Tuesday 30 April 2013

BebaPay: Launching electronic payments in Kenya

The bus is a great way to get around, but it can be frustrating if you don’t have enough money for the journey, or the conductor forgets to give you change from your fare.

So Google has teamed up with Equity Bank, the largest bank in East Africa, to launch BebaPay, a payment card that makes it easier and more convenient to pay for bus travel in Kenya.

With BebaPay, you’ll never again have to worry about carrying change for the bus, or keeping stacks of bulky tickets and receipts in your bag. Instead, people travelling on key Nairobi bus routes such as Riruta, Karen and Jogoo Road will be able to pre-load money onto their BebaPay card, and swipe or tap it on the card reader when boarding a bus to pay for their journey.


                                     

BebaPay cards are available for free from major bus stops like Kencom House, Pipeline and Yaya. Once you get your card, you can load money onto your card at select Equity Bank agents, or using mobile money. You can also use the BebaPay site to keep an eye on your spending. Every time you use your BebaPay card to pay for a journey, you will be sent a free receipt by SMS.

BebaPay uses smart cards powered by Near Field Communication (NFC) technology, plus software from Google. The NFC technology means that payment can take place offline, even when there is no power or network connectivity.

In time, Equity Bank will roll out BebaPay more widely, beyond the world of transport. The free BebaPay app turns any NFC-enabled Android phone into a card reader, which means that shops, traders and small businesses can use BebaPay to accept payments from customers, without needing expensive tills and cash registers.

We hope you’ll find BebaPay simple and useful, so do try it out the next time you take a bus.

Posted by Aneto Okonkwo, Product Manager



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BebaPay : Lancement de paiements électroniques au Kenya

Le bus est un moyen de transport très pratique, mais très frustrant quand vous n'avez pas assez d'argent pour payer votre ticket, ou que le conducteur oublie de vous rendre la monnaie.

C'est pourquoi Google et Equity Bank, la plus grande banque d'Afrique de l'est, ont fait équipe pour lancer BebaPay, une carte de paiement qui facilite le paiement des trajets en bus au Kenya.
Avec BebaPay, vous n'aurez plus besoin d'avoir de la monnaie pour payer votre ticket de bus, ni de garder tickets et reçus. Désormais, les usagers des grandes lignes de bus de Nairobi, telles que Riruta, Karen et Jogoo Road pourront approvisionner leur carte pré-payée BebaPay, et n'auront qu'à la passer devant le lecteur de cartes pour payer leur voyage en bus.

Les cartes BebaPay sont disponibles dans toutes les grandes stations de bus, comme Kencom House, Pipeline, ou encore Yaya. Une fois en possession de votre carte, vous pouvez l'approvisionner dans certaines agences Equity Bank ou via votre téléphone mobile. Vous pouvez également utiliser le site BebaPay pour suivre vos dépenses. Chaque fois que vous payez un trajet avec votre carte BebaPay, un SMS de confirmation gratuit vous sera envoyé.

BebaPay utilise des cartes à puce alimentées par Near Field Communication (NFC), ainsi que des logiciels Google. La technologie NFC permet d'effectuer des paiements hors ligne, même quand il n'y a ni électricité, ni connexion au réseau.

Dans l'avenir, Equity Bank veut développer BebaPay plus largement, pour des applications autre que le transport. L'application gratuite BebaPay fait de chaque téléphone Android équipé du système NFC un lecteur de cartes ; ce qui permet aux magasins, commerçants et petits commerces d'utiliser BebaPay pour accepter des paiements de leurs clients, sans avoir besoin de caisses.

Nous espérons que vous trouverez BebaPay simple et utile. N'hésitez pas à l'essayer lors de votre prochain trajet en bus.

Publié par Aneto Okonkwo, Responsable produit

Wednesday 24 April 2013

Lesotho becomes the 50th country on Street View

Whether you're doing history homework about the Colosseum or exploring potential neighborhoods for your next move, Street View gives you instant access to the places you want to see -- even before you leave the house. We launched Street View in 2007 in five U.S. cities to give you what we called a “feet on the ground” experience and have since been growing the program to make it more comprehensive, accurate and useful for everyone. 

Today, we’ve reached 50 countries with the launch of Street View in Lesotho and Hungary and are significantly expanding our coverage in Poland and Romania, among other locations around the world. This is also the largest single update of Street View imagery we’ve ever pushed, including new and updated imagery for nearly 350,000 miles of roads across 14 countries.

Lesotho, an enclave surrounded by South Africa, is the only independent state that sits entirely 1,000m or more above sea level. Explore some of the mountainous imagery captured by our Street View cars, including the winding roads and lakes.



Leribe District, Lesotho
Other sights include the Lesotho Evangelical Church, which is one of Africa's oldest Protestant churches, founded in 1833 by missionaries from Paris, and the traditional architecture in Nkesi, Maseru.

Now you also can take a virtual stroll through the historic center of Budapest, right along the Danube (the river that carves the city in two). See the Hungarian Parliament building or the famous Chain bridge.

Budapest, Lánchíd (Chain bridge)

Other Hungarian treasures to be discovered include the Széchenyi thermal bath, the largest medicinal bath in Europe, as well as the wonders of Buda castle.

We’re also refreshing and expanding existing Street View coverage in France, Italy, Poland, Romania, Russia, Singapore and Thailand. And, we’ve added new special collections of a host of picturesque spots—using our Street View Trike technology -- that include Portugal’s Pena National Palace, or the Sha Tin Che Kung Temple in Hong Kong or the Kilkenny Castle in Ireland.

From the first handful of U.S. cities, to the now thousands of cities and villages worldwide, we’ve spent the past six years updating Google Maps for you. From Antarctica to Australia, from South Korea to South Africa, from the snow-capped peaks of Everest to the Great Barrier Reef, you can navigate more than 5 million miles of the world, without ever leaving home. So spin the globe and take a walk through any one of the 50 countries now on Street View.
Posted by Ulf Spitzer, Program Manager, Google Street View  


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Le Lesotho devient le 50e pays accessible sur Street View

Que vous soyez en train de rédiger un devoir sur le Colisée ou d'explorer les environs pour une prochaine excursion, Street View vous donne instantanément accès aux lieux que vous souhaitez voir -- avant même de mettre les pieds dehors. Nous avons lancé Street View en 2007 dans cinq villes américaines pour vous donner une expérience "comme si vous y étiez" et nous développons depuis ce programme pour le rendre plus complet, plus précis et plus utile à tout un chacun.

Aujourd'hui, avec le lancement de Street View au Lesotho et en Hongrie, nous parvenons au chiffre de 50 pays, et nous étendons notre couverture en Pologne et en Roumanie, entre autres. C'est aussi la mise à jour la plus importante des images Street View que nous ayons jamais effectuée, avec des images nouvelles ou actualisées de près de 570 000 km de routes dans 14 pays.

Le Lesotho, enclave au cœur de l'Afrique du Sud, est le seul État indépendant qui se situe intégralement à 1000 m ou plus au-dessus du niveau de la mer. Découvrez quelques-unes des images de montagne captées par nos véhicules Street View,  routes en lacet et lacs notamment.

Parmi les autres vues, citons l'Église Évangelique du Lesotho, l'une des plus anciennes églises protestantes d'Afrique, fondée en 1833 par des missionnaires venus de Paris, et  l'architecture traditionnelle de Nkesi, près de Maseru.

Désormais, vous pouvez aussi vous offrir une promenade virtuelle dans le centre historique de Budapest, le long du Danube (le fleuve qui sépare la ville en deux). Admirez le bâtiment du Parlement hongrois ou le célèbre pont des Chaînes.

Parmi les autres trésors hongrois à découvrir, n'oubliez pas les  Thermes Széchenyi, le plus grand centre thermal d'Europe, ainsi que les merveilles du château de Buda.

Nous procédons également à l'actualisation et l'extension de la couverture Street View en France, en Italie, en Pologne, en Roumanie, en Russie, à Singapour et en Thaïlande. Et nous avons ajouté des collections particulières de sites pittoresques à l'aide de notre technologie des tricycles Street View, collections qui comprennent le Palais national de Pena au Portugal, le temple Sha Tin Che Kung à Hong Kong et le château de Kilkenny en Irlande.

Depuis les premières vues de quelques villes des États-Unis, aux quelques milliers de villes et de villages couverts à travers le monde, nous avons passé les six dernières années à développer et actualiser Google Maps pour vous. De l'Antarctique à l'Australie, de la Corée du Sud à l'Afrique du Sud, des cimes enneigées de l'Everest à la  Grande barrière de corail, vous pouvez parcourir plus de 8 millions de kilomètres sans bouger de chez vous. Alors évadez-vous aux quatre coins de la planète et promenez-vous dans l'un 50 pays désormais référencés sur Street View.

Publié par Ulf Spitzer, directrice de programme, Google Street View

Monday 15 April 2013

Harnessing the Internet to Drive Socio-Economic Development in Africa

Over the last few years Internet penetration has continued to grow in Sub-Saharan Africa.  While the access gap remains significant in most countries, policy makers and the public now know that it’s not just a question of getting more Africans online, but also about the economic benefits that the Internet can bring.  For example, last year a study in South Africa showed that the Internet economy contributes up to $7.1 billion/R59-billion (or 2 percent) to South Africa’s gross domestic product.

A new report by Dalberg Global Development Advisors, supported by Google Africa, is one of the first studies to examine the Internet’s impact on, and potential contribution to, social and economic development in several Sub-Saharan Africa countries. It reveals how Internet-enabled services are affecting the public and private sectors in agriculture, health, finance, education, governance, energy & transport, and SME growth. The report also analyses the pre-conditions for impact, looking at both business and ICT infrastructure as well as factors that influence how and why users get online. The findings are based on a survey of 1,300 organizations in Ghana, Kenya, Nigeria, and Senegal. 

One of the key findings of the report is that Small and Medium Enterprises (SMEs) are surprisingly optimistic about the Internet’s potential. More than 80 percent of SME owners expected that the Internet will help them grow their business. In addition, the report identifies big opportunities for cost savings as businesses shift to enterprise systems powered by the Internet. For example, in Kenya the National Health Insurance Fund (NHIF) reduced its administrative costs from 60% to 32% by automating its claims processing, accessing real-time data and tracking payment processes. In agriculture, access to online information is creating price transparency, improving supply chain management and providing climate and growth data which ultimately reduces costs and increases farmer incomes. For example, Manobi’s time to market service estimates that it has increased gum producer incomes by 40-50% by creating price transparency across local and international markets. Another interesting development is the growing linkage between mobile money and commerce, with services like Pesapal, MTN mMoney and Pagatech creating the infrastructure to generate Internet-based commerce. Meanwhile in healthcare, organizations are leveraging the Internet to reduce training costs for nurses.
 
The primary challenge for policymakers is to align policy across three dimensions - ICT policy, sector policy and general policies for doing business - in order to create the right environment to capture the Internet’s potential. Some governments in the countries featured have succeeded in creating the right market conditions. However, policymakers need to ensure ongoing investment in both core infrastructure and the conditions that drive Internet usage, including access, awareness, and attractivenes. These are needed to foster thriving ecosystems that drive both economic and social gains. Without such investments, policy makers risk missing out on the full benefits of the Internet.
We hope that this report will help governments and policymakers across the region better understand how they can take advantage of the Internet to drive their economies, to remain competitive and to benefit their citizens. You can learn more at http://www.impactoftheinternet.com

 Posted by Ory Okolloh, Policy and Government Relations Manager, Google Africa


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Exploiter Internet pour favoriser le développement socio-économique de l'Afrique

Au cours des dernières années, la pénétration d'Internet n'a cessé de s'étendre en Afrique sub-saharienne. Alors que l'accès à Internet reste très inégal dans la plupart des pays, les décideurs comme le public ont pris conscience aujourd'hui que l'enjeu n'est pas seulement de donner un accès Internet aux Africains : c'est l'économie toute entière qui peut en tirer parti. Par exemple, une étude menée en Afrique du Sud l'année dernière a montré que l'économie générée par Internet contribue à hauteur de 7,1 milliards $ / 59 milliards R (soit 2 %) du PIB de l'Afrique du Sud.

De même, Dalberg Global Development Advisors a conduit, avec le soutien de Google Afrique, l'une des premières études sur l'impact et la contribution potentielle d'Internet sur le développement économique et social de plusieurs pays d'Afrique sub-saharienne. Ce rapport révèle le rôle des services Internet dans les secteurs public et privé de l'agriculture, de la santé, de la finance, de l'éducation, des gouvernements, de l'énergie et des transports et la croissance des PME. Le rapport tient également compte du contexte environnant, notamment les infrastructures en place en matière de technologies d'informations et de communication, le tissu économique ainsi que les facteurs qui déterminent le comportement et les motivations des utilisateurs. Les résultats de ce rapport se basent sur une étude menée auprès de 1300 organismes du Ghana, du Kenya, du Nigeria et du Sénégal. 

L'une des principales conclusions de ce rapport est que les Petites et Moyennes Entreprises (PME) sont étonnamment optimistes quant au potentiel d'Internet. Plus de 80 % des chefs de PME s'attendaient en effet à ce qu'Internet les aident à développer leur business. De plus, le rapport identifie le très grand potentiel d'économie de coûts que représente la transition des entreprises vers des systèmes basés sur Internet. Ainsi au Kenya, le NHIF (National Health Insurance Fund) a réduit ses coûts administratifs de 60 % à 32 % grâce à l'automatisation du traitement des réclamations, l'accès à des données en temps réel et le suivi des paiements. Dans le domaine de l'agriculture, la transparence sur les prix qu'apporte l'accès à des informations en ligne permet d'améliorer la gestion de la chaîne d'approvisionnement et de disposer d'informations sur la météo et la croissance qui au final permettront de réduire les coûts et d'améliorer le revenu des agriculteurs. Le service Time2Market de Manobi, par exemple, aurait permis, selon Manobi, d'augmenter le revenu des producteurs de gomme de 40 à 50 % en instaurant une transparence des prix sur les marchés locaux et internationaux. Autre évolution intéressante : le lien de plus en plus serré entre le commerce et les paiements mobiles, avec des services tels que Pesapal, MTN mMoney et Pagatech qui apportent l'infrastructure nécessaire au commerce sur Internet. Les établissements de santé l'ont aussi compris : ils utilisent actuellement Internet pour réduire les coûts de formation des infirmières.  

Le premier défi qui s'impose aux décideurs est de faire coïncider leurs actions à trois niveaux : les technologies de l'information et de la communication, les politiques sectorielles et les politiques générales en matière d'entreprises, afin de créer un environnement favorable à l'exploitation du potentiel d'Internet. Certains gouvernements des pays représentés dans le rapport ont réussi à créer les bonnes conditions de marchés. Quoi qu'il en soit, les décideurs doivent faire en sorte qu'un investissement continu soit apporté à l'infrastructure de base d'Internet et aux conditions nécessaires à son utilisation (accessibilité, connaissances et attractivité) . Ces conditions sont indispensables pour stimuler les écosystèmes en plein essor, qui généreront à leur tour des gains économiques et sociaux. Sans ces investissements, les décideurs risquent de passer à côté du plein potentiel qu'Internet peut apporter. 

Nous espérons que ce rapport aidera les gouvernements et les décideurs de la région à mieux comprendre dans quelle mesure Internet peut les aider à booster leur économie, à rester compétitifs et à améliorer la vie de leurs concitoyens. Pour en savoir plus, rendez-vous sur http://www.impactoftheinternet.com.  

Publié par Ory Okolloh, responsable stratégie et Relations gouvernementales, Google Afrique

Thursday 11 April 2013

Google Maps Navigation (Beta) for Mobile now in 4 more African Countries

Driving & Walking directions are useful for planning for that weekend get-away or finding directions to a new restaurant. But sometimes you miss a turning, or pull over to verify that you really are on the right road, even though you have the directions. So how cool would it be if your phone could tell you when your turn-off was coming or what to do if you miss it?
That’s why we’ve worked to improve the comprehensiveness and usefulness of Google Maps through advanced features like voice-guided, turn-by-turn navigation. From today, these handy features are now available in Kenya, Ghana, Senegal and Ivory Coast.

It includes everything you’d expect from a GPS navigation system – turn-by-turn voice guidance and automatic rerouting – and more.  Google Maps Navigation (Beta) requires no downloads or updates, and is accessible to any smartphone user running Android 2.2+ or iOS 5.1+ in these countries (iOS 5.1 not available in Ivory Coast).
In addition to guiding you on your journey, you also have access to information about any of the thousands of cities, towns, roads, and points of interest that have been mapped by users in Google Map Maker.  In other words, whether you’re heading to Stade Félix Houphouët-Boigny for a football match or Cape Coast for a family holiday, Google Maps Navigation has you covered. Your phone will announce upcoming directions to you as you move along your route — in English or French.

To get Google Maps with Navigation on your Android 2.2+ device, search for and download the newest release of 'Google Maps' in Google Play or install Google Maps from the Google Play store. If you use an iOS 5.1+ device, search for and download the newest release of 'Google Maps' in the App Store.

Are your bags packed? Its time to hit the road.

Posted by Jacqueline Rajuai, Geo Program Manager


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Google Maps Navigation (Bêta) pour mobile disponible dans 4 nouveaux pays africains 

Les itinéraires Voiture et Piéton sont très utiles pour organiser un weekend ou chercher l'itinéraire d'un nouveau restaurant. Malgré cela, il nous arrive pourtant de rater une rue ou de devoir s'arrêter pour vérifier que nous sommes sur la bonne route. Alors que diriez-vous si votre téléphone vous indiquait que la prochaine rue où il faut tourner approche ou ce que vous devez faire si vous la manquez ?

C'est pourquoi nous avons travaillé à améliorer l'exhaustivité et l'utilité de Google Maps à travers des fonctionnalités avancées telles que la navigation détaillée par guidage vocal. Nous sommes très heureux d'annoncer aujourd'hui que ces fonctionnalités sont maintenant disponibles au Kenya, Ghana, Sénégal, ainsi qu'en Côte-d'Ivoire.

Google Maps Navigation n'a rien à envier à un système de navigation GPS : guidage vocal détaillé, calcul automatique de nouvel itinéraire, et bien plus.  Google Maps Navigation (Bêta) ne nécessite aucun téléchargement ou mises à jour, et est accessible à partir de tout Smartphone utilisant la technologie Android 2.2 ou iOS 5.1 dans ces pays (iOS 5.1 n'est pas disponible en Côte-d'Ivoire).

En plus de votre itinéraire, vous avez accès aux informations sur les milliers d'agglomérations, villes, routes et sites intéressants, ajoutées par les utilisateurs de Google Map Maker. En d'autres termes, que vous vous rendiez à un match de foot au Stade Félix Houphouët-Boigny ou à une réunion de famille à Cape Coast, Google Maps Navigation est là pour vous. Votre téléphone vous guidera en temps réel, en anglais ou en français.

Pour disposer de la navigation avec Google Maps sur votre appareil Android 2.2+, cherchez et téléchargez la nouvelle version de Google Maps sur Google Play, ou installez Google Maps depuis le site Android Market.

Si votre appareil fonctionne avec iOS 5.1, cherchez et téléchargez la nouvelle version de Google Maps sur l'Apple Play Store.

Vos valises sont prêtes ? C'est le moment de prendre la route.
Publié par Jacqueline Rajuai, Geo Program Manager

Tuesday 9 April 2013

Helping journalists stay secure

(Cross-posted from the Google Policy Europe Blog)

Journalists around the world face security risks. Journalists in the war-ravaged country of Somalia face particular danger.  According to the Committee to Protect Journalists (CPJ), last year was the deadliest year on record for a country with a long history of press killings:  12 journalists were killed in the line duty. The threat of violence has driven more journalists from Somalia into exile than from any other country in the past year.

Somali journalists protesting death of one of their colleagues - Image courtesy of Human Rights Watch

In a bid to help improve Somali journalists’ personal safety, Google has supported the CPJ to translate its Journalist Security Guide into Somali.

While the guide is designed for a global audience,  a veteran Somali journalist reviewed the material for local relevance. It is our hope that many Somali journalists will find it useful in their day-to-day work. The entire Somali guide can be read, printed, and downloaded here.  CPJ will also organize for tutorial sessions on the content in partnership with Somali journalist associations.

Just last week, the CPJ reported that two gunmen waited near the home of a young Somali journalist, Rahmo Abdulkadir. The 25-year-old Rahmo had just left an Internet café in Mogadishu around 9:30 p.m. on March 24 with a friend when she was shot and killed. Her companion was not harmed.

Let’s hope that this narrative can be stopped.

Posted by Ory Okolloh, Google Policy and Government Relations Manager, Sub-Saharan Africa


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Comment assurer la sécurité des journalistes en Somalie 

Partout dans le monde, les journalistes doivent faire face à des risques pour leur sécurité Les journalistes en poste en Somalie, pays actuellement ravagé par la guerre, sont particulièrement exposés. Selon le Committee to Protect Journalists, l’année 2012 a été la plus meurtrière dans ce pays qui détient depuis de nombreuses années un triste record dans ce domaine avec 12 journalistes tués dans l’exercice de leurs fonctions. L’an passé, la menace liée à la violence qui s’exerce dans ce pays a conduit à l'exil un grand nombre de journalistes, plus que dans n’importe quel autre pays.
Afin de contribuer à améliorer la sécurité personnelle des journalistes somaliens, Google a apporté son soutien le projet initié par le Comité visant à traduire en Somali le Guide de sécurité à l’intention des journalistes.
Ce guide, qui s’adresse à un large public, a été cependant revu par un journaliste somalien chevronné afin de l’adapter au contexte local. Nous espérons qu'il sera utile à de nombreux journalistes somaliens, dans l’exercice de leur métier au quotidien. Vous pouvez consulter, imprimer et télécharger l’intégralité du guide traduit en Somali ici. Le Comité  prévoit également d’organiser des sessions de formation au contenu de ce guide en partenariat avec des associations somaliennes de journalistes.
La semaine dernière encore, le Comité a rapporté que deux hommes armés avaient été vus non loin du domicile de Rahmo Abdulkadir, une jeune journaliste somalienne. La jeune femme âgée de 25 ans venait de quitter un cyber-café de Mogadishu vers 21h30 le 24 mars en compagnie d’un ami, lorsqu’elle a été tuée par balle. Son compagnon n’a pas été blessé.
Espérons que nous pourrons mettre fin à cette folie meurtrière.
Post signé Ory Okolloh, Directrice des politiques et des relations gouvernementales de Google, Afrique sud-saharienne