popular California destinations, who can now see even more realistic views of landmarks like the Golden Gate Bridge or the Getty Museum.

Golden Gate Bridge, San Francisco, USA

Of course, these are just a few of the many fascinating places in today’s release of new Street View imagery, so we encourage you to look around and virtually experience them for yourself right in Google Maps. Be it for armchair travel from the comfort of your computer, or to figure out where you might want to visit on your next vacation, we’re excited to continue our expansion of Street View.



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Une plus grande partie de l’Afrique du Sud (et du reste du monde) couverte par Street View

Depuis le lancement de Street View sur Google Maps aux États-Unis en 2007, nous avons ajouté 26 pays, vous offrant des images des sept continents. Aujourd’hui, nous sommes heureux de partager avec vous la dernière version de Street View, avec la mise à jour le plus importante effectuée jusqu’ici. De nouvelles images sont désormais disponibles dans 13 des pays couverts par Street View :. Danemark, Irlande, Italie, Espagne, Pays-Bas, Norvège, Suède, Roumanie, Taiwan, Japon, Etats-Unis, Royaume Uni et Afrique du Sud.

Vous pouvez, par exemple, accéder à des très nombreuses images sur les provinces de Limpopo, du Cap occidental, du Cap du Nord, et des provinces de Free State, du Nord- Ouest et de Mpumalanga. L’extrême pointe méridionale de l’Afrique fait une première apparition sur Street View, avec l’ajout de Cap Agulhas, cauchemar des marins, car c’est le lieu de rencontre des océans Atlantique et Indien.

Tous ceux qui apprécient les paysages côtiers pourront parcourir le magnifique Parc national de la Côte Ouest, admirer la'Baie de Saldanha, une ville portuaire et un important port naturel, ou visiter Port Edward.

Ceux qui sont davantage intéressé par les centre urbains pourront explorer Polokwane, capitale de la province de Limpopo, Mokopane, l’une des zones agricoles les plus riches d’Afrique du Sud, Mthatha, non loin du village natal de Mandela ou Harrismith, un district qui produit de la laine et abrite l’un des plus grands parkings poids lourds de l’hémisphère sud!

Vous souhaitez partir à la découverte d’autres destinations? Si vous êtes amateur de vin, zoomez sur l’Europe et allez visiter la célèbre région du Chianti en Italie et d’autres superbes sites en Toscane. À travers la Méditerranée en Espagne, une nouvelle région viticole réputée a également été ajoutée: la province de La Rioja.

A l’autre bout du monde, explorez la beauté de l’océan Pacifique à Hahajima, l’une des îles éloignées d’Ogasawara au Japon.

De plus, cette dernière série d’images de rues inclut des vues panoramiques à haute résolution de lieux situés dans la Baie de San Francisco, à Los Angeles et à San Diego. Une bonne nouvelle pour la population locale et les futurs visiteurs de la Californie, qui peuvent désormais voir des images plus réalistes de sites connus comme le Golden Gate Bridge ou le Getty Museum.

Il ne s’agit là que de quelques exemples des lieux fascinants intégrés à Street View: n’hésitez pas à surfer directement dans Google Maps pour une visite virtuelle des lieux qui vous intéressent. Que ce soit pour vous permettre de voyager confortablement installé dans votre fauteuil devant votre ordinateur ou vous aider à trouver la destination de vos prochaines vacances, nous sommes heureux de continuer à enrichir Street View.

Friday, 8 July 2011

South Sudanese sing and map their way to independence.

En Français

On July 9, South Sudan will officially be independent, becoming Africa’s 54th state.

In anticipation of this significant development, the World Bank, UNOSAT, RCMRD, Satellite Sentinel Project and Google organized a South Sudan Community Mapping event in Nairobi on June 30. This was the second in a series of mapping events intended to encourage local people to create accurate and detailed maps of South Sudan, to help them navigate their path to independence. There were over 100 attendees in the room, mostly Sudanese -- university students, humanitarian workers, journalists, developers, donors, citizens -- coming from Nairobi and its surroundings, but also as far as Juba, the capital of South Sudan.

The lives of the South Sudanese are anchored to their history and land. The event started with the sharing of prayers, stories and songs, allowing each of us to visualize the rivers, sheep, roads, and people. Drawn from these songs, the mapping of South Sudan with Google Map Maker began. I was excited to see schools, roads, rivers, historical monuments, and cemeteries being mapped over cities such as Aweil, Boma, Bor, Malakal, Rumbek, Tonga, Torit, and more.

Community Mapping Event in Nairobi on June 30, 2011
The openness and enthusiasm of Sudanese attendees to map their new country was inspiring. Many were interested in health resource mapping which can dramatically impact the lives of their new countrymen. Every year in South Sudan about one in every seven children dies before the age of five; the maternity mortality rate is one of the highest in the world, and only 30% of the population has access to health care. For Charles Mona, Director GIS, Remote Sensing & Cartography of the South Sudan Government, quality health resource maps would be great tools for improved health care planning, resource allocation, advocacy, and also increased access to health services for the local population. This is only one example of how accurate maps can help various organizations provide better services to the the South Sudanese.

Happy independence day to the South Sudanese! Together, let’s continue mapping, and stay connected via our Sudan-specific email discussions. The next Community Mapping event will be in Juba, so stay tuned for more details.



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Les chants accompagnent la cartographie de Sud-Soudan

Le Sud-Soudan se prépare au changement et à l'indépendance, car il sera officiellement le 54e État africain le 9 juillet.

Pour anticiper cette situation, la Banque Mondiale, UNOSAT, RCMRD, Satellite Sentinel et Google ont organisé, à Nairobi le 30 juin, un événement sur la cartographie du Sud-Soudan par la communauté. C'est le second d'une série d'événements de cartographie conçus pour encourager la population locale à créer des cartes précises et détaillées du Sud-Soudan et l'aider à avancer sur le chemin de l'indépendance. Plus de 100 participants, essentiellement soudanais, étaient présents dans la salle. Il s'agissait surtout d'étudiants, de travailleurs humanitaires, de journalistes, de développeurs, de donateurs et de citoyens venus de Nairobi et de ses environs, et même de Juba, la capitale du Sud-Soudan.

La vie des Sud-soudanais est ancrée dans leur histoire et leur terre. L'événement a démarré par des prières, des histoires et des chants, qui ont permis à chacun de nous de visualiser les rivières, les moutons, les routes et les gens. La cartographie n'a démarré qu'après cela, utilisant Google Map Maker. J'étais impatient de voir les écoles, routes, rivières, monuments historiques et cimetières cartographiés sur des villes comme Aweil, Boma, Bor, Malakal, Rumbek, Tonga, Torit et d'autres encore.

L'ouverture et l'enthousiasme des participants soudanais pour la cartographie de leur nouveau pays ont été fantastiques. Ils étaient nombreux à être intéressés par la cartographie des ressources médicales au Sud-Soudan, sachant qu'un enfant sur sept meurt avant l'âge de cinq ans. Le taux de mortalité des femmes enceintes est l'un des plus élevés au monde et seulement 30 % de la population a accès aux soins médicaux. Une carte précise des ressources médicales aurait d'ailleurs été utile à l'un des participants pour situer l'hôpital le plus proche lorsqu'un de ses collègues a été victime d'un regrettable accident dans la campagne du Sud-Soudan. Pour Charles Mona, directeur GIS, division télédétection et cartographie, du gouvernement du Sud-Soudan, ce type de cartes de qualité serait un outil extraordinaire pour améliorer l'organisation des soins médicaux et l'attribution des ressources, favoriser la défense de certaines causes et augmenter l'accès aux soins médicaux de la population.

Nous attendons impatiemment le jour de l'indépendance pour les Sud-soudanais! Ensemble, nous allons poursuivre la cartographie et rester connectés via nos discussions par email propres au Soudan. Le prochain événement de cartographie par la communauté se déroulera à Juba, alors restez connecté pour en savoir plus!

Wednesday, 6 July 2011

Kenya Parliament Hansards now available on Google Books

En Français

A few months ago, we announced that historical copies of the Kenya Gazette were now searchable and viewable for free on Google Books. Today we are thrilled to announce a new development in our efforts to make useful content more accessible. Over 50 years’ worth of the Kenya National Assembly Hansards, dating back to 1960, are now available on Google Books.

The Hansard is the official verbatim report of the proceedings of the Kenyan Parliament. Not only are the records of great historical value, but they are also a rich research resource, providing insight into, for example, how an issue like majimbo has been addressed through time, or to verify a particular Member of Parliament’s position on an issue.

As with the Kenya Gazette, navigating the Hansards on Google Books is easy. You can search by year of publication, issue, name of MP, or keyword across the entire collection, or within a particular Hansard issue. Try it out now simply by searching [kenya hansards] on Google, Google Books or visiting KenyaLaw.org or Parliament.go.ke.


Here are some examples of the nuggets that can be found in the newly-digitized historical records of the Hansard:


The initiative to digitize the Hansards are part of our continuing partnership with the National Council for Law Report (NCLR) and the Kenya government. We welcome interest from other government departments in the region who are similarly keen to make government content more accessible to their citizens.



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Les Hansards du Parlement Kenyan désormais disponibles sur Google Livres

Il y a quelques mois, nous annoncions que des copies historiques de la Gazette du Kenya
pouvaient être recherchées et lues gratuitement sur Google Livres. Aujourd’hui, nous sommes
heureux de vous annoncer une nouvelle initiative visant à rendre le contenu utile toujours plus
accessible. Les Hansards du parlement kenyan depuis 1960 sont maintenant disponibles sur
Google Livres.

Le Hansard est la transcription officielle des débats du Parlement au Kenya. Ces transcriptions
ont non seulement une grande valeur historique, mais constituent aussi une ressource riche. Elles montrent, par exemple, comment une question comme celle du majimbo a été résolue au fil du
temps et permettent de vérifier la position d’un parlementaire sur une question donnée.

Comme pour la Gazette du Kenya, rien de plus facile que de parcourir les Hansards sur Google
Livres. Vous pouvez rechercher par année de publication, question, nom de parlementaire ou
mot clé dans toute la collection ou dans un Hansard spécifique. Essayez en recherchant tout
simplement [kenya hansards] sur Google, Livres Google ou en visitant KenyaLaw.org ou
Parliament.go.ke.

Voici quelques exemples de ce que vous pouvez trouver dans les nouveaux dossiers historiques
récemment numérisés des Hansards:
Cette initiative de numérisation des Hansards fait partie de notre partenariat continu avec le
National Council for Law Report (NCLR) et le gouvernement du Kenya. Nous apprécions
l’intérêt des autres ministères de la région qui souhaitent de la même manière ouvrir aux citoyens l’accès aux contenus gouvernementaux.

Friday, 1 July 2011

Zeitgest Young Minds from Africa

En Français

Each year Google brings together over 400 of the world’s top leaders and biggest brains at Zeitgeist – from businessmen to bloggers and inventors to activists - to talk about the big issues affecting our lives and hear what they think is shaping the world. Speakers include personalities such as Professor Stephen Hawking, Archbishop Desmond Tutu, Nobel Laureates Joseph Stiglitz and Murray Gell-Mann, Burberry CEO Angela Ahrendt, President Bill Clinton, Will.i.am, Queen Rania of Jordan and Richard Branson.

This year, 12 inspiring young people from around the world joined this prestigious group, taking part in a programme called Zeitgeist Young Minds - and we are thrilled to see that Africa made a strong showing. To be selected, the individuals had to submit a video demonstrating how they were making a positive impact on the world.

The young Africans selected were:
  • Grace Ihejiamaizu (video) - helping young people develop their leadership and entrepreneurship skills towards nation building, through her RYPE Project
  • Paul “Slim” Banda (video) - who works to fight the stigma attached to being HIV positive
  • Ludwick Marishane (video) - a budding entrepreneur with a passion for learning and who invented the DryBath gel
  • Taleni Shimhopileni - set up a community development programme for the children in South Africa.
  • Michael Mulunga - started poultry project as an income generating project for impoverished youth in Namibia
  • Orly Keit Setto - set up 'Re.think Leadership’, which aims to promote dialogue across boundaries existing in contemporary South African society
  • Richard Serunjogi - heads Policy for the Spirit of London Awards Foundation and is an Article 12 Advisor for UNICEF UK
They took part in a full day of workshops and masterclasses before joining some of the other Zeitgeist speakers onstage for a discussion about the challenges and opportunities facing young people today. You can watch them talking about their perspectives and inspiring work here.

We are inspired by these young people who we think are the future of Africa, and look forward to following their innovations and progress.




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Programme « Zeitgeist Young Minds » en Afrique

Chaque année, Google réunit les 400 plus grands leaders et cerveaux du monde – des hommes d’affaires aux blogueurs et des inventeurs aux activistes – à l’occasion du Zeitgeist pour évoquer les grands problèmes affectant nos vies et connaître leur avis sur ce qui façonne le monde. On compte parmi les intervenants des personnalités aussi prestigieuses que le Professeur Stephen Hawking, l’archevêque Desmond Tutu, les lauréats du Prix Nobel Joseph Stiglitz et Murray Gell-Mann, Angela Ahrendt, directrice générale de Burberry, le Président Bill Clinton, Will.i.am, la reine Rania de Jordanie et Richard Branson.

Cette année, douze jeunes à l’avenir prometteur, issus du monde entier, ont rejoint ce groupe pour participer à un programme appelé Zeitgeist Young Minds et nous sommes heureux de voir que l’Afrique s’en est tirée avec les honneurs. Pour être sélectionnées, ces personnes avaient envoyé une vidéo démontrant leur impact positif sur le monde.

Les jeunes Africains sélectionnés sont les suivants:
  • Grace Ihejiamaizu (vidéo) - aider les jeunes à développer leurs qualités de leader et leur esprit d’entreprise pour développer la nation via son projet RYPE
  • Paul “Slim” Banda (vidéo) - lutte contre les stigmates liés aux séropositifs
  • Ludwick Marishane (vidéo) - un entrepreneur en herbe qui a la passion d’apprendre et a inventé le gel DryBath
  • Taleni Shimhopileni - a établi un programme de développement communautaire pour les enfants d’Afrique du Sud
  • Michael Mulunga - a lancé un projet d’élevage de volailles pour générer un revenu au profit des jeunes défavorisés en Namibie
  • Orly Keit Setto - a créé « Re.think Leadership » afin de promouvoir le dialogue à travers les frontières existant dans la société sud-africaine contemporaine
  • Richard Serunjogi - dirige la fondation « Policy for the Spirit of London Awards » et conseille l’UNICEF Royaume-Uni dans le cadre de l’article 12
Tous ont participé à une journée d’ateliers et de cours avant de rejoindre sur l'estrade d'autres intervenants Zeitgeist pour un débat sur les défis et opportunités rencontrés par les jeunes d’aujourd’hui. Regardez-les évoquer leurs perspectives et leur travail ici.

Nous sommes interpellés par ces jeunes qui, à notre avis, constituent l’avenir de l’Afrique et sommes impatients de suivre leurs innovations et leurs progrès.