En Français
You might have heard about our infrastructure work in Africa: For example, how we're looking to improve the user experience by bringing content closer to the edge of the network. Or how we're generating and finding ways to catalyze the development of local content through Google Maps (starting with Kenya). These efforts would not even be possible if we didn't have talented staff on the ground making it happen. Thanks to the exceptional leadership of Joe Mucheru, our office lead for East Africa, we have made tremendous strides and continue to expand the scope of our operations.
Since our strength is in our people, we're looking for the right people to truly make a difference. Are you a senior manager who has the vision, strategy and execution to drive a market as large as Nigeria? Are you a technical expert who understands web standards as well as network infrastructure? Or perhaps you've got an excellent background and intense interest in geo-informatics.
Well, here's your chance. We need your brilliance, heart and desire to make Google a success in Africa. To find out more about the roles, responsibilities and requirements, you can read about our open positions on the Africa jobs posting site.
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A la recherche d'hommes et de femmes de qualité
Vous avez peut-être déjà entendu parler de nos initiatives en matière d'infrastructures en Afrique: par exemple, la manière par laquelle nous nous efforçons d'améliorer l'expérience utilisateur en rapprochant le contenu des extrémités du réseau. Ou bien encore la façon par laquelle nous générons et trouvons des moyens d'accélérer le développement de contenu localisé à travers Google Maps (en commençant par le Kenya).
Ces efforts ne seraient pas possibles si nous n'avions pas un personnel qualifié sur place pour concrétiser tout cela. Sous la conduite exceptionnelle de Joe Mucheru, notre responsable pour l'Afrique de l'Est, nous avons fait de grandes avancées et continuons à étendre l'envergure de nos opérations.
Puisque notre force réside dans nos collaborateurs, nous recherchons les bonnes personnes pour faire vraiment la différence. Êtes-vous un manager expérimenté avec une vision, une stratégie et une capacité d'exécution pour développer un marché aussi important que le Nigéria? Êtes-vous un expert technique qui comprend les standards du web ainsi que les éléments d'infrastructure réseau ? Ou peut-être avez-vous un excellent profil et une passion pour la géo-informatique?
Voilà des opportunités à saisir: nous avons besoin de votre intelligence, votre passion et votre désir de faire réussir Google en Afrique. Pour en savoir plus au sujet des fonctions, des responsabilités et des profils requis, vous pouvez vous renseigner sur nos postes ouverts sur le site d'annonces d'emplois pour l'Afrique.
Friday, 22 August 2008
Thursday, 21 August 2008
New Google homepage for Tanzania in Swahili
En Français
Today we launched our search engine for Tanzania at www.google.co.tz/, marking our 25th localized home page in Sub-Saharan Africa. This is the first time we've launched a country home page with an African language - Swahili in this case - as the default language.
The experience behind the Swahili translation has been quite an interesting one. We are committed to delivering our products to all of the world's internet users in their local language. However, getting to that grand objective will take time. We have a fairly substantial operation for translating our products into many languages, the number of which is growing rapidly. As we continue to support more languages, we also recognize the desire of people to search in their native tongue, even if it is one for which we have not yet begun an official translation. For just this purpose, we have been offering the "Google in your language" program for quite a while.
Many African languages have already been translated using this program, and you may choose to set your Google home page to any of these languages. The process of having a volunteer translate a homepage that will serve an entire country into the default language requires a high level of confidence in the quality and completeness of the translation. With Swahili, we believe our volunteers have achieved that.
If you are interested in seeing Google launch in your own language, we encourage you to consider contributing to this effort.
Posted by Divon Lan, Product Manager, Sub Saharan Africa
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Nouvelle page d'accueil Google pour la Tanzanie en swahili
Nous avons lancé aujourd'hui notre moteur de recherche pour la Tanzanie à l'adresse www.google.co.tz, ce qui marque ainsi notre 25ème page d'accueil localisée en Afrique sub-saharienne. C'est la première fois que nous lançons une page d'accueil pour un pays dans une langue africaine - le swahili en l'occurence - en tant que langue par défaut.
L'expérience acquise lors de la traduction en swahili fut particulièrement intéressante. Nous sommes engagés dans la création de produits adaptés dans les langues locales de tous les utilisateurs d'Internet de la planète. Cependant, atteindre cet objectif ambitieux prendra du temps. Nous mettons des moyens assez importants pour traduire nos produits dans de nombreuses langues, dont le nombre grandit rapidement. Tandis que nous continuons à ajouter de nouvelles langues, nous comprenons le souhait des utilisateurs d'effectuer des recherches dans leur langue maternelle, même si nous n'avons pas encore commencé une traduction officielle dans cette langue. A cet effet, nous avons proposé le programme "Google dans votre langue" depuis un certain temps.
De nombreuses langues africaines ont déjà été traduites grâce à ce programme, et vous pouvez choisir de paramétrer votre page d'accueil Google dans une de ces langues. Le processus, qui consiste à ce qu'un bénévole traduise une page d'accueil dans une langue locale utile à tout un pays, exige un niveau élevé de confiance dans la qualité et la totalité de la traduction. Avec la traduction en swahili, nous pensons que nos bénévoles ont atteint ce niveau.
Si vous êtes intéressé par le lancement de Google dans votre langue, nous vous encourageons à participer à cet effort.
Posté par Divon Lan, Product Manager, Afrique sub-saharienne
Today we launched our search engine for Tanzania at www.google.co.tz/, marking our 25th localized home page in Sub-Saharan Africa. This is the first time we've launched a country home page with an African language - Swahili in this case - as the default language.
The experience behind the Swahili translation has been quite an interesting one. We are committed to delivering our products to all of the world's internet users in their local language. However, getting to that grand objective will take time. We have a fairly substantial operation for translating our products into many languages, the number of which is growing rapidly. As we continue to support more languages, we also recognize the desire of people to search in their native tongue, even if it is one for which we have not yet begun an official translation. For just this purpose, we have been offering the "Google in your language" program for quite a while.
Many African languages have already been translated using this program, and you may choose to set your Google home page to any of these languages. The process of having a volunteer translate a homepage that will serve an entire country into the default language requires a high level of confidence in the quality and completeness of the translation. With Swahili, we believe our volunteers have achieved that.
If you are interested in seeing Google launch in your own language, we encourage you to consider contributing to this effort.
Posted by Divon Lan, Product Manager, Sub Saharan Africa
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Nouvelle page d'accueil Google pour la Tanzanie en swahili
Nous avons lancé aujourd'hui notre moteur de recherche pour la Tanzanie à l'adresse www.google.co.tz, ce qui marque ainsi notre 25ème page d'accueil localisée en Afrique sub-saharienne. C'est la première fois que nous lançons une page d'accueil pour un pays dans une langue africaine - le swahili en l'occurence - en tant que langue par défaut.
L'expérience acquise lors de la traduction en swahili fut particulièrement intéressante. Nous sommes engagés dans la création de produits adaptés dans les langues locales de tous les utilisateurs d'Internet de la planète. Cependant, atteindre cet objectif ambitieux prendra du temps. Nous mettons des moyens assez importants pour traduire nos produits dans de nombreuses langues, dont le nombre grandit rapidement. Tandis que nous continuons à ajouter de nouvelles langues, nous comprenons le souhait des utilisateurs d'effectuer des recherches dans leur langue maternelle, même si nous n'avons pas encore commencé une traduction officielle dans cette langue. A cet effet, nous avons proposé le programme "Google dans votre langue" depuis un certain temps.
De nombreuses langues africaines ont déjà été traduites grâce à ce programme, et vous pouvez choisir de paramétrer votre page d'accueil Google dans une de ces langues. Le processus, qui consiste à ce qu'un bénévole traduise une page d'accueil dans une langue locale utile à tout un pays, exige un niveau élevé de confiance dans la qualité et la totalité de la traduction. Avec la traduction en swahili, nous pensons que nos bénévoles ont atteint ce niveau.
Si vous êtes intéressé par le lancement de Google dans votre langue, nous vous encourageons à participer à cet effort.
Posté par Divon Lan, Product Manager, Afrique sub-saharienne
Thursday, 14 August 2008
A conversation in Kisii
En Français
A recent field visit took me to Kisii, a Kenyan town close to the shores of Lake Victoria. The population has swelled to 100,000 from approximately 70,000 largely because of refugees fleeing the post-election violence in other parts of Kenya. Local authorities expect to see that population double over the next ten years. Providing public services, especially water and sanitation, to this growing population is an enormous challenge.
In 2000, the international community made a commitment to the UN Millennium Development Goals to help communities access basic public services, like health, education, water and sanitation. One of the key milestones of Goal 7 is to "halve the proportion of people without sustainable access to safe drinking water and basic sanitation by 2015." As of 2004, the MDG Monitor shows that of the nations bordering Lake Victoria- Uganda, Tanzania and Kenya - only 60% of the population have access to improved drinking water sources.
While great progress is being made in Kisii, local officials say far less than 60% of their population has adequate service, despite what the official statistics say. New water pipes have been donated to the local water provider. This has doubled the capacity, but it only reaches half of Kisii's estimated population (50,000). Water kiosks stand proudly along the main road. And yet, the taps run dry. The connections to the main line are not even functional. Young women still trudge the kilometers to the river, at risk to their own security, to collect water. Bright blue toilet stalls line the periphery of a girls school. While the school has seen an increase in attendance since the installation of these toilets, they continue to be plagued by their inability to deal with the sanitation requirements of their students. As we depart, the headmistress of the school pleads with us to help with the sanitation problem.
Some more recent data gathered from towns surrounding Lake Victoria in Uganda, Tanzania and Kenya, tell us a very different story than information from the MDG Monitor. This story is closer to the facts reported to us on the ground: while basic infrastructure (water pipes, points, toilets) may exist, those facilities are rarely functional, affordable or accessible, indicating to us that access to safe drinking water and basic sanitation services is substantially lower than many think. Presented with this information at a recent UN-Habitat meeting in Nairobi, international donors and development agencies were astonished. They asked, "how come we didn't know about this earlier?"
And yet, unsurprisingly, the people of Kisii have long known that they don't have appropriate water and sanitation services. They may not have even heard of the MDG's. They are likely unaware of the conversations that transpire amongst donors and development agencies and help shape where resources are allocated. They are having their own conversations about what they need. But who can they tell? Who hears their voices?
Our challenge going forward is to help amplify these voices and contribute to efforts to inform these local discussions.
Posted by Meryl Stone, Associate, Google.org
Originally posted on google.org blog, Friday June 6th, 2008
"Google.org is the result of Google founders Larry Page and Sergey Brin's vision to commit significant resources, including 1% of Google's equity and profits in some form, as well employee time, to address some of the world's most urgent problems. It is a hybrid philanthropy that both supports its partners' work with targeted grants and also invests in for-profit endeavors, such as efforts by companies to develop breakthrough renewable energy technologies. To learn more, visit the official website."
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Une conversation à Kisii
Une récente visite sur le terrain m'a conduite à Kisii, une ville du Kenya située sur les rives du lac Victoria. La population y est passée de 70 000 à 100 000 personnes environ, essentiellement du fait de l'exil de réfugiés fuyant les violences post-électorales dans d'autres régions du Kenya. Les autorités locales envisagent un doublement de la population dans les dix prochaines années. Assurer les services publics, notamment la gestion de l'eau et un système sanitaire, constitue un défi majeur face à cette population grandissante.
En l'an 2000, la communauté internationale s'est engagée à travers les objectifs du Millénaire pour le développement de l'ONU à aider les peuples à avoir accès aux services publics de base, tels l'accès à un système de soins, à l'éducation, à l'eau et à un système sanitaire. Une des cibles de l'objectif numéro 7 est de "réduire de moitié, d'ici à 2015, le pourcentage de la population qui n'a pas accès de façon durable à un approvisionnement en eau potable ni à un assainissement rudimentaire". Le MDG Monitor montre les pays situés autour du lac Victoria : en 2004, seulement 60% des populations de l'Ouganda, de la Tanzanie et du Kenya avaient accès à des sources améliorées d'eau potable.
Malgré des progrès importants en cours de réalisation à Kisii, les autorités locales affirment que bien moins de 60% de la population reçoit un service adéquat, et ce en dépit des statistiques officielles. De nouvelles conduites d'eau ont été données au fournisseur d'eau local. Cela a permis de doubler les capacités, mais elles n'atteignent que la moitié de la population estimée à Kisii(soit 50 000 personnes). Des distributeurs d'eau se tiennent fièrement le long de la rue principale. Et pourtant, les robinets coulent à sec. Les connexions à la canalisation principale ne sont même pas opérationnelles. De jeunes femmes marchent encore péniblement plusieurs kilomètres jusqu'à la rivière, prenant des risques pour leur propre sécurité, pour chercher de l'eau. Des latrines bleu vif sont alignées en bordure d'une école pour filles. Malgré l'augmentation de la fréquentation de l'école depuis l'installation de ces toilettes, celles-ci restent incapables de satisfaire les exigences sanitaires des élèves. Alors que nous partons, la directrice de l'école nous supplie de les aider à résoudre le problème sanitaire.
Des données plus récentes collectées dans les villes d'Ouganda, de Tanzanie et du Kenya autour du lac Victoria nous content une histoire bien différente des statistiques du MDG Monitor. Cette histoire est plus proche des faits qui nous sont rapportées sur le terrain : tandis que les infrastructures de base (canalisations d'eau, distributeurs, toilettes) peuvent exister, ces équipements sont rarement opérationnels, abordables ou accessibles, ce qui nous indique que les chiffres d'accès à l'eau potable et aux services sanitaires de base sont bien inférieurs à ce que l'on pourrait penser. Confrontés à cette information lors d'une réunion récente de ONU-Habitat à Nairobi, les donateurs internationaux et les agences de développement furent étonnés. Ils demandèrent : "comment se fait-il que nous ne soyons pas informés de cela plus tôt?"
Et pourtant, de façon surprenante, la population de Kisii sait depuis longtemps qu'elle n'a pas un système sanitaire et un accès à l'eau adéquats. Elle n'a peut-être même pas entendu parler des objectifs du Millénaire pour le développement. Elle n'est probablement pas au courant des conversations qui se déroulent entre les donateurs internationaux et les agences de développement et qui contribuent à décider de l'endroit où sont alloués les aides. Elle mène ses propres conversations sur ce dont elle a besoin. Mais à qui peut-elle en parler? Qui entend leurs voix?
Notre défi à l'avenir est d'aider à amplifier ces voix et contribuer aux efforts d'information sur ces considérations locales.
Posté par Meryl Stone, Associate, Google.org
Initialement posté sur le blog google.org, vendredi 6 juin 2008
Google.org est le fruit de la vision des fondateurs de Google, Larry Page et Sergey Brin, d'engager des moyens significatifs, notamment 1% du capital et des bénéfices de Google sous une certaine forme, ainsi que du temps des salariés, pour répondre à quelques uns des problèmes les plus urgents de la planète. C'est une philanthropie hybride qui soutient à la fois le travail de nos partenaires avec des aides spécifiques et investit également dans des initiatives commerciales, comme des efforts par les sociétés pour développer des technologies innovantes dans le domaine des énergies renouvelables. Pour en savoir plus, visitez le site officiel.
A recent field visit took me to Kisii, a Kenyan town close to the shores of Lake Victoria. The population has swelled to 100,000 from approximately 70,000 largely because of refugees fleeing the post-election violence in other parts of Kenya. Local authorities expect to see that population double over the next ten years. Providing public services, especially water and sanitation, to this growing population is an enormous challenge.
In 2000, the international community made a commitment to the UN Millennium Development Goals to help communities access basic public services, like health, education, water and sanitation. One of the key milestones of Goal 7 is to "halve the proportion of people without sustainable access to safe drinking water and basic sanitation by 2015." As of 2004, the MDG Monitor shows that of the nations bordering Lake Victoria- Uganda, Tanzania and Kenya - only 60% of the population have access to improved drinking water sources.
While great progress is being made in Kisii, local officials say far less than 60% of their population has adequate service, despite what the official statistics say. New water pipes have been donated to the local water provider. This has doubled the capacity, but it only reaches half of Kisii's estimated population (50,000). Water kiosks stand proudly along the main road. And yet, the taps run dry. The connections to the main line are not even functional. Young women still trudge the kilometers to the river, at risk to their own security, to collect water. Bright blue toilet stalls line the periphery of a girls school. While the school has seen an increase in attendance since the installation of these toilets, they continue to be plagued by their inability to deal with the sanitation requirements of their students. As we depart, the headmistress of the school pleads with us to help with the sanitation problem.
Some more recent data gathered from towns surrounding Lake Victoria in Uganda, Tanzania and Kenya, tell us a very different story than information from the MDG Monitor. This story is closer to the facts reported to us on the ground: while basic infrastructure (water pipes, points, toilets) may exist, those facilities are rarely functional, affordable or accessible, indicating to us that access to safe drinking water and basic sanitation services is substantially lower than many think. Presented with this information at a recent UN-Habitat meeting in Nairobi, international donors and development agencies were astonished. They asked, "how come we didn't know about this earlier?"
And yet, unsurprisingly, the people of Kisii have long known that they don't have appropriate water and sanitation services. They may not have even heard of the MDG's. They are likely unaware of the conversations that transpire amongst donors and development agencies and help shape where resources are allocated. They are having their own conversations about what they need. But who can they tell? Who hears their voices?
Our challenge going forward is to help amplify these voices and contribute to efforts to inform these local discussions.
Posted by Meryl Stone, Associate, Google.org
Originally posted on google.org blog, Friday June 6th, 2008
"Google.org is the result of Google founders Larry Page and Sergey Brin's vision to commit significant resources, including 1% of Google's equity and profits in some form, as well employee time, to address some of the world's most urgent problems. It is a hybrid philanthropy that both supports its partners' work with targeted grants and also invests in for-profit endeavors, such as efforts by companies to develop breakthrough renewable energy technologies. To learn more, visit the official website."
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Une conversation à Kisii
Une récente visite sur le terrain m'a conduite à Kisii, une ville du Kenya située sur les rives du lac Victoria. La population y est passée de 70 000 à 100 000 personnes environ, essentiellement du fait de l'exil de réfugiés fuyant les violences post-électorales dans d'autres régions du Kenya. Les autorités locales envisagent un doublement de la population dans les dix prochaines années. Assurer les services publics, notamment la gestion de l'eau et un système sanitaire, constitue un défi majeur face à cette population grandissante.
En l'an 2000, la communauté internationale s'est engagée à travers les objectifs du Millénaire pour le développement de l'ONU à aider les peuples à avoir accès aux services publics de base, tels l'accès à un système de soins, à l'éducation, à l'eau et à un système sanitaire. Une des cibles de l'objectif numéro 7 est de "réduire de moitié, d'ici à 2015, le pourcentage de la population qui n'a pas accès de façon durable à un approvisionnement en eau potable ni à un assainissement rudimentaire". Le MDG Monitor montre les pays situés autour du lac Victoria : en 2004, seulement 60% des populations de l'Ouganda, de la Tanzanie et du Kenya avaient accès à des sources améliorées d'eau potable.
Malgré des progrès importants en cours de réalisation à Kisii, les autorités locales affirment que bien moins de 60% de la population reçoit un service adéquat, et ce en dépit des statistiques officielles. De nouvelles conduites d'eau ont été données au fournisseur d'eau local. Cela a permis de doubler les capacités, mais elles n'atteignent que la moitié de la population estimée à Kisii(soit 50 000 personnes). Des distributeurs d'eau se tiennent fièrement le long de la rue principale. Et pourtant, les robinets coulent à sec. Les connexions à la canalisation principale ne sont même pas opérationnelles. De jeunes femmes marchent encore péniblement plusieurs kilomètres jusqu'à la rivière, prenant des risques pour leur propre sécurité, pour chercher de l'eau. Des latrines bleu vif sont alignées en bordure d'une école pour filles. Malgré l'augmentation de la fréquentation de l'école depuis l'installation de ces toilettes, celles-ci restent incapables de satisfaire les exigences sanitaires des élèves. Alors que nous partons, la directrice de l'école nous supplie de les aider à résoudre le problème sanitaire.
Des données plus récentes collectées dans les villes d'Ouganda, de Tanzanie et du Kenya autour du lac Victoria nous content une histoire bien différente des statistiques du MDG Monitor. Cette histoire est plus proche des faits qui nous sont rapportées sur le terrain : tandis que les infrastructures de base (canalisations d'eau, distributeurs, toilettes) peuvent exister, ces équipements sont rarement opérationnels, abordables ou accessibles, ce qui nous indique que les chiffres d'accès à l'eau potable et aux services sanitaires de base sont bien inférieurs à ce que l'on pourrait penser. Confrontés à cette information lors d'une réunion récente de ONU-Habitat à Nairobi, les donateurs internationaux et les agences de développement furent étonnés. Ils demandèrent : "comment se fait-il que nous ne soyons pas informés de cela plus tôt?"
Et pourtant, de façon surprenante, la population de Kisii sait depuis longtemps qu'elle n'a pas un système sanitaire et un accès à l'eau adéquats. Elle n'a peut-être même pas entendu parler des objectifs du Millénaire pour le développement. Elle n'est probablement pas au courant des conversations qui se déroulent entre les donateurs internationaux et les agences de développement et qui contribuent à décider de l'endroit où sont alloués les aides. Elle mène ses propres conversations sur ce dont elle a besoin. Mais à qui peut-elle en parler? Qui entend leurs voix?
Notre défi à l'avenir est d'aider à amplifier ces voix et contribuer aux efforts d'information sur ces considérations locales.
Posté par Meryl Stone, Associate, Google.org
Initialement posté sur le blog google.org, vendredi 6 juin 2008
Google.org est le fruit de la vision des fondateurs de Google, Larry Page et Sergey Brin, d'engager des moyens significatifs, notamment 1% du capital et des bénéfices de Google sous une certaine forme, ainsi que du temps des salariés, pour répondre à quelques uns des problèmes les plus urgents de la planète. C'est une philanthropie hybride qui soutient à la fois le travail de nos partenaires avec des aides spécifiques et investit également dans des initiatives commerciales, comme des efforts par les sociétés pour développer des technologies innovantes dans le domaine des énergies renouvelables. Pour en savoir plus, visitez le site officiel.
Wednesday, 6 August 2008
Google News launches in 9 African countries
En Français
We are delighted to announce that we have just launched Google News in English for Nigeria, Kenya, Ethiopia, Tanzania, Zimbabwe, Namibia, Ghana, Uganda and Botswana allowing users to search and view news in localized editions, and helping dozens of African news sites make their stories available to users worldwide. From the East Africa Standard in Kenya to Zimbabwe Independent, Google News users in Africa and elsewhere can now read an African perspective on any news story. We are particularly excited about today's launch, since this is our first localized product for Nigeria, Ethiopia, Tanzania, Zimbabwe, Namibia, Ghana, Uganda and Botswana, beyond our home page.
Google News has come a long way since we launched in 2002. With over 10000 sources in 20 languages, Google makes the news more accessible and more interesting – encouraging people to read more, and benefiting the news industry as a whole. We're excited to now be able to provide more news, with more African sources, to more readers in Africa and around the world.
To view the new English language editions please visit:
news.google.com.ng for Nigeria
news.google.co.ke for Kenya
news.google.com.et for Ethiopia
news.google.co.zw for Zimbabwe
news.google.com.na for Namibia
news.google.com.gh for Ghana
news.google.co.ug for Uganda
news.google.co.bw for Botswana
news.google.co.tz for Tanzania (select Tanzania from the pull-down menu)
I am a publisher of a news site. Tell me more:
Why is Google News good for me?
Google News helps online news publishers take advantage of the huge opportunities the Internet offers. With more than one billion people on the Internet looking for information, it is easy to see why Google News brings real benefits to both publishers and users. Google News makes it easier for users to discover your site, it drives additional traffic to your site, and also provides new opportunities for online revenue. The great paradox of the digital world is that as more useful information comes online, it will become increasingly hard for people to find what they want. This is why we View Google News as an important partnership between Google and publishers worldwide.
Google is a technology company. Our focus isn’t to create content; rather, it is to get users to the news they are looking for. We don’t display the stories in their entirety. We simply show the headlines, a line or two of text, and links to the site – just enough information to make the user want to read the full story - and click through to your website.
Why is my news website not showing up on Google News?
We may not know about your news site, or you may not meet our inclusion criteria . You can request inclusion here.
Your site may not meet our technical standards
How can I make my news site more searchable?
You can also use tools such as Robot.txt and Sitemaps to make your site more searchable. The technical requirements for inclusion in Google News are the same as inclusion in Google’s general index. You can find more information about this at our Webmaster central page.
I don't want users to find my site when searching Google. How can I tell Google to stop showing my news site?
Websites may use a widely accepted Internet standard called robots.txt to “tell” search engines like Google whether or not they are allowed to crawl their site.
Posted by Divon Lan, Product Manager, Sub Saharan Africa
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Google Actualités lancé dans 9 pays en Afrique
Nous sommes ravis d'annoncer le lancement de Google Actualités au Nigéria, au Kenya, en Ethiopie, en Tanzanie, au Zimbabwe, en Namibie, au Ghana, en Ouganda et au Botswana, rendant ainsi des dizaines de sites d’actualités d’Afrique accessibles à nos utilisateurs à travers le monde. De l'East Africa Standard au Kenya au Zimbabwe Independent, les utilisateurs anglophones de Google Actualités en Afrique et d'ailleurs peuvent désormais obtenir une perspective africaine de l’actualité. Pour le Nigéria, l’Ethiopie, le Zimbabwe, la Namibie, le Ghana, l'Ouganda et le Botswana, il s’agit du premier service localisé et adapté pour ces pays après la page d'accueil de Google.
Google Actualités a parcouru beaucoup de chemin depuis son lancement en 2002. Avec plus 10 000 sources en 20 langues, Google rend l’actualité plus accessible et plus intéressante – encourageant les gens à lire d’avantage, au bénéfice de la presse dans son ensemble. Nous sommes très heureux de pouvoir désormais fournir davantage d’actualités, avec plus de sources en provenance d’Afrique, à toujours plus de lecteurs à travers le monde.
Pour voir ces nouvelles éditions en anglais, veuillez consulter:
news.google.com.ng pour le Nigéria
news.google.co.ke pour le Kenya
news.google.com.et pour l'Ethiopie
news.google.co.zw pour le Zimbabwe
news.google.com.na pour la Namibie
news.google.com.gh pour le Ghana
news.google.co.ug pour l'Ouganda
news.google.co.bw pour le Botswana
news.google.co.tz pour la Tanzanie (selectionnez Tanzanie dans le menu déroulant)
Plus d'informations pour les éditeurs d'actualités en ligne :
En quoi Google Actualités est-il utile pour mon site?
Google Actualités aide les éditeurs de presse à tirer profit des opportunités exceptionnelles offertes par Internet. Avec plus d’un milliard d’internautes à la recherche d’informations sur le Web, il n’est pas difficile de comprendre les avantages réels qu’apporte Google Actualités aux éditeurs comme aux utilisateurs. Google News permet aux utilisateurs de découvrir votre site, augmente le trafic vers votre site et offre de nouvelles opportunités de revenus en ligne. Le grand paradoxe de l'ère digitale est que plus il y a d'informations en ligne, plus il devient difficile de trouver l'information que l'on recherche. C'est pourquoi nous voyons Google Actualités comme un partenaire important des éditeurs d'information en ligne.
Google est une société dans le domaine des technologies de l'information. Google ne cherche pas a créer du contenu, mais à aider les utilisateur à trouver ce qu'ils recherchent. Nous ne montrons que les titres et quelques lignes de texte et fournissons les liens Internet vers les sites en question – juste assez d'information pour donner envie à l'utilisateur de lire l'article dans sa totalité et de cliquer sur le lien correspondant.
Pourquoi mon site n'apparaît-il pas sur Google Actualités?
Nous ne savons peut-être pas que votre site existe ou alors votre site ne remplit peut-être pas nos critères d'inclusion. Vous pouvez demander l'inclusion de votre site ici
Votre site ne remplit peut-être pas les standards techniques .
Comment puis-je rendre mon site plus facilement recherchable?
Vous pouvez utiliser les outils web tels que Robots.txt et Sitemaps pour rendre votre site plus facilement recherchable. Les critères d'inclusion dans Google Actualités sont les mêmes que pour l'inclusion dans l'index général de Google. Vous trouverez plus d'information à ce sujet dans notre centre pour les webmasters.
Je ne veux pas que les internautes trouvent mon site sur Google News. Que dois-je faire?
Les sites internets peuvent utiliser le standard robots.txt pour indiquer à un moteur de recherche tel que Google d'indexer ou non leur contenu.
Posté par Divon Lan, Product Manager, Afrique sub-saharienne
We are delighted to announce that we have just launched Google News in English for Nigeria, Kenya, Ethiopia, Tanzania, Zimbabwe, Namibia, Ghana, Uganda and Botswana allowing users to search and view news in localized editions, and helping dozens of African news sites make their stories available to users worldwide. From the East Africa Standard in Kenya to Zimbabwe Independent, Google News users in Africa and elsewhere can now read an African perspective on any news story. We are particularly excited about today's launch, since this is our first localized product for Nigeria, Ethiopia, Tanzania, Zimbabwe, Namibia, Ghana, Uganda and Botswana, beyond our home page.
Google News has come a long way since we launched in 2002. With over 10000 sources in 20 languages, Google makes the news more accessible and more interesting – encouraging people to read more, and benefiting the news industry as a whole. We're excited to now be able to provide more news, with more African sources, to more readers in Africa and around the world.
To view the new English language editions please visit:
news.google.com.ng for Nigeria
news.google.co.ke for Kenya
news.google.com.et for Ethiopia
news.google.co.zw for Zimbabwe
news.google.com.na for Namibia
news.google.com.gh for Ghana
news.google.co.ug for Uganda
news.google.co.bw for Botswana
news.google.co.tz for Tanzania (select Tanzania from the pull-down menu)
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Why is Google News good for me?
Google News helps online news publishers take advantage of the huge opportunities the Internet offers. With more than one billion people on the Internet looking for information, it is easy to see why Google News brings real benefits to both publishers and users. Google News makes it easier for users to discover your site, it drives additional traffic to your site, and also provides new opportunities for online revenue. The great paradox of the digital world is that as more useful information comes online, it will become increasingly hard for people to find what they want. This is why we View Google News as an important partnership between Google and publishers worldwide.
Google is a technology company. Our focus isn’t to create content; rather, it is to get users to the news they are looking for. We don’t display the stories in their entirety. We simply show the headlines, a line or two of text, and links to the site – just enough information to make the user want to read the full story - and click through to your website.
Why is my news website not showing up on Google News?
We may not know about your news site, or you may not meet our inclusion criteria . You can request inclusion here.
Your site may not meet our technical standards
How can I make my news site more searchable?
You can also use tools such as Robot.txt and Sitemaps to make your site more searchable. The technical requirements for inclusion in Google News are the same as inclusion in Google’s general index. You can find more information about this at our Webmaster central page.
I don't want users to find my site when searching Google. How can I tell Google to stop showing my news site?
Websites may use a widely accepted Internet standard called robots.txt to “tell” search engines like Google whether or not they are allowed to crawl their site.
Posted by Divon Lan, Product Manager, Sub Saharan Africa
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Google Actualités lancé dans 9 pays en Afrique
Nous sommes ravis d'annoncer le lancement de Google Actualités au Nigéria, au Kenya, en Ethiopie, en Tanzanie, au Zimbabwe, en Namibie, au Ghana, en Ouganda et au Botswana, rendant ainsi des dizaines de sites d’actualités d’Afrique accessibles à nos utilisateurs à travers le monde. De l'East Africa Standard au Kenya au Zimbabwe Independent, les utilisateurs anglophones de Google Actualités en Afrique et d'ailleurs peuvent désormais obtenir une perspective africaine de l’actualité. Pour le Nigéria, l’Ethiopie, le Zimbabwe, la Namibie, le Ghana, l'Ouganda et le Botswana, il s’agit du premier service localisé et adapté pour ces pays après la page d'accueil de Google.
Google Actualités a parcouru beaucoup de chemin depuis son lancement en 2002. Avec plus 10 000 sources en 20 langues, Google rend l’actualité plus accessible et plus intéressante – encourageant les gens à lire d’avantage, au bénéfice de la presse dans son ensemble. Nous sommes très heureux de pouvoir désormais fournir davantage d’actualités, avec plus de sources en provenance d’Afrique, à toujours plus de lecteurs à travers le monde.
Pour voir ces nouvelles éditions en anglais, veuillez consulter:
news.google.com.ng pour le Nigéria
news.google.co.ke pour le Kenya
news.google.com.et pour l'Ethiopie
news.google.co.zw pour le Zimbabwe
news.google.com.na pour la Namibie
news.google.com.gh pour le Ghana
news.google.co.ug pour l'Ouganda
news.google.co.bw pour le Botswana
news.google.co.tz pour la Tanzanie (selectionnez Tanzanie dans le menu déroulant)
Plus d'informations pour les éditeurs d'actualités en ligne :
En quoi Google Actualités est-il utile pour mon site?
Google Actualités aide les éditeurs de presse à tirer profit des opportunités exceptionnelles offertes par Internet. Avec plus d’un milliard d’internautes à la recherche d’informations sur le Web, il n’est pas difficile de comprendre les avantages réels qu’apporte Google Actualités aux éditeurs comme aux utilisateurs. Google News permet aux utilisateurs de découvrir votre site, augmente le trafic vers votre site et offre de nouvelles opportunités de revenus en ligne. Le grand paradoxe de l'ère digitale est que plus il y a d'informations en ligne, plus il devient difficile de trouver l'information que l'on recherche. C'est pourquoi nous voyons Google Actualités comme un partenaire important des éditeurs d'information en ligne.
Google est une société dans le domaine des technologies de l'information. Google ne cherche pas a créer du contenu, mais à aider les utilisateur à trouver ce qu'ils recherchent. Nous ne montrons que les titres et quelques lignes de texte et fournissons les liens Internet vers les sites en question – juste assez d'information pour donner envie à l'utilisateur de lire l'article dans sa totalité et de cliquer sur le lien correspondant.
Pourquoi mon site n'apparaît-il pas sur Google Actualités?
Nous ne savons peut-être pas que votre site existe ou alors votre site ne remplit peut-être pas nos critères d'inclusion. Vous pouvez demander l'inclusion de votre site ici
Votre site ne remplit peut-être pas les standards techniques .
Comment puis-je rendre mon site plus facilement recherchable?
Vous pouvez utiliser les outils web tels que Robots.txt et Sitemaps pour rendre votre site plus facilement recherchable. Les critères d'inclusion dans Google Actualités sont les mêmes que pour l'inclusion dans l'index général de Google. Vous trouverez plus d'information à ce sujet dans notre centre pour les webmasters.
Je ne veux pas que les internautes trouvent mon site sur Google News. Que dois-je faire?
Les sites internets peuvent utiliser le standard robots.txt pour indiquer à un moteur de recherche tel que Google d'indexer ou non leur contenu.
Posté par Divon Lan, Product Manager, Afrique sub-saharienne
Tuesday, 5 August 2008
Announcing a new investment in Kenya
En Français
Here at Google, we know that information comes in all sorts of shapes and sizes, through all sorts of media. And we know that you can only use information if you have access to it. That's why we're so excited to announce that we're making a minority investment in Mobile Messaging Solutions, the parent company of Mobile Planet, a Nairobi-based company that specializes in the development of wireless voice & data applications for mobile devices in Kenya, with a special focus on SMS-based products and services.
Mobile Planet offers one of the most exciting services in the region. For example, during the 2002 & 2007 Kenyan elections, their platform provided up-to-the-minute election results -- as the results were tallied, subscribers were sent updates via SMS. We met the founders, and it became very clear that Mobile Planet was an innovative force striving to link Africans with information, and that we shared a vision.
Mobile telephony is already popular in Africa, and has seen significant growth over the past few years, particularly in countries like Kenya. SMS is clearly a very important technology that provides access to the majority of mobile subscribers. Mobile Planet's expertise with SMS related technology and mission to "empower the African people with information" make this a very exciting partnership for us. We'll be sure to keep you updated on how things go!
Posted by Joseph Mucheru, Office Lead - East Africa
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Nouvel investissement au Kenya
Chez Google, nous savons que l’information se présente sous de multiples formats et à travers toutes sortes de media. Nous savons également qu’une information ne peut vous être utile que si elle est mise à votre portée. C’est pourquoi nous sommes heureux d'annoncer notre investissement minoritaire dans Mobile Messaging Solutions, la société mère de Mobile Planet, une compagnie basée à Nairobi spécialisée dans le développement d’applications de transmissions sans fil de voix et de données pour les téléphones portables au Kenya ; cette société porte une attention particulière aux produits et services liés aux SMS.
Mobile Planet offre certains des services les plus uniques de la région. Par exemple, pendant les élections de 2002 et de 2007 au Kenya, leur plateforme était en mesure de fournir des résultats en temps réel – au fur et à mesure du dépouillement des bulletins, les abonnés au service recevaient des mises à jour par SMS. Nous avons rencontré les fondateurs : il devint évident que Mobile Planet était une force innovatrice, unissant les Africains par l’information, et que nous partagions une vision commune.
La téléphonie mobile est une industrie d'ores et déjà très populaire en Afrique, et a connu une croissance exponentielle ces dernières années, particulièrement dans des pays tel que le Kenya. Le SMS est incontestablement une technologie très importante, fournissant un accès à l’information à la majorité des abonnés. L’expertise de Mobile Planet en matière de technologie SMS et son désir de « donner le pouvoir au peuple africain par l’information » rend ce partenariat très stimulant pour nous. Comptez sur nous pour vous tenir informés sur l'avenir de ce partenariat !
Posté par Joseph Mucheru, Chef de Bureau, Afrique de l'Est
Here at Google, we know that information comes in all sorts of shapes and sizes, through all sorts of media. And we know that you can only use information if you have access to it. That's why we're so excited to announce that we're making a minority investment in Mobile Messaging Solutions, the parent company of Mobile Planet, a Nairobi-based company that specializes in the development of wireless voice & data applications for mobile devices in Kenya, with a special focus on SMS-based products and services.
Mobile Planet offers one of the most exciting services in the region. For example, during the 2002 & 2007 Kenyan elections, their platform provided up-to-the-minute election results -- as the results were tallied, subscribers were sent updates via SMS. We met the founders, and it became very clear that Mobile Planet was an innovative force striving to link Africans with information, and that we shared a vision.
Mobile telephony is already popular in Africa, and has seen significant growth over the past few years, particularly in countries like Kenya. SMS is clearly a very important technology that provides access to the majority of mobile subscribers. Mobile Planet's expertise with SMS related technology and mission to "empower the African people with information" make this a very exciting partnership for us. We'll be sure to keep you updated on how things go!
Posted by Joseph Mucheru, Office Lead - East Africa
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Nouvel investissement au Kenya
Chez Google, nous savons que l’information se présente sous de multiples formats et à travers toutes sortes de media. Nous savons également qu’une information ne peut vous être utile que si elle est mise à votre portée. C’est pourquoi nous sommes heureux d'annoncer notre investissement minoritaire dans Mobile Messaging Solutions, la société mère de Mobile Planet, une compagnie basée à Nairobi spécialisée dans le développement d’applications de transmissions sans fil de voix et de données pour les téléphones portables au Kenya ; cette société porte une attention particulière aux produits et services liés aux SMS.
Mobile Planet offre certains des services les plus uniques de la région. Par exemple, pendant les élections de 2002 et de 2007 au Kenya, leur plateforme était en mesure de fournir des résultats en temps réel – au fur et à mesure du dépouillement des bulletins, les abonnés au service recevaient des mises à jour par SMS. Nous avons rencontré les fondateurs : il devint évident que Mobile Planet était une force innovatrice, unissant les Africains par l’information, et que nous partagions une vision commune.
La téléphonie mobile est une industrie d'ores et déjà très populaire en Afrique, et a connu une croissance exponentielle ces dernières années, particulièrement dans des pays tel que le Kenya. Le SMS est incontestablement une technologie très importante, fournissant un accès à l’information à la majorité des abonnés. L’expertise de Mobile Planet en matière de technologie SMS et son désir de « donner le pouvoir au peuple africain par l’information » rend ce partenariat très stimulant pour nous. Comptez sur nous pour vous tenir informés sur l'avenir de ce partenariat !
Posté par Joseph Mucheru, Chef de Bureau, Afrique de l'Est
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