Thursday 27 June 2013

More Innovation From African Developers

Developers play a crucial role in making the internet relevant for Africans. This is why fostering a vibrant African developer ecosystem is very important to Google. Developers and tech entrepreneurs from across the continent joined thousands of their peers from all over the world to explore the latest tech innovations at Google I/O 2013 in San Francisco . Several of them were members of the Google Developer Groups in countries such as; Algeria, Burkina Faso, Egypt, Kenya, Republic of Congo,Togo and Uganda.

Hassan Nsubuga, Lead for GDG Mbale,Uganda with Google SVP Vic Gundotra at Google I/O

Luckily participation was not limited to those who could make it to San Francisco’s Moscone Center; developers back home were also able to get in on the action with more than 67 I/O extended parties hosted by Google Developer Groups and Google Student Ambassadors across the continent where talks were streamed live to an excited audience.

Away from the excitement of I/O ‘13, it has been a busy year for many African developers and tech startups. We added six new apps to our African case studies page:

  • Maji Dashboards and Virtual Kenya from Upande: websites that utilize the power of Google’s Geo tools to make information about Kenya readily accessible for better decision making, development planning, and education
  • ReadyCash from Parkway Projects: a home grown mobile money service from Nigeria with an app that leverages the power of the Android platform to integrate a unique QR code based payment system
  • Matatu is an Android version of a local card game from Uganda
  • ASiM developed by Olivine Technology is a real time inventory management solution with an Android client and App Engine backend
  • Asa: an Android tablet app by Nigeria’s Genii Games that brings the magic of African folktales to children of all ages.
Asa (African Folktales)

Flashback!

Remember AfriNolly- winner of 2011 Android developer competition? The app by Fans Connect Online now has over 2 million downloads across several platforms, with a new Android version support for 11 languages launched in May 2013. The Fans Connect Online team also ran a contest for African short films and created a radio show focused on the African film industry.

Keep an eye on our case studies page to follow the exploits of these and many more developers in Africa, as they continue to innovate with Google APIs and platforms.

Do you feel your app should be featured here? Let us know!


Posted by Chukwuemeka Afigbo, Outreach Program Manager, Sub Saharan Africa.


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Toujours plus d'innovation de la part des développeurs africains

Les développeurs jouent un rôle décisif pour faire d'Internet un outil pertinent pour les Africains. C'est la raison pour laquelle Google a à coeur de développer un écosystème dynamique de développeurs africains. Les développeurs et entrepreneurs en technologie du continent africain ont rejoint leurs pairs venus par milliers du monde entier pour découvrir les dernières innovations technologiques à l'édition 2013 du Google I/O à San Francisco. Plusieurs d'entre eux étaient membres des Groupes de Développeurs Google dans des pays tels que l'Algérie, le Burkina Faso, l'Égypte, le Kenya, la République du Congo, le Togo et l'Uganda.

Les développeurs africains qui n'ont pas pu se rendre au Moscone Center de San Francisco ont cependant pu participer à plus de 67 événements I/O Extended organisés par les Groupes de développeurs et les étudiants ambassadeurs Google à travers le continent, où des discussions étaient diffusées en direct devant un public passionné.

En marge de l'excitation de l'édition 2013 du I/O, l'année a été très chargée pour de nombreux développeurs et start-ups technologiques africains. Nous avons ajouté six nouvelles applis à notre page Étude de cas pour l'Afrique :

  • Maji Dashboards et Virtual Kenya par Upande : sites Internet qui utilisent les outils géographiques développés par Google pour faciliter le processus décisionnel, développer la planification, et l'éducation, en rendant les informations relatives au Kenya facilement accessibles
  • ReadyCash par Parkway Projects : un service local nigérian de paiement mobile et une appli qui tire le meilleur parti de la plate-forme Android afin d'intégrer un système de paiement unique, sur la base de codes QR
  • Matatu est une version Android d'un jeu de cartes local d'Uganda
  • ASiM, développé par Olivine Technology, est une solution de gestion des stocks en temps réel qui dispose d'un client Android et d'un back-end App Engine
  • Asa : une appli Android pour tablettes créée par la société nigériane Genii Games, qui transmet la magie des contes populaires africains aux enfants de tout âge.
Flashback !

Remember AfriNolly- lauréat de l'édition 2011 du Concours des développeurs Android ? L'appli développée par Fans Connect Online compte maintenant plus de 2 millions de téléchargement sur différentes plateformes. La nouvelle version Android, lancée en mai 2013, est disponible en 11 langues. L' équipe de Fans Connect Online a également organisé un concours de courts-métrages africainset créé une émission de radio axée sur l'industrie du film africaine.

Consultez régulièrement notre page Étude de cas pour suivre leurs exploits et ceux de nombreux autres développeurs d'Afrique, qui ne cessent d'innover avec les API et les plates-formes Google.

Pensez-vous que votre appli devrait y figurer ? Faites-le nous savoir !


Publié par Chukwuemeka Afigbo, Outreach Manager, Afrique sub-saharienne

Wednesday 26 June 2013

Measurement Lab comes to Africa: Introducing a new source of data on Internet Quality

As connectivity in Africa continues to grow, the quality of your Internet connection is as important as being able to get online. Regulators, academics, and users are interested in getting better data about connectivity and the quality of connectivity. This data can help inform decisions that improve Internet quality for everyone. To help fill this information gap, the Measurement Lab Research Consortium (M-Lab) has launched its first locations in Africa, in partnership with TENET in South Africa, and KENET in Kenya, Google Africa, and many other industry and academic partners.

M-Lab is a collaborative effort to provide a global, publicly available source of data on network performance. M-Lab takes a completely open approach, managing a global server platform designed specifically for network measurement. Researchers deploy open-source measurement tools on the platform, and users can run these tools to find out real-time information about their connection, such as speed, traffic shaping, and application throttling. Each time a test is run using one of these tools, data is collected. Currently M-Lab makes over 700 terabytes of raw, rich measurement data available to anyone who’s interested.





[Download throughput in Kenya, median for the country]


Data is now being collected on African networks in South Africa and Kenya via local servers for the first time, providing a new and valuable source of information about the health and performance of the Internet in Africa. Examples of existing research informed by M-Lab infrastructure include the FCC’s Measuring Broadband America report in the US, a large number of peer reviewed academic papers, including primary research on deep packet Inspection, traffic shaping, traffic discrimination, and many other topics.

We invite you to learn about the data, and to access it here.
If you’re interested in learning more about M-Lab, please visit measurementlab.net.

Posted by Nnamdi Abraham-Igwe, Google Access Lead for Emerging Markets



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Measurement Lab arrive en Afrique : lancement d'une nouvelle source de données sur la qualité d'Internet

Avec la croissance continue de la connectivité en Afrique, la qualité des connexions Internet devient un enjeu aussi important que d'être en ligne. Autorités réglementaires, universitaires et internautes veulent obtenir de meilleures informations sur la connectivité et sa qualité. Ces informations peuvent aider à prendre les décisions qui amélioreront la qualité d'Internet pour tous. Pour combler ce manque d'information, le Measurement Lab Research Consortium (M-Lab) a ouvert ses premières implantations en Afrique, en partenariat avec TENET en Afrique du Sud, KENET au Kenya, Google Afrique et bien d'autres partenaires industriels et universitaires.

M-Lab est un effort collaboratif visant à fournir une source de données mondiale, publique, sur la performance du réseau. M-Lab s'appuie sur une approche complètement ouverte, gérant une plate-forme serveur spécialement conçue pour mesurer la performance des réseaux. Les chercheurs déploient des outils de mesure en open-source sur la plate-forme, et les internautes peuvent les exploiter pour obtenir des informations en temps réel sur leur connexion, telles que le débit, la bande passante et la limitation du nombre d'applications. Chaque fois qu'un test est exécuté avec ces outils, des données sont collectées. Actuellement, M-Lab exploite plus de 700 téraoctets de données de mesures brutes et riches, accessibles à toute personne intéressée.
Les données sont désormais collectées sur les réseaux africains en Afrique du Sud et au Kenya via des serveurs locaux et ce, pour la première fois, assurant une nouvelle source fiable d'information sur l'état et les performances d'Internet en Afrique. Parmi les exemples de recherches documentées par l'infrastructure M-Lab, citons le rapport Measuring Broadband America du FCC aux États-Unis, un nombre important d'articles universitaires approuvés par les pairs, dont les principales recherches sur l'inspection approfondie des paquets, la régulation de flux, la discrimination de trafic et bien d'autres sujets

Pour en savoir plus sur les données et à y accéder, cliquez ici.
Pour plus d'informations sur M-Lab, consultez le site measurementlab.net.

Posté par Nnamdi Abraham-Igwe, 
Google chef d'accès pour les Pays émergents

Monday 24 June 2013

Boosting Africa’s small businesses

When Naa used to go to the Accra Central Market to get her fill of handmade craft jewellery, she was upset to see the stalls stacked with cheap imported items. She started Roots by Naa, a Ghanaian company creating fashion products such as headbands, brooches, and necklaces from handworked African fashion textiles.

What began as a side business is now a successful company supporting local crafts and promoting Ghanaian culture to the world - thanks to the Internet. Naa uses online dashboards to track visitors to the website and gain insight into the number of people and countries visiting, including clients from the US, UK, and France. She now plans to expand and train immigrant porter girls in Ghana - kayayee - in making handmade accessories, giving them a better standard of living and equipping them with an income-generating skill.


As one of the world’s fastest growing economies, with an entrepreneurial culture, diverse resources and political stability, Ghana aims to continue on its upward path by leveraging the Internet to reach regional and international markets. Google Ghana has partnered with the Ministry of Trade and Industry to launch Innovation Ghana, an initiative celebrating Naa and other Innovation Heroes.

                  Accessory bt Roots by Naa                                                           The Innovation Heroes

Innovation Ghana highlights the recommendations of the Dalberg study, which equips policy makers with data about the socio-economic benefits of the Internet, and how to capitalize on this potential. At the recent launch, Ghana's Minister of Trade and Industry, Honourable Haruna Iddrisu stressed the importance of the Internet for Ghana’s economy and job creation.

As part of this effort, Google Ghana also supported the Ghana Google Developer Group and Accra Google Business Group to bring together over 300 developers and businesses to connect, inform and inspire them around the theme of the internet and its potential to unleash innovation. Leading Ghanaian developers shared their knowledge of Javascript, HTML5, Google Drive API and Android. The business sessions featured stories of how SMEs have successfully used the internet to market their products and services, manage customers, and build their brands - all of which are key common challenges in Ghana.

Another initiative is called Social Day for the creative industry. The country’s leading bloggers discussed how the blogging community can further promote the use of internet tools. The grand finale hosted over 60 Ghanaian personalities who were thrilled with a songwriting collaboration between award winning musicians M.anifest and E.L, MC’d by Sister Deborah. The evening showcased how Google+, Hangouts and YouTube are being used, both internationally and locally, to reach new audiences, create new content and strengthen an existing creative culture.

With these successes achieved, we look forward to supporting the country’s growing online entrepreneurial spirit.

Posted by Estelle Akofio-Sowah, Country Manager, Ghana

#InnovationGhana

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Encourager les petites entreprises en Afrique

Lorsque Naa se rendait sur le marché central d’Accra pour faire le plein de bijoux faits main, elle éprouvait un sentiment de frustration à la vue de tous ces étals remplis d’articles d’importation bon marché. C’est alors qu’elle a décidé de créer Roots by Naa, entreprise ghanéenne spécialisée dans la création d’articles de mode tels que bandeaux, broches et colliers réalisés à la main dans des imprimés tendance de style africain.

Ce qui n’était au début qu’une activité secondaire est devenu aujourd’hui une entreprise florissante qui soutient l’artisanat local et assure la promotion de la culture ghanéenne dans le monde entier grâce à Internet. Naa utilise des Dashboards en ligne pour suivre les visiteurs de son site et obtenir des données sur leur nombre et leur pays d’origine, notamment les clients américains, britanniques et français. Elle envisage aujourd’hui d’étendre son activité et de former des jeunes filles immigrés au Ghana, employées comme porteuses - kayayee - à la fabrication d’accessoires faits main en leur offrant un meilleur niveau de vie par l’acquisition de compétences génératrices de revenus.
Doté d’une des économies les plus dynamiques du monde, d’une culture entrepreneuriale, d’une grande diversité de ressources et d’une stabilité politique, le Ghana a pour objectif de poursuivre sur la voie de la croissance en exploitant Internet afin de toucher les marchés régionaux et internationaux. Google Ghana est partenaire du Ministère du commerce et de l’industrie dans le cadre de l’initiative Innovation Ghana, qui met à l’honneur Naa ainsi que d’autres Héros de l’innovation.

Innovation Ghana met l’accent sur les recommandations de l’étude Dalberg, qui fournit aux décideurs des données sur les avantages socio-économiques d’Internet, et montre comment tirer parti de ce potentiel. Lors du lancement qui a eu lieu récemment, Haruna Iddrisu, le ministre ghanéen du commerce et de l’industrie, a souligné l’importance d’Internet pour l’économie du Ghana et la création d’emplois.

Dans le cadre de cette initiative, Google Ghana soutenait également le groupe de développeurs de Ghana Google ainsi que le groupe entreprises de Google Accra afin d’inciter plus de 300 développeurs et entreprises à se connecter, à s’informer et à se mobiliser sur le thème de l’Internet et de son formidable potentiel pour développer l’innovation. Les principaux développeurs ghanéens ont partagé leurs connaissances dans des domaines comme Javascript, HTML5, Google Drive API et Android. Les sessions réservées aux entreprises comportaient des témoignages sur la manière dont des PME utilisent Internet pour commercialiser leurs produits et leurs services, gérer leurs clients et promouvoir leur marque - des problématiques communes à l’ensemble des entrepreneurs ghanéens.

Social Day est le nom d’une autre initiative dans le secteur de la création. Les principaux blogueurs du pays, ont échangé sur la façon de promouvoir l’utilisation des outils Internet. La grande finale a réuni plus de 60 personnalités ghanéennes, ravies de participer à une composition entre les musiciens primés M.anifest et E.L, avec le concours de Sister Deborah. La soirée a été l’occasion de présenter comment Google+, Hangouts et YouTube sont utilisés, au niveau international et local, pour toucher de nouveaux publics, créer de nouveaux contenus et renforcer la culture de la création.

Fort de ces succès, nous sommes impatients de soutenir l’esprit d’entreprise en ligne dont fait preuve ce pays.

Publié par Estelle Akofio-Sowah, reponsable pays, Google Ghana
#InnovationGhana

Thursday 20 June 2013

Young Africans Finalists in the 2013 Google Science Fair

Many great scientists developed their curiosity for science at an early age and in January we called on the brightest young minds from around the world to send us their ideas to change the world. Our 2013 Google Science Fair attracted an exciting and diverse range of entries, with thousands of submissions from more than 120 countries.

After a few busy months for the judges, we’re ready to reveal our 90 regional finalists for the 2013 Google Science Fair. It was no easy task selecting these projects, but in the end their creativity, scientific merit and global relevance shined through. 


This year’s African finalists are South African scientist, Samantha Hayward who explored the advantages and disadvantages of Body Mass Index (BMI) calculation, and Kenya ‘Scientists in progress’ team (Himanshi Sehgal, Souparni Roy, and Richa Nagda) whose project was based on producing electricity using heat and tomatoes.


Science in Action Finalist & Regional Finalist: Kenya’s ‘Scientists in progress’ team 
(Himanshi Sehgal, age 14, Souparni Roy, age 14 and Richa Nagda, age 14)

For the second year, we’ll also be recognizing the Scientific American Science in Action Award. This award honors a project that makes a practical difference by addressing an environmental, health or resource challenge. From the 90 finalists’ projects, 15 were nominated for this year’s award.

On June 27 we’ll announce the 15 global finalists and the winner of the Science in Action Award. These young scientists will then be flown to Google’s California headquarters for the last round of judging and a celebratory event on September 23.

Thank you to everyone who submitted a project—we really appreciate all your hard work. Congratulations to our 90 regional finalists!

Posted by Sam Peter, Google Science Fair team.




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Jeunes africains finalistes de la Fête de la science 2013 Google

De nombreux grands scientifiques ont montré une curiosité pour la science dès le plus jeune âge, c’est pourquoi, au mois de janvier, nous avons fait appel aux jeunes esprits les plus brillants du monde entier afin qu’ils nous fassent part de leurs idées pour changer le monde. L’édition 2013 de la Fête de la science Google a permis de recevoir des milliers de propositions de plus de 120 pays portant sur des projets aussi passionnants que variés.

Au terme de ces quelques mois d'activité intense pour le jury, nous sommes en mesure de révéler les noms des 90 finalistes régionaux pour la Fête de la science Google 2013. La sélection n’a pas été tâche facile, mais au final, la créativité, l’intérêt scientifique et la pertinence globale de ces projets leur ont permis de s’imposer.

Les finalistes africains de cette année sont : Samantha Hayward, scientifique sud-africaine qui a étudié les avantages et inconvénients de l'Indice de Masse Corporelle (IMC), et l'équipe kényane « Scientists in progress » (Himanshi Sehgal, Souparni Roy, and Richa Nagda), qui a pour projet de produire de l'électricité grâce à la chaleur et aux tomates.

Pour la seconde année, nous remettrons également le prix du magazine Scientific American de la science en action. Ce prix récompense un projet offrant une solution pratique à un problème concernant l’environnement, la santé ou l’exploitation des ressources. Sur les 90 projets des finalistes, 15 ont été nominés pour le prix qui sera décerné cette année.

Le 27 juin, nous annoncerons les 15 finalistes mondiaux ainsi que le lauréat du prix de la science en action. Ces jeunes scientifiques s’envoleront alors pour la Californie, où ils seront accueillis au siège de Google pour la phase finale de la sélection et la cérémonie de gala prévue le 23 septembre.

Nous voudrions remercier toutes celles et tous ceux qui ont soumis un projet pour tous leurs efforts. Félicitations à nos 90 finalistes régionaux !

Posté par Sam Peter, Équipe de Google Science Fair

Wednesday 19 June 2013

Drive, Docs, Sheets, and Slides now in Afrikaans, Amharic, Swahili, and Zulu

Google Drive lets you store and access your files anywhere -- on the web, on your hard drive, on your phone, or on the go. Whether you’re presenting slides in a boardroom in São Paulo or negotiating a Japanese contract in Tokyo, Google Drive speaks your language: 65 of them, to be exact, with the addition of 18 new ones today, including Afrikaans, Amharic, Swahili, and Zulu.

Afrikaans, Amharic, Basque, Chinese (Hong Kong), Estonian, French (Canada), Galician, Icelandic, Khmer, Lao, Malaysian, Nepali, Persian, Sinhalese, Spanish (Latin America), Swahili, Urdu, Zulu

You can switch back and forth as often as you like.

Love to collaborate? No matter which Drive app you’re using -- Docs, Sheets, Slides, Forms -- you can use them in real time in any language you choose while your fellow collaborators use another language.

To try Drive, Docs, Sheets, Slides in another language, you can switch by:

  1. Clicking the gear iconin the upper right, then select Settings
  2. Under General, select a language from the drop-down menu in the Language section. 
  3. Click Save. You’re done!

To change the language for Google Drive for mobile, go to your device’s language settings. If you don’t yet have Drive for mobile, you can visit the Google Play or the Apple App Store to get the Google Drive app.

Posted by: Ian Hill, Project Manager, Google Localization



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Google Drive et vos applications préférées en afrikaans, amharique, swahili et zoulou 

Grâce à Google Drive, vous pouvez stocker vos fichiers et y accéder où que vous soyez : sur le Web, depuis votre disque dur, sur votre téléphone ou en déplacement. Que vous soyez amené à faire une présentation au cours d'un conseil d'administration à São Paulo ou à négocier un contrat en japonais à Tokyo, Google Drive parle votre langue. L'application propose 65 langues au total, dont l’afrikaans, l’amharique, le swahili et le zoulou, parmi les 18 nouvelles langues lancées aujourd'hui :

Afrikaans, amharique, basque, chinois (Hong Kong), estonien, français (Canada), galicien, islandais, khmer, laotien, malaisien, népalais, perse, cingalais, espagnol (Amérique latine), swahili, ourdou, zoulou

De plus, vous pouvez changer de langue aussi souvent que vous le souhaitez.

Vous aimez travailler en équipe ? Quelle que soit l'application Google Drive utilisée (Documents, Feuilles de calcul, Présentations, Formulaires), vous pouvez travailler en temps réel dans la langue de votre choix, même si vos collaborateurs utilisent une autre langue.

Pour essayer les diverses applications de Google Drive dans une autre langue, rien de plus simple:

  1. Cliquez sur l'icône représentant une route dentée dans l'angle supérieur droit, puis sélectionnez Paramètres.
  2. Sous Général, sélectionnez une langue dans le menu déroulant de la section Langue.
  3. Cliquez sur Enregistrer. Vous avez terminé !
Pour changer la langue de Google Drive sur votre appareil mobile, modifiez simplement les paramètres de votre appareil. Si vous n'avez pas encore installé l'application Google Drive sur votre appareil mobile, rendez-vous sur Google Play ou sur l'App Store d'Apple pour la télécharger. Si vous n'avez encore jamais utilisé Google Drive, cliquez ici pour commencer.

Publié par : Ian Hill, Project Manager, Google Localization

Saturday 15 June 2013

Introducing Project Loon: Balloon-powered Internet access

The Internet is one of the most transformative technologies of our lifetimes. But for 2 out of every 3 people on earth, a fast, affordable Internet connection is still out of reach. And this is far from being a solved problem.
 
There are many terrestrial challenges to Internet connectivity—jungles, archipelagos, mountains. There are also major cost challenges. Right now, for example, in most of the countries in the southern hemisphere, the cost of an Internet connection is more than a month’s income.

Solving these problems isn’t simply a question of time: it requires looking at the problem of access from new angles. So today we’re unveiling our latest moonshot from Google[x]: balloon-powered Internet access.



We believe that it might actually be possible to build a ring of balloons, flying around the globe on the stratospheric winds, that provides Internet access to the earth below. It’s very early days, but we’ve built a system that uses balloons, carried by the wind at altitudes twice as high as commercial planes, to beam Internet access to the ground at speeds similar to today’s 3G networks or faster. As a result, we hope balloons could become an option for connecting rural, remote, and underserved areas, and for helping with communications after natural disasters. The idea may sound a bit crazy—and that’s part of the reason we’re calling it Project Loon—but there’s solid science behind it.



Balloons, with all their effortless elegance, present some challenges. Many projects have looked at high-altitude platforms to provide Internet access to fixed areas on the ground, but trying to stay in one place like this requires a system with major cost and complexity. So the idea we pursued was based on freeing the balloons and letting them sail freely on the winds. All we had to do was figure out how to control their path through the sky. We’ve now found a way to do that, using just wind and solar power: we can move the balloons up or down to catch the winds we want them to travel in. That solution then led us to a new problem: how to manage a fleet of balloons sailing around the world so that each balloon is in the area you want it right when you need it. We’re solving this with some complex algorithms and lots of computing power.

Now we need some help—this experiment is going to take way more than our team alone. This week we started a pilot program in the Canterbury area of New Zealand with 50 testers trying to connect to our balloons. This is the first time we’ve launched this many balloons (30 this week, in fact) and tried to connect to this many receivers on the ground, and we’re going to learn a lot that will help us improve our technology and balloon design. 




 Over time, we’d like to set up pilots in countries at the same latitude as New Zealand. We also want to find partners for the next phase of our project—we can’t wait to hear feedback and ideas from people who’ve been working for far longer than we have on this enormous problem of providing Internet access to rural and remote areas. We imagine someday you'll be able to use your cell phone with your existing service provider to connect to the balloons and get connectivity where there is none today.

This is still highly experimental technology and we have a long way to go—we’d love your support as we keep trying and keep flying! Follow our Google+ page to keep up with Project Loon’s progress.

Onward and upward.
Posted by Mike Cassidy, Project Lead



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Projet Loon : un accès internet alimenté par des ballons

Parmi les technologies dont nous disposons à notre époque, Internet est l’une de celles qui ont le plus révolutionné notre existence. Deux tiers de la population mondiale n’ont cependant toujours pas accès à une connexion rapide et bon marché, et il reste beaucoup de chemin à parcourir dans ce domaine.

Il faut en effet compter avec de nombreux obstacles naturels (jungles, archipels, montagnes, etc.) et d’ordre financier. Dans la majorité des pays de l’hémisphère sud, le coût d’une connexion Internet dépasse encore aujourd’hui l’équivalent d’un revenu mensuel.

Pour surmonter ces difficultés, il nous faudra du temps, mais nous devrons également aborder le problème de l’accès sous des angles différents. C’est dans cette optique que nous vous présentons aujourd’hui le dernier-né des projets expérimentaux de Google[x], l’accès Internet via des ballons.

Nous pensons qu’il est possible de recourir à des flottes de ballons dérivant au niveau de la stratosphère pour fournir un accès à Internet aux zones survolées. Nous n’en sommes qu’aux balbutiements du projet, mais nous avons d’ores déjà conçu un système qui utilise des ballons, transportés par le vent à des altitudes deux fois supérieures à celles des vols commerciaux, pour fournir un accès à Internet à des vitesses comparables, voire supérieures à celles des réseaux 3G actuels. Nous espérons qu’ils constitueront à terme une solution pour connecter des zones rurales, reculées et mal raccordées, notamment en vue de faciliter les communications en cas de catastrophe naturelle. Cette idée peut sembler farfelue, mais elle repose sur des bases scientifiques solides.

Si elle est esthétique, cette solution présente néanmoins quelques difficultés. De nombreux projets ont étudié la possibilité de construire des plate-formes à haute altitude pour fournir un accès à Internet sur des zones délimitées. Comme ce type d’installation fixe a l’inconvénient d’être complexe et très coûteux à mettre en place, nous avons opté pour une autre approche : recourir à des ballons dérivant au gré des vents et élaborer un système pour contrôler leur trajectoire dans le ciel. C’est maintenant chose faite. Grâce aux énergies solaire et éolienne, nous pouvons modifier l’altitude des ballons pour qu’ils utilisent les vents que nous souhaitons. Cela nous a amenés à un autre problème : la gestion d’une flotte de ballons dérivant aux quatre coins du globe, de façon que chaque ballon soit positionné dans la zone souhaitée au moment voulu. Pour cela, nous avons élaboré des algorithmes et des systèmes informatiques complexes.

Nous avons maintenant besoin d’aide, car notre équipe ne peut pas à elle seule tester ce système grandeur nature. Cette semaine, nous avons lancé un programme pilote dans la région de Canterbury en Nouvelle-Zélande, avec l’aide de 50 testeurs qui essaient de se connecter à nos ballons. Jamais auparavant nous n’avions lancé autant de ballons (30 en tout pour cette seule semaine) et tenté d’établir une connexion avec autant de recepteurs au sol. Cette expérience sera très utile pour nous aider à améliorer nos technologies ainsi que la conception des ballons. Avec le temps, nous aimerions mettre en place des programmes pilotes dans des pays à la même latitude que la Nouvelle-Zélande. Nous voulons également trouver des partenaires pour la prochaine étape de notre projet, et nous avons hâte de recueillir les avis et les suggestions de personnes qui se sont attaquées à cet énorme défi technologique bien avant nous. Un jour peut-être, vous pourrez utiliser votre téléphone mobile avec votre fournisseur d’accès actuel pour vous connecter aux ballons et naviguer sur Internet dans les zones qui en sont aujourd’hui dépourvues.

Il s'agit d'une technologie expérimentale et il reste encore beaucoup à faire. Nous avons besoin de vous pour aller encore plus loin et plus haut ! Abonnez-vous à notre page Google+ pour vous tenir informé de l’avancement du projet Loon, et souhaitez-nous bon vent !

Posté par Mike Cassidy, Directeur de Projet

Friday 7 June 2013

Explore Mapping with Google


From your own backyard all the way to Mount Kilimanjaro, Google Maps and Google Earth are here to help you explore the world. You can learn to harness the world’s most comprehensive and accurate mapping tools by registering for Mapping with Google.

Mapping with Google is a self-paced, online course developed to help you better navigate the world around you by improving your use of the new Google Maps, Maps Engine Lite, and Google Earth. All registrants will receive an invitation to preview the new Google Maps.

Through a combination of video and text lessons, activities, and projects, you’ll learn to do much more than look up directions or find your house from outer space. Tell a story of your favorite locations with rich 3D imagery, or plot sights to see on your upcoming trip and share with your travel buddies. During the course, you’ll have the opportunity to learn from Google experts and collaborate with a worldwide community of participants, via Google+ Hangouts and a course forum.

Mapping with Google will be offered from June 10 - June 24, and you can choose whether to explore the features of Google Maps, Google Earth, or both. In addition, you’ll have the option to complete a project, applying the skills you’ve learned to earn a certificate. Visit g.co/mappingcourse to learn more and register today.

The world is a big place, we like to think that you can make it a bit more manageable and adventurous with Google’s mapping tools.

Posted by Tina Ornduff, Program Manager




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Explorer encore plus avec "Mapping with Google"

De la porte de votre maison au sommet du Kilimanjaro, Google Maps et Google Earth sont là pour vous aider à explorer le monde. Vous pouvez apprendre à tirer le meilleur parti de ces outils de cartographie, les plus complets et les plus précis au monde, en vous inscrivant sur Mapping with Google.

Mapping with Google est une formation en ligne, que chacun peut suivre à son rythme, développée pour vous aider à mieux explorer le monde qui vous entoure, en améliorant l'utilisation des nouvelles Google Maps, de Maps Engine Lite et de Google Earth. Tous les inscrits recevront une invitation à visualiser en avant-première les nouvelles Google Maps.

Par le biais de formations vidéos, de cours écrits, d'activités et de projets, vous apprendrez bien plus qu'à constituer un itinéraire ou à visualiser votre maison depuis l'espace. Racontez des anecdotes sur vos lieux favoris en les agrémentant de riches images en 3D, ou marquez les sites à ne pas rater lors de votre prochain voyage et partagez tout cela avec vos compagnons de route. Pendant la formation, vous serez suivis par des experts Google et vous aurez l'occasion de collaborer avec une communauté mondiale de participants, via les Hangouts de Google+ et un forum spécifique.

Mapping with Google est proposé du 10 au 24 juin, et vous pouvez choisir de travailler sur Google Maps, Google Earth, ou les deux. De plus, vous aurez la possibilité de réaliser un projet, en appliquant les techniques apprises, pour obtenir un certificat. Consulter g.co/mappingcourse pour en savoir plus et vous inscrire dès aujourd'hui.

Le monde est vaste. Nous aimons à penser que l'on peut le rendre un peu plus accessible et plus ouvert à l'aventure avec les outils de cartographie de Google.


Publié par Tina Ornduff, Responsable Programme

Thursday 6 June 2013

More than 15 African countries gather to explore the potential of TV White Spaces

To help bring more of Africa online, we often work with others: offering programs to get universities connected, supporting nonprofit innovators to increase engineering know-how, and partnering to test the use of TV White Spaces for broadband access in underserved areas.

TV White Spaces--unused channels in the broadcast TV spectrum--have the potential to help cover the last mile of Internet access. The last mile, or final connection to the user, is one of the biggest challenges to improving connectivity in Sub-Saharan Africa and other emerging markets. TV White Spaces are important because they offer available and underutilized spectrum (especially in less developed areas), allow signals to travel over long distances, and can enable a lower-cost alternative for broadband.

Many are catching on to the promise of TV White Spaces, developing technologies and advancing regulation to use this spectrum. Last week, 25 countries, 17 in Africa, joined the TV White Spaces & Dynamic Spectrum Africa Forum in Dakar, Senegal to discuss what’s next. The event, supported by Google, Microsoft, the Association for Progressive Communications, Afrinic, Senegal’s Minister of Communication, Telecommunications and Digital Economy and ISOC Senegal, focused on a few key themes that highlight the potential of the technology.
  • TV White Spaces are available. Using our spectrum database, we shared a visual of available white space in Senegal. There is more than 90 MHz available in Dakar alone, and more across the country--spectrum that could be used for broadband. Compared to the San Francisco Bay area, the number of available channels is remarkable.

  • Regulation can pave a path in Africa. ICASA, the South African regulator, plans to use trial outcomes to evaluate possible rules for use of the TV White Spaces. Other regulators showing interest in TV White Spaces for broadband included Senegal, as well as Malawi, where less than 9% of the population receives broadcast TV and many channels are left available. 
  • Developing new technologies for TV White Spaces. Radio manufacturers shared how TV White Spaces radios can talk to a database, which tells the radio which channels are available in a given geography. Adaptrum and Carlson presented the results of deployments of these radios, in Kenya and South Africa respectively. 
From trials to databases to radios, these efforts show that players are stepping up to use TV White Spaces to help enable Internet access in West Africa and beyond. That’s good news for a future where more people have access to the Web.
Alan Norman, Principal


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Plus de 15 pays africains réunis pour explorer le potentiel des espaces blancs télévisuels 

Pour aider les Africains à disposer d'un accès à Internet, nous travaillons souvent avec des partenaires : en offrant des programmes pour connecter des universités, en soutenant les innovateurs à but non lucratif pour développer les savoir-faire d'ingénierie et en créant des partenariats pour tester l'exploitation des espaces blancs télévisuels pour l'accès haut débit dans les régions sous-équipées.

Les canaux inexploités des espaces blancs télévisuels sont susceptibles d'aider à couvrir le "dernier kilomètre" pour l'accès à Internet. Le "dernier kilomètre", i.e. la connexion finale de l'utilisateur, est l'un des principaux défis pour améliorer la connectivité en Afrique sub-saharienne et dans d'autres marchés émergents. Les espaces blancs télévisuels sont importants car ils offrent du spectre disponible et sous-exploité (notamment dans les régions les moins développées), permettent aux signaux de transiter sur de longues distances et peuvent constituer une alternative à bas coût pour le haut débit.

Beaucoup s'enthousiasment pour les promesses des espaces blancs télévisuels, développant des technologies et proposant des réglementations pour exploiter ce spectre. La semaine dernière, 25 pays, dont 17 en Afrique, ont rejoint le Forum Afrique sur les Espaces blancs télévisuels et le Spectre dynamique à Dakar (Sénégal) pour discuter des étapes suivantes. L'événement, soutenu par Google, Microsoft, l'Association pour le Progrès des Communications, Afrinic, le ministre des communications, des télécommunications et de l'économie numérique du Sénégal et ISOC Sénégal, s'est concentré sur quelques thèmes majeurs qui mettent en valeur le potentiel de cette technologie.


  • Les espaces blancs télévisuels sont disponibles. À l'aide de notre base de données de spectre, nous avons partagé une visualisation des espaces blancs disponibles au Sénégal. Il y a plus de 90 MHz disponibles rien qu'à Dakar, et davantage dans le reste du pays --un spectre qui peut être exploité pour le haut débit. Comparé à la région de la baie de San Francisco, le nombre de canaux disponibles est impressionnant.
  • La réglementation peut ouvrir la voie en Afrique. L'ICASA, l'autorité réglementaire sud-africaine, prévoit d'utiliser les résultats des essais pour évaluer les règles possibles d'exploitation des espaces blancs télévisuels. D'autres autorités réglementaires ont manifesté leur intérêt pour les espaces blancs télévisuels exploités pour le haut débit, dont le Sénégal, ainsi que le Malawi, où moins de 9 % de la population reçoit les émissions de télévisions et où de nombreux canaux sont disponibles. 
  • Développer de nouvelles technologies pour les espaces blancs télévisuels. Les fabricants de radio ont échangé sur la façon de relier les radios exploitant les espaces blancs télévisuels à une base de données, laquelle indique à la radio les canaux disponibles dans une région donnée. Adaptrum et Carlson ont présenté le résultat du déploiement de ces radios, respectivement au Kenya et en Afrique du Sud. 
Des essais aux bases de données et aux radios, ces efforts montrent que les acteurs avancent dans l'exploitation des espaces blancs télévisuels pour le développement de l'accès à Internet en Afrique de l'Ouest et au-delà. C'est une bonne nouvelle : un avenir où de plus en plus de gens auront accès à Internet.

Publié par Alan Norman, Directeur