En Français
Since August of this year, the civil war in the Democratic Republic of Congo has seen 250,000 Congolese citizens forced to flee their homes. As the death toll and refugee counts increase, people on the frontline of efforts to help are utilizing YouTube to speak out against the violence.
Nonprofit organizations are using the site to raise awareness about the conflict and to raise funds that are desperately needed to provide food, medicine and sanitation for the refugees. UNICEF uses video to explore a day on the ground at one of the refugee camps in DR Congo, while Doctors Without Borders depicts the struggles of the displaced through a powerful slideshow. And if you'd like to contribute more than just your viewership, the Disasters Emergency Committee recently posted an appeal on behalf of the UK's 13 leading charities for YouTube users to donate funds:
Individual YouTube users have also been raising their voices to demand that more be done to end the fighting. This UK citizen asked Prime Minister Gordon Brown why he recently spent more time talking about British celebrities than the dire situation in DR Congo.
You can join this important conversation -- if you have thoughts about the humanitarian crisis, please add them in the comments or detail them in a video.
Posted by Ramya R, YouTube Nonprofits & Activism
Cross-posted to YouTube blog
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Les utilisateurs de YouTube répondent à la crise en République Démocratique du Congo
Depuis le mois d'Août de cet année, la guerre civile en République Démocratique du Congo a contraint 250000 Congolais à fuir leurs foyers. Alors que le nombre de morts et de réfugiés s'accroit, les personnes en première ligne des efforts menés dans ce pays utilisent Youtube pour s'exprimer contre cette violence.
Les organisations à but non-lucratif utilisent le site pour augmenter la visibilité au sujet de ce conflit, et pour collecter des fonds qui font défaut afin de fournir nourriture, médicaments, et soins aux réfugiés. L'UNICEF utilise la vidéo pour partager une journée quotidienne sur le terrain dans l'un des camps de réfugiés en RD du Congo, et les Medecins Sans Frontières décrivent les luttes des populations déplacées au travers d'un diaporama. Et si vous souhaitez contribuer plus qu'en simple visiteur du site, le Comité des D a recemment posté un appel au nom des 13 plus grandes associations carritatives du Royaume Uni pour encourager les utilisateurs de Youtube à faire des dons.
Des utilisateurs de Youtube se sont également exprimés pour demander que tout soit fait afin de faire cesser ces combats. Ce citoyen Anglais a demandé au Premier Ministre Gordon Brown pourquoi a-t'il récemment passé plus de temps à parler des célébrités Anglais qu'à parler de la situation au Congo.
Vous pouvez participer à cette discussion importante -- si vous avez des commentaires au sujet de la crise humanitaire, n'hésitez pas à ajouter poster vos remarques ou à poster une vidéo de réponse.
Posté par Ramya R, YouTube Nonprofits & Activism
Initialement posté sur le blog YouTube
Tuesday, 25 November 2008
Thursday, 20 November 2008
Why Local Content Matters
En Français
Having been in Africa for the past several months, I am beginning to see firsthand how access to information by regular citizens is starting to transform the continent. A single newspaper could be read by as many as 10 people, citizens are willing to rent-a-paper, and FM radio stations are exploding in communities where people are hungry for news, entertainment, and opportunities to make their voices heard.
It’s the last point that has really struck me. With mobile phone penetration growing everyday and airtime prices falling, people are communicating more than ever before, sending text messages and calling in to radio talk shows. They are expressing their views, sharing their opinions with each other, and communicating their delight or displeasure with government, business, and civil actors in more informed ways.
In East Africa in particular, people are bracing themselves for the broadband revolution. Within 12 months, initiatives like Seacom and EasyCom are likely to be active in the region and will connect people in completely new ways. What will happen when the super-highways open their gates? Will traffic flow in one direction or two? Will East Africans become net consumers or producers of information?
Last week, Kenya held its first “content” conference arranged by the national ICT Board. Public and private people had plenty to say about “local content” and why it mattered. What started as a technical discussion about connectivity quickly turned to issues of national pride, language, and fear that a globalized world could homogenize indigenous cultures. While Kenyans clearly yearn to be part of the global community and consume information far beyond their borders, they also want to be heard, recognized, and contribute to global conversations. They want their news, their music, their issues, and their voices to find a place in the online universe.
Today, Swahili books online for example, number in the hundreds compared to the hundreds of millions of books in English available online. What message does this send to young people about the relative importance of their knowledge, language, and culture? Fortunately, Google translation tools are beginning to address this challenge and launching search in Swahili is creating the right incentives to put more content online. But what else will it take to create symmetry between the number of people who speak a given language and content available to them?
The good news is that there is no paucity of African content in the offline world. Africa is home to some of the world’s richest musical traditions, oral histories, and physical heritage. The second piece of good news is that mobile phones are likely to be gateways to the internet in much of the continent. The challenge is how to migrate this wealth of content from the offline to the online world. If Africans are going to get online en masse, they need a reason to go there and they need to see themselves, their values, and their stories when looking through the online prism. With the availability of Google MapMaker in Africa, we’re already seeing that people are creating their own content and populating base maps with layers that are meaningful and useful to them. That is exciting. Whether its stories, pictures, or data on budgets and literacy rates, I hope we can give people a stake and a reason to get online and participate in the information society.
Posted by Aleem Walji, Google.org
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Pourquoi un contenu localisé compte autant
Ayant passé les derniers mois en Afrique, je commence à comprendre à quel point l'accès à l'information par des citoyens ordinaires est en train de transformer le continent. Un seul journal peut être lu par jusqu'à 10 personnes, certains sont prêts à louer un journal, et de multiples stations de radio FM se créent pour une population toujours plus avide d'informations, de divertissement, et d'occasions pour se faire entendre.
C'est ce dernier point qui m'a vraiment fappé. Avec un taux de pénétration du téléphone mobile en pleine croissance et des prix de communication en diminution, les gens communiquent toujours plus, s'envoient des SMS et appellent pour intervenir dans des émissions de radio. Ils expriment leurs points de vue, partagent leurs opinions, et communiquent leur satisfaction ou non, de manière plus informelle, envers le gouvernement, les entreprises, et les acteurs publics.
En Afrique de l'Est en particulier, la population entre complètement dans la révolution du haut débit. D'ici 12 mois, des initiatives telles Seacom et EasyCom ont de fortes chances d'être opérationnelles et connecteront les individus de manière novatrice. Que se passera-t-il quand les supers-autoroutes ouvriront leurs portes ? Le trafic coulera-t-il dans un sens ou dans les deux ? Les africains de l'Est seront-ils des consommateurs ou des producteurs d'information ?
La semaine dernière, le Kenya tenait sa première conférence sur le "contenu", une conférence mise par en place par le comité national ICT. Les acteurs publics et privés avaient de nombreuses choses à dire à propos du "contenu localisé" et pourquoi cela importait tant. Ce qui avait débuté en une discussion technique sur la connectivité se transforma rapidement en questions de fierté nationale, langue, et crainte qu'un monde globalisé puisse homogénéiser des cultures indigènes. Tandis que les Kényans désirent véritablement faire partie de la communauté mondiale et consommer de l'information qui vient d'au-delà de leurs frontières, ils souhaitent aussi être entendus, reconnus, et contribuer aux conversations globales. Ils veulent que leurs informations, leurs musiques, leurs questions, et leurs voix soient entendues dans l'univers en ligne.
Aujourd'hui par exemple, les livres en swahili en ligne se comptent seulement en centaines, contre des centaines de millions de livres en anglais disponibles en ligne. Quel message cela envoie-t-il aux jeunes par rapport à l'importance relative de leurs connaissances, leur langue et leur culture ? Heureusement, les outils de traduction de Google commencent à répondre à ce défi et le lancement de la recherche Google en swahili crée l'envie nécessaire pour ajouter du contenu en ligne. Mais que faudra-t-il d'autre pour créer une symétrie entre le nombre de personnes qui parlent une langue et le contenu qui leur est disponible ?
Le bon côté des choses est qu'il n'y a pas de pénurie dans le contenu africain dans le monde offline. L'Afrique est le berceau mondial de traditions musicales, d'histoires orales, et d'un héritage physique. L'autre bonne nouvelle est que les téléphones mobiles vont probablement être les portes d'entrée à Internet pour la plupart du continent. Le défi consiste à migrer la richesse de ce contenu vers le monde en ligne. Si les africains se connectent en masse en ligne, alors ils ont besoin d'une raison pour le faire et ils doivent voir leurs valeurs et leurs histoires quand ils parcourent le monde en ligne. Avec le lancement de Google Maps en Afrique, nous sommes déjà en train de voir des peuples créer leur propre contenu et compléter des cartes avec des calques qui ont du sens et qui leur sont utiles. Ceci est particulièrement enthousiasmant ! Que ce soit des histoires, des images, des données sur les budgets et le taux d'alphabétisation, j'espère que nous pouvons donner à tous ces gens une raison et une envie d'être en ligne et de participer à la société de l'information.
Posté par Aleem Walji, Google.org
Having been in Africa for the past several months, I am beginning to see firsthand how access to information by regular citizens is starting to transform the continent. A single newspaper could be read by as many as 10 people, citizens are willing to rent-a-paper, and FM radio stations are exploding in communities where people are hungry for news, entertainment, and opportunities to make their voices heard.
It’s the last point that has really struck me. With mobile phone penetration growing everyday and airtime prices falling, people are communicating more than ever before, sending text messages and calling in to radio talk shows. They are expressing their views, sharing their opinions with each other, and communicating their delight or displeasure with government, business, and civil actors in more informed ways.
In East Africa in particular, people are bracing themselves for the broadband revolution. Within 12 months, initiatives like Seacom and EasyCom are likely to be active in the region and will connect people in completely new ways. What will happen when the super-highways open their gates? Will traffic flow in one direction or two? Will East Africans become net consumers or producers of information?
Last week, Kenya held its first “content” conference arranged by the national ICT Board. Public and private people had plenty to say about “local content” and why it mattered. What started as a technical discussion about connectivity quickly turned to issues of national pride, language, and fear that a globalized world could homogenize indigenous cultures. While Kenyans clearly yearn to be part of the global community and consume information far beyond their borders, they also want to be heard, recognized, and contribute to global conversations. They want their news, their music, their issues, and their voices to find a place in the online universe.
Today, Swahili books online for example, number in the hundreds compared to the hundreds of millions of books in English available online. What message does this send to young people about the relative importance of their knowledge, language, and culture? Fortunately, Google translation tools are beginning to address this challenge and launching search in Swahili is creating the right incentives to put more content online. But what else will it take to create symmetry between the number of people who speak a given language and content available to them?
The good news is that there is no paucity of African content in the offline world. Africa is home to some of the world’s richest musical traditions, oral histories, and physical heritage. The second piece of good news is that mobile phones are likely to be gateways to the internet in much of the continent. The challenge is how to migrate this wealth of content from the offline to the online world. If Africans are going to get online en masse, they need a reason to go there and they need to see themselves, their values, and their stories when looking through the online prism. With the availability of Google MapMaker in Africa, we’re already seeing that people are creating their own content and populating base maps with layers that are meaningful and useful to them. That is exciting. Whether its stories, pictures, or data on budgets and literacy rates, I hope we can give people a stake and a reason to get online and participate in the information society.
Posted by Aleem Walji, Google.org
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Pourquoi un contenu localisé compte autant
Ayant passé les derniers mois en Afrique, je commence à comprendre à quel point l'accès à l'information par des citoyens ordinaires est en train de transformer le continent. Un seul journal peut être lu par jusqu'à 10 personnes, certains sont prêts à louer un journal, et de multiples stations de radio FM se créent pour une population toujours plus avide d'informations, de divertissement, et d'occasions pour se faire entendre.
C'est ce dernier point qui m'a vraiment fappé. Avec un taux de pénétration du téléphone mobile en pleine croissance et des prix de communication en diminution, les gens communiquent toujours plus, s'envoient des SMS et appellent pour intervenir dans des émissions de radio. Ils expriment leurs points de vue, partagent leurs opinions, et communiquent leur satisfaction ou non, de manière plus informelle, envers le gouvernement, les entreprises, et les acteurs publics.
En Afrique de l'Est en particulier, la population entre complètement dans la révolution du haut débit. D'ici 12 mois, des initiatives telles Seacom et EasyCom ont de fortes chances d'être opérationnelles et connecteront les individus de manière novatrice. Que se passera-t-il quand les supers-autoroutes ouvriront leurs portes ? Le trafic coulera-t-il dans un sens ou dans les deux ? Les africains de l'Est seront-ils des consommateurs ou des producteurs d'information ?
La semaine dernière, le Kenya tenait sa première conférence sur le "contenu", une conférence mise par en place par le comité national ICT. Les acteurs publics et privés avaient de nombreuses choses à dire à propos du "contenu localisé" et pourquoi cela importait tant. Ce qui avait débuté en une discussion technique sur la connectivité se transforma rapidement en questions de fierté nationale, langue, et crainte qu'un monde globalisé puisse homogénéiser des cultures indigènes. Tandis que les Kényans désirent véritablement faire partie de la communauté mondiale et consommer de l'information qui vient d'au-delà de leurs frontières, ils souhaitent aussi être entendus, reconnus, et contribuer aux conversations globales. Ils veulent que leurs informations, leurs musiques, leurs questions, et leurs voix soient entendues dans l'univers en ligne.
Aujourd'hui par exemple, les livres en swahili en ligne se comptent seulement en centaines, contre des centaines de millions de livres en anglais disponibles en ligne. Quel message cela envoie-t-il aux jeunes par rapport à l'importance relative de leurs connaissances, leur langue et leur culture ? Heureusement, les outils de traduction de Google commencent à répondre à ce défi et le lancement de la recherche Google en swahili crée l'envie nécessaire pour ajouter du contenu en ligne. Mais que faudra-t-il d'autre pour créer une symétrie entre le nombre de personnes qui parlent une langue et le contenu qui leur est disponible ?
Le bon côté des choses est qu'il n'y a pas de pénurie dans le contenu africain dans le monde offline. L'Afrique est le berceau mondial de traditions musicales, d'histoires orales, et d'un héritage physique. L'autre bonne nouvelle est que les téléphones mobiles vont probablement être les portes d'entrée à Internet pour la plupart du continent. Le défi consiste à migrer la richesse de ce contenu vers le monde en ligne. Si les africains se connectent en masse en ligne, alors ils ont besoin d'une raison pour le faire et ils doivent voir leurs valeurs et leurs histoires quand ils parcourent le monde en ligne. Avec le lancement de Google Maps en Afrique, nous sommes déjà en train de voir des peuples créer leur propre contenu et compléter des cartes avec des calques qui ont du sens et qui leur sont utiles. Ceci est particulièrement enthousiasmant ! Que ce soit des histoires, des images, des données sur les budgets et le taux d'alphabétisation, j'espère que nous pouvons donner à tous ces gens une raison et une envie d'être en ligne et de participer à la société de l'information.
Posté par Aleem Walji, Google.org
Wednesday, 19 November 2008
One Water Africa trip
En Français
Two months ago, in September, three of us embarked on an inspirational trip which was the culmination of over 18 months of collaboration between Google and the charity One Water.
My traveling companions were Jim Glass, our Food Services manager for Europe/Middle East/Africa (EMEA), and Adrian Evans, our Executive Chef in London. After a 12-hour flight into Jo’burg, followed by six hours driving, we arrived at our very accommodating rural lodge in the Millwane Wildlife Sanctuary. Our destination: Swaziland, specifically the the school at Kaphunga.
We chose this school because it's the location of the first ever Google-funded Playpump, which was installed in January 2008. The Playpump is located at Kaphunga school but accessible by the entire village, providing a local source of clean drinking water.
That's important because the majority of water in Swaziland is provided by the municipality, in large tanks called ‘Jojos’. These require electricity to function and because there are only two power stations in the country, and power outage is a frequent occurrence. When this happens, the use of ‘Jojos’ for water is restricted. When 'Jojos' are locked off, it usually means that women and children have to walk several hours to source clean drinking water.
We were privileged to see what a difference a clean source of water had made to not only the children, but their families and the wider community, where often families are forced to walk several hours each day to collect water. In many cases the water is not very clean, sometimes even contaminated.
We were able to see what a difference the Playpump is making already at Kaphunga: Its paint has been worn down right to the metal, because the children are playing on it so much!
We also saw our next big challenge: to make a usable vegetable garden. We promised promised the school we would create one during our visit.
Our challenge was to depart from Kaphunga knowing that we had started the development of a collaboration between Google, One Water and Kaphunga school. The Playpump was the first step, but the major task was to make it a useful resource for greater things, such as supporting the cultivation of crops to help provide more nutritious and healthy meals for all the children at the school. Since the food prepared at the school is predominantly received through donations, it does not always meet the children’s nutritional needs.
We started by finding a local nursery to purchase seedlings and equipment for the garden (it was more of a field!). Based on advice from knowledgeable area residents, we decided on a selection of crops that would give maximum benefit to the school and community. We purchased thousands of tomato and green pepper plants, along with spinach, onion and cabbage seedlings. We also invested in watering cans, rakes, spades, trowels and 20 fruit trees including lychees, mangos and oranges.
We arrived at the school full of enthusiasm to start planting and were soon joined by teachers and children. Within a day, we were pleasantly surprised at how quickly the garden started to come together. Before long, we had planted all the seedlings and the children had watered them, using the Playpump and ferrying the water up to the garden.
The following morning, the teachers and the children were already hard at work, watering the new seedlings and digging the holes for the fruit trees. The new vegetable garden at Kaphunga will give the school cooks a much better variety of ingredients and provide the kids with food that is currently lacking in their daily diet. The project is also a great way to teach the children agriculture, which is one of the key means to attract them into schools.
We left Kaphunga tired, but with a whole new appreciation on life -- knowing how fortunate we are to have clean drinking water readily available, not to mention daily meals on site each day. As we carefully consider the future and what else can be done to fund more Playpumps, we will be reaching out to Googlers in Europe, and globally, to get their thoughts, ideas, and support. There is so much more that can be done to help the incredible children at the Kaphunga School and the local community
Posted by Vishal Patel, Events Manager
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Voyage en Afrique One Water
Il y a deux mois, en septembre, trois d'entre nous sommes partis pour un voyage qui constituait l'aboutissement de 18 mois de collaboration entre Google et l'association caritative One Water.
Mes compagnons de voyage étaient Jim Glass, notre Manager Food Services pour l'Europe, le Moyen Orient et l'Afrique (EMEA), et Adrian Evans, notre Chef Cuisinier à Londres. Après 12 heures de vol vers Johannesburg, suivies de 6 heures de voiture, nous sommes arrivés dans un très accueillant chalet du parc naturel de Millwane. Notre destination : le Swaziland et plus spécifiquement l'école de Kaphunga.
Nous avons choisi cette école car c'est le lieu où la première pompe Playpump financée par Google fut installée en janvier 2008. La Playpump se trouve à l'école de Kaphunga mais est accessible par tous les habitants du village, constituant ainsi une source locale d'eau potable.
Cette pompe est très importante car au Swaziland la presque totalité de l'eau potable est fournie par la municipalité dans de larges cuves appelées 'Jojos’. Les ‘Jojos’ nécessitent de l'électricité pour fonctionner et comme il n'y a que deux centrales électriques dans le pays, les coupures d'électricité sont fréquentes. Quand celles-ci se produisent, l'utilisation des ‘Jojos’ pour l'eau est limitée. Quand les 'Jojos' ne sont pas disponibles, ce qui signifie que les femmes et les enfants doivent marcher pendant plusieurs heures pour puiser de l'eau potable.
Nous avons été privilégiés de voir la différence qu'a pu faire cette nouvelle source d'eau potable non seulement pour les enfants, mais pour leurs familles et toute la communauté, quand souvent les familles sont obligées de marcher plusieurs heures chaque jour pour avoir de l'eau. D’autant que dans la plupart des cas, l'eau n'est pas très propre et parfois même contaminée.
Lors de notre séjour, nous avons constaté une première différence faite par la Playpump à Kaphunga : sa peinture avait été usée jusqu'au métal parce que les enfants avaient tellement joués avec elle ! Nous avons aussi perçu notre prochain grand défi : créer un jardin potager. En effet, nous avions promis à l'école que nous en créerions un pendant notre visite.
Notre défi fut de quitter Kaphunga en sachant que nous avions débuté le développement d'une collaboration entre Google, One Water et l'école Kaphunga. La Playpump en était la première étape, mais la tache majeure était d'en faire une ressource utile pour de meilleurs projets comme soutenir le développement des cultures pour procurer des repas plus nutritionnels et équilibrés à tous les enfants de l'école. Etant donné que la nourriture préparée à l'école est constituée de façon prédominante par des dons, elle ne correspond pas toujours aux besoins nutritionnels des enfants.
Nous avons commencé par trouver une pépinière pour acheter des plans et des équipements pour le jardin (c'était plutôt un champ !). Sur les conseils de la population locale, nous avons décidé d'une sélection de cultures qui procurent un maximum de bénéfices à l'école et à la communauté. Nous avons acheté des milliers de plans de tomates et de poivrons verts, ainsi que des graines d'épinards, d'oignons et de choux. Nous avons aussi investi dans des arrosoirs, des râteaux, des pelles et des truelles ainsi que dans 20 arbres fruitiers comme des arbres à lychees, des manguiers et des orangers.
Nous sommes arrivés à l'école plein d'enthousiasme pour commencer à planter et avons été rejoins par les instituteurs et les élèves. En un jour, nous fûmes positivement surpris de voir à quelle vitesse le jardin commençait à ressembler à quelque chose. En peu de temps, nous avions planté toutes les graines et les enfants les avaient arrosées, utilisant la Playpump et apportant l'eau au jardin.
Le jour suivant, les instituteurs et les enfants ont travaillé dur, arrosant les nouvelles pousses et creusant des trous pour les arbres fruitiers. Le nouveau potager à Kaphunga allait donner aux cuisiniers de l'école une meilleure variété d'ingrédients et procurer aux enfants les aliments qui manquent actuellement à leur repas. Le projet est aussi une bonne façon d'enseigner aux enfants l'agriculture, ce qui constitue un des moyens clés pour les attirer à l'école.
Nous avons quitté Kaphunga fatigués, mais avec une toute nouvelle appréciation de la vie, réalisant quelle chance nous avions d'avoir de l'eau potable immédiatement disponible, sans mentionner des repas quotidiens sur place chaque jour. Si nous considérons avec attention notre futur et voyons ce qu'il peut être fait pour financer davantage de Playpumps, nous allons contacter les Googlers en Europe, et partout ailleurs, afin de recueillir leur pensées, idées et soutien. Tellement plus peut être fait pour aider les incroyables enfants de l'école Kaphunga et leur communauté !
Posté par Vishal Patel, Events Manager
Two months ago, in September, three of us embarked on an inspirational trip which was the culmination of over 18 months of collaboration between Google and the charity One Water.
My traveling companions were Jim Glass, our Food Services manager for Europe/Middle East/Africa (EMEA), and Adrian Evans, our Executive Chef in London. After a 12-hour flight into Jo’burg, followed by six hours driving, we arrived at our very accommodating rural lodge in the Millwane Wildlife Sanctuary. Our destination: Swaziland, specifically the the school at Kaphunga.
We chose this school because it's the location of the first ever Google-funded Playpump, which was installed in January 2008. The Playpump is located at Kaphunga school but accessible by the entire village, providing a local source of clean drinking water.
That's important because the majority of water in Swaziland is provided by the municipality, in large tanks called ‘Jojos’. These require electricity to function and because there are only two power stations in the country, and power outage is a frequent occurrence. When this happens, the use of ‘Jojos’ for water is restricted. When 'Jojos' are locked off, it usually means that women and children have to walk several hours to source clean drinking water.
We were privileged to see what a difference a clean source of water had made to not only the children, but their families and the wider community, where often families are forced to walk several hours each day to collect water. In many cases the water is not very clean, sometimes even contaminated.
We were able to see what a difference the Playpump is making already at Kaphunga: Its paint has been worn down right to the metal, because the children are playing on it so much!
We also saw our next big challenge: to make a usable vegetable garden. We promised promised the school we would create one during our visit.
Our challenge was to depart from Kaphunga knowing that we had started the development of a collaboration between Google, One Water and Kaphunga school. The Playpump was the first step, but the major task was to make it a useful resource for greater things, such as supporting the cultivation of crops to help provide more nutritious and healthy meals for all the children at the school. Since the food prepared at the school is predominantly received through donations, it does not always meet the children’s nutritional needs.
We started by finding a local nursery to purchase seedlings and equipment for the garden (it was more of a field!). Based on advice from knowledgeable area residents, we decided on a selection of crops that would give maximum benefit to the school and community. We purchased thousands of tomato and green pepper plants, along with spinach, onion and cabbage seedlings. We also invested in watering cans, rakes, spades, trowels and 20 fruit trees including lychees, mangos and oranges.
We arrived at the school full of enthusiasm to start planting and were soon joined by teachers and children. Within a day, we were pleasantly surprised at how quickly the garden started to come together. Before long, we had planted all the seedlings and the children had watered them, using the Playpump and ferrying the water up to the garden.
The following morning, the teachers and the children were already hard at work, watering the new seedlings and digging the holes for the fruit trees. The new vegetable garden at Kaphunga will give the school cooks a much better variety of ingredients and provide the kids with food that is currently lacking in their daily diet. The project is also a great way to teach the children agriculture, which is one of the key means to attract them into schools.
We left Kaphunga tired, but with a whole new appreciation on life -- knowing how fortunate we are to have clean drinking water readily available, not to mention daily meals on site each day. As we carefully consider the future and what else can be done to fund more Playpumps, we will be reaching out to Googlers in Europe, and globally, to get their thoughts, ideas, and support. There is so much more that can be done to help the incredible children at the Kaphunga School and the local community
Posted by Vishal Patel, Events Manager
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Voyage en Afrique One Water
Il y a deux mois, en septembre, trois d'entre nous sommes partis pour un voyage qui constituait l'aboutissement de 18 mois de collaboration entre Google et l'association caritative One Water.
Mes compagnons de voyage étaient Jim Glass, notre Manager Food Services pour l'Europe, le Moyen Orient et l'Afrique (EMEA), et Adrian Evans, notre Chef Cuisinier à Londres. Après 12 heures de vol vers Johannesburg, suivies de 6 heures de voiture, nous sommes arrivés dans un très accueillant chalet du parc naturel de Millwane. Notre destination : le Swaziland et plus spécifiquement l'école de Kaphunga.
Nous avons choisi cette école car c'est le lieu où la première pompe Playpump financée par Google fut installée en janvier 2008. La Playpump se trouve à l'école de Kaphunga mais est accessible par tous les habitants du village, constituant ainsi une source locale d'eau potable.
Cette pompe est très importante car au Swaziland la presque totalité de l'eau potable est fournie par la municipalité dans de larges cuves appelées 'Jojos’. Les ‘Jojos’ nécessitent de l'électricité pour fonctionner et comme il n'y a que deux centrales électriques dans le pays, les coupures d'électricité sont fréquentes. Quand celles-ci se produisent, l'utilisation des ‘Jojos’ pour l'eau est limitée. Quand les 'Jojos' ne sont pas disponibles, ce qui signifie que les femmes et les enfants doivent marcher pendant plusieurs heures pour puiser de l'eau potable.
Nous avons été privilégiés de voir la différence qu'a pu faire cette nouvelle source d'eau potable non seulement pour les enfants, mais pour leurs familles et toute la communauté, quand souvent les familles sont obligées de marcher plusieurs heures chaque jour pour avoir de l'eau. D’autant que dans la plupart des cas, l'eau n'est pas très propre et parfois même contaminée.
Lors de notre séjour, nous avons constaté une première différence faite par la Playpump à Kaphunga : sa peinture avait été usée jusqu'au métal parce que les enfants avaient tellement joués avec elle ! Nous avons aussi perçu notre prochain grand défi : créer un jardin potager. En effet, nous avions promis à l'école que nous en créerions un pendant notre visite.
Notre défi fut de quitter Kaphunga en sachant que nous avions débuté le développement d'une collaboration entre Google, One Water et l'école Kaphunga. La Playpump en était la première étape, mais la tache majeure était d'en faire une ressource utile pour de meilleurs projets comme soutenir le développement des cultures pour procurer des repas plus nutritionnels et équilibrés à tous les enfants de l'école. Etant donné que la nourriture préparée à l'école est constituée de façon prédominante par des dons, elle ne correspond pas toujours aux besoins nutritionnels des enfants.
Nous avons commencé par trouver une pépinière pour acheter des plans et des équipements pour le jardin (c'était plutôt un champ !). Sur les conseils de la population locale, nous avons décidé d'une sélection de cultures qui procurent un maximum de bénéfices à l'école et à la communauté. Nous avons acheté des milliers de plans de tomates et de poivrons verts, ainsi que des graines d'épinards, d'oignons et de choux. Nous avons aussi investi dans des arrosoirs, des râteaux, des pelles et des truelles ainsi que dans 20 arbres fruitiers comme des arbres à lychees, des manguiers et des orangers.
Nous sommes arrivés à l'école plein d'enthousiasme pour commencer à planter et avons été rejoins par les instituteurs et les élèves. En un jour, nous fûmes positivement surpris de voir à quelle vitesse le jardin commençait à ressembler à quelque chose. En peu de temps, nous avions planté toutes les graines et les enfants les avaient arrosées, utilisant la Playpump et apportant l'eau au jardin.
Le jour suivant, les instituteurs et les enfants ont travaillé dur, arrosant les nouvelles pousses et creusant des trous pour les arbres fruitiers. Le nouveau potager à Kaphunga allait donner aux cuisiniers de l'école une meilleure variété d'ingrédients et procurer aux enfants les aliments qui manquent actuellement à leur repas. Le projet est aussi une bonne façon d'enseigner aux enfants l'agriculture, ce qui constitue un des moyens clés pour les attirer à l'école.
Nous avons quitté Kaphunga fatigués, mais avec une toute nouvelle appréciation de la vie, réalisant quelle chance nous avions d'avoir de l'eau potable immédiatement disponible, sans mentionner des repas quotidiens sur place chaque jour. Si nous considérons avec attention notre futur et voyons ce qu'il peut être fait pour financer davantage de Playpumps, nous allons contacter les Googlers en Europe, et partout ailleurs, afin de recueillir leur pensées, idées et soutien. Tellement plus peut être fait pour aider les incroyables enfants de l'école Kaphunga et leur communauté !
Posté par Vishal Patel, Events Manager
Tuesday, 11 November 2008
Running the Nairobi Marathon
En Français
On October 16th, a number of us who are based in Nairobi participated in the Nairobi Standard Chartered International Marathon. It's one of a series of races run in four cities around the world: Singapore, Mumbai, Hong Kong and Nairobi. The marathon was divided in categories of Full Marathon (42 kms), Half Marathon (21 kms), 10 km race, and family run (5 km). A total of about 12,000 people participated; six Googlers, including me, ran the 21 km Half Marathon, which started outside the Nyayo Stadium and took us through the streets of downtown Nairobi, before looping back to the start.
We trained for the marathon for a number of weeks before the race, meeting at the office at around 6:30 am in the mornings, and heading to the starting point. When the big day dawned, we arrived at the stadium about 5 minutes before the race began, all pumped up with energy, even though the agreement was that we'd run slowly, and together! The Half Marathon started at 7:20 am, and what a marathon it became. Experienced runners were off and soon leading the pack and the rest of us, well, we just followed. The weather was magnificent: chilly with a few drops of rain...perfect weather for a marathon. The race snaked its way through the city and soon we were outside the urban centre and running along the Uhuru Highway, undoubtedly the most difficult part of the marathon. At the 10 km mark most runners were exhausted and began to walk.
The sight of Nyayo Stadium as we approached the finishing point was such as a relief to some of us runners who were now strolling, as the marathon had really taken its toll on us. The first Googler, Aleem Walji, made it to the finishing line in 1hr, 58 minutes. The rest of us made it to the finishing line sometime later -- in fact, a whole hour later! Afterwards we all received medals for completing the race, and then we had lunch at a cool restaurant. Our bodies seriously ached in the following few days, but ultimately it was really good fun. The proceedings of the race went to charities across Kenya.
Posted by Paul Munene, Geographic Consultant, Google Kenya
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Courant le marathon de Nairobi
Le 16 octobre dernier, ceux d'entre nous basés à Nairobi avons participé au Marathon International Standard Chartered de Nairobi. Il fait partie d'une série de courses qui se déroulent dans quatre villes à travers le monde : Singapour, Mumbai, Hong Kong et Nairobi.
Le marathon était subdivisé en marathon complet (42 km), demi marathon (21 km), course de 10 km, et course familiale (5 km). Environ 12 000 personnes ont participé ; six Googlers, dont moi-même, avons couru le demi marathon de 21 km, dont le départ se situait à l'extérieur du stade Nyayo et qui nous a conduit à travers les rues du centre de Nairobi, avant de faire une boucle jusqu'au point de départ.
Nous nous étions entraîné pour le marathon plusieurs semaines avant la course, en nous donnant rendez-vous au bureau vers 6h30 du matin pour rejoindre ensuite le point de départ. Quand le grand jour arriva, nous étions au stade cinq minutes avant le départ de la course, remplis d'énergie, bien que nous nous étions mis d'accord pour courir lentement et ensemble. Le demi marathon commença à 7h20. Quel marathon ! Les coureurs expérimentés eurent tôt fait de mener le peloton, tandis que le reste d'entre nous, eh bien, suivait. Le temps était parfait : frais avec quelques gouttes de pluie... un temps parfait pour un marathon. La course parcourra les rues de la ville et nous étions bientôt en dehors du centre urbain, à courir le long de l'autoroute Uhuru, sans aucun doute la partie la plus difficile du marathon. A la borne des 10 km, la plupart des coureurs étaient épuisés et s'étaient mis à marcher.
La vue du stade Nyayo alors que nous approchions l'arrivée fut un tel soulagement pour ceux d'entre nous qui marchions, car la fatigue du marathon se faisait réellement sentir. Le premier Googler, Aleem Walji, a franchi la ligne d'arrivée en 1h58. Les autres d'entre nous ont terminé plus tard - à vrai dire, une heure après ! Ensuite, nous avons tous reçu des médailles pour avoir terminé la course, puis nous avons déjeuné dans un chouette restaurant. Nos muscles étaient bien courbaturés les jours suivants, mais au final, l'expérience était vraiment sympathique. Les bénéfices de la course ont été reversés à des oeuvres caritatives à travers le Kenya.
Par Paul Munene, Consultant Géographique, Google Kenya
On October 16th, a number of us who are based in Nairobi participated in the Nairobi Standard Chartered International Marathon. It's one of a series of races run in four cities around the world: Singapore, Mumbai, Hong Kong and Nairobi. The marathon was divided in categories of Full Marathon (42 kms), Half Marathon (21 kms), 10 km race, and family run (5 km). A total of about 12,000 people participated; six Googlers, including me, ran the 21 km Half Marathon, which started outside the Nyayo Stadium and took us through the streets of downtown Nairobi, before looping back to the start.
We trained for the marathon for a number of weeks before the race, meeting at the office at around 6:30 am in the mornings, and heading to the starting point. When the big day dawned, we arrived at the stadium about 5 minutes before the race began, all pumped up with energy, even though the agreement was that we'd run slowly, and together! The Half Marathon started at 7:20 am, and what a marathon it became. Experienced runners were off and soon leading the pack and the rest of us, well, we just followed. The weather was magnificent: chilly with a few drops of rain...perfect weather for a marathon. The race snaked its way through the city and soon we were outside the urban centre and running along the Uhuru Highway, undoubtedly the most difficult part of the marathon. At the 10 km mark most runners were exhausted and began to walk.
The sight of Nyayo Stadium as we approached the finishing point was such as a relief to some of us runners who were now strolling, as the marathon had really taken its toll on us. The first Googler, Aleem Walji, made it to the finishing line in 1hr, 58 minutes. The rest of us made it to the finishing line sometime later -- in fact, a whole hour later! Afterwards we all received medals for completing the race, and then we had lunch at a cool restaurant. Our bodies seriously ached in the following few days, but ultimately it was really good fun. The proceedings of the race went to charities across Kenya.
Posted by Paul Munene, Geographic Consultant, Google Kenya
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Courant le marathon de Nairobi
Le 16 octobre dernier, ceux d'entre nous basés à Nairobi avons participé au Marathon International Standard Chartered de Nairobi. Il fait partie d'une série de courses qui se déroulent dans quatre villes à travers le monde : Singapour, Mumbai, Hong Kong et Nairobi.
Le marathon était subdivisé en marathon complet (42 km), demi marathon (21 km), course de 10 km, et course familiale (5 km). Environ 12 000 personnes ont participé ; six Googlers, dont moi-même, avons couru le demi marathon de 21 km, dont le départ se situait à l'extérieur du stade Nyayo et qui nous a conduit à travers les rues du centre de Nairobi, avant de faire une boucle jusqu'au point de départ.
Nous nous étions entraîné pour le marathon plusieurs semaines avant la course, en nous donnant rendez-vous au bureau vers 6h30 du matin pour rejoindre ensuite le point de départ. Quand le grand jour arriva, nous étions au stade cinq minutes avant le départ de la course, remplis d'énergie, bien que nous nous étions mis d'accord pour courir lentement et ensemble. Le demi marathon commença à 7h20. Quel marathon ! Les coureurs expérimentés eurent tôt fait de mener le peloton, tandis que le reste d'entre nous, eh bien, suivait. Le temps était parfait : frais avec quelques gouttes de pluie... un temps parfait pour un marathon. La course parcourra les rues de la ville et nous étions bientôt en dehors du centre urbain, à courir le long de l'autoroute Uhuru, sans aucun doute la partie la plus difficile du marathon. A la borne des 10 km, la plupart des coureurs étaient épuisés et s'étaient mis à marcher.
La vue du stade Nyayo alors que nous approchions l'arrivée fut un tel soulagement pour ceux d'entre nous qui marchions, car la fatigue du marathon se faisait réellement sentir. Le premier Googler, Aleem Walji, a franchi la ligne d'arrivée en 1h58. Les autres d'entre nous ont terminé plus tard - à vrai dire, une heure après ! Ensuite, nous avons tous reçu des médailles pour avoir terminé la course, puis nous avons déjeuné dans un chouette restaurant. Nos muscles étaient bien courbaturés les jours suivants, mais au final, l'expérience était vraiment sympathique. Les bénéfices de la course ont été reversés à des oeuvres caritatives à travers le Kenya.
Par Paul Munene, Consultant Géographique, Google Kenya
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