Thursday, 31 March 2011

Be part of our product development process: Google Talk Guru, now live on Google Labs

En Français

Guru is an experimental Google Labs service where you can use the chat client on your mobile phone to get answers to common queries, from weather forecasts to translation. Google Labs was created in 2002 to engage users in the early stages of development of new products and get their feedback.

Imagine chatting on your phone to your friend, and you want to find out how Man U did in their game earlier today. Easy! Ask Guru “score man u”. Or maybe you see a sign saying “wanyama wa porini” - don’t speak Swahili? No problem! Ask Guru “translate wanyama wa porini to English”. For a full list of features, read about Guru at http://guru.googlelabs.com.


This service is still in Labs development, so we’re counting on you to help us improve it. Let us know what works well, what other features you’d love to see, or what problems you’re having by emailing guru.feedback@google.com.

To try out this service, you need a Gmail account. If you don’t yet have one, sign up at http://www.gmail.com. Invite guru@googlelabs.com to chat on your chat client. This option is usually available in a contacts menu or in Google Talk menu in several mobile chat applications such as eBuddy, mig33, Mxit and others. If your chat client doesn’t support this, you can ask Guru to invite you by visiting this web-page: http://guru.googlelabs.com.



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Prenez part à notre processus de développement : Google Talk Guru est maintenant disponible sur Google Labs

Guru est un service expérimental de Google Labs avec lequel vous pouvez utiliser votre client de messagerie instantanée sur votre téléphone portable pour répondre à des questions communes, des prévisions météo à la traduction. Google Labs a été créé en 2002 afin d’inclure les utilisateurs dans les premiers stades de développement de nouveaux produits et d’obtenir leurs opinions.

Imaginez-vous en train de bavarder avec votre ami sur votre téléphone, et vous voulez savoir le résultat du récent match du PSG. C’est facile! Pour cela, envoyez à Guru [score PSG]. Ou bien peut-être vous voyez un signe où sont inscrits les mots “wanyama wa porini” - vous ne parlez pas le swahili? Pas de problème! Envoyez simplement [translate wanyama wa porini to French] à Guru. Pour une liste complète des fonctionnalités, connectez-vous à http://guru.googlelabs.com.

Ce service est en cours de développement sur Google Labs, nous comptons donc sur vous pour nous aider à l’améliorer. Faites-nous savoir ce qui fonctionne bien, quelles fonctionnalités en plus vous aimeriez voir, ou quels problèmes vous rencontrez en envoyant un courriel à guru.feedback@google.com. Pour l'instant les commandes doivent être formulées en anglais. Dites nous quelles langues vous souhaiteriez en écrivant à guru.feedback@google.com.

Pour expérimenter ce service, vous aurez besoin d’un compte Gmail. Si vous n’en avez pas encore un, inscrivez-vous sur http://www.gmail.com. Invitez guru@googlelabs.com pour bavarder sur votre client de messagerie instantanée. Cette option est normalement disponible dans le menu des contacts ou dans le menu Google Talk dans plusieurs applications de messagerie instantanée sur téléphone portable telles que eBuddy, mig33, Mxit et autres. Si votre client ne prend pas cette fonctionnalité en charge, demandez à Guru de vous inviter en visitant cette page web: http://guru.googlelabs.com.

Friday, 25 March 2011

Best practices for building Internet capacity in Liberia

En Français

(Cross-posted from the Google.org blog)

Over the past year, several Googlers have made trips to Liberia, one of the world’s poorest countries with a per capita GDP of $500. As shown in the figure below, Liberia has one of the lowest volumes of Internet traffic per capita in the world, and ranks in the bottom quintile within Africa.


Historically constrained by slow and expensive satellite connections for Internet connectivity, the country expects to connect to the ACE submarine cable in 2013. This international connectivity will enable the deployment of low-cost infrastructure and accelerate the adoption of inexpensive Internet-enabled devices. As such, Liberia has an excellent opportunity to harness the Internet for economic and human development gains over the next few years.

At Google.org, we are contributing ideas for Liberia’s efforts to build Internet capacity, outlined in a white paper, “Best Practices for Liberia’s Internet Ecosystem.” We outline principles for establishing a strong Internet foundation in Liberia. Suggestions include piggybacking on non-telecom infrastructure investments, creating an Internet exchange point, and opening spectrum in WiMax, WiFi and TV white spaces for ISPs.

In putting this white paper together, we benefited from the diversity of global challenges that Googlers have experienced when working with networks. The paper also taps into the first-hand knowledge of local stakeholders across public, private, and non-profit sectors. In collaboration with the many complementary players in Liberia, we aim to turn technology opportunity into development progress.



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Bonnes pratiques pour développer Internet au Libéria

Au cours de l’année dernière, plusieurs Googlers se sont rendus au Libéria, un des pays les plus pauvres au monde, avec un revenu annuel par habitant de $500. Comme l’illustre le schéma ci-dessous, le Libéria affiche un volume de trafic Internet par habitant parmi les plus faibles du monde et se classe dans le dernier quintile en Afrique.

Historiquement ralenti par la lenteur et le coût des connexions satellite pour Internet, le pays
prévoit de se connecter au câble sous-marin ACE en 2013. Cette connexion internationale permettra le déploiement d’une infrastructure low-cost et accélérera l’adoption d’équipements bon marché connectés à Internet. Ainsi, le Libéria dispose d’une excellente opportunité de tirer parti d’Internet pour soutenir le développement économique et humain dans les années à venir.

Chez Google.org, nous contribuons aux efforts du Libéria pour développer un potentiel Internet, via un livre blanc, « Bonnes pratiques pour l'écosystème Internet au Liberia ». Nous y définissons les principes pour établir un socle Internet solide au Libéria. Parmi les suggestions figurent l’accès à Internet sans fil (piggybacking) sur l’infrastructure non-télécom, la création d’un point d’échange Internet, l’ouverture des spectres WiMax, WiFi et des espaces vides situés entre les zones de couverture attribuées à la télévision pour les fournisseurs d’accès.

Lors de la rédaction de ce livre blanc, nous avons tiré parti de l’expérience acquise par les
Googlers face à la grande diversité de problèmes rencontrés lors de leurs travaux sur les réseaux. Le livre a également bénéficié des connaissances de première main des acteurs locaux, issus des secteurs public et privé, et des organismes non lucratifs. En partenariat avec de nombreux autres acteurs au Libéria, notre ambition est de transformer une opportunité
technologique en opportunité de développement.

Tuesday, 22 March 2011

Got a great idea for our first African tech incubator?

En Français

In keeping with our ongoing commitment to foster innovation in Africa, this week we’re announcing the launch of Umbono, our new technology incubator, which will be based in Cape Town, South Africa.

Bringing together seed capital, Google mentorship, ‘Angel’ investors, local tech stars, entrepreneurs and business leaders, the Umbono program will help selected internet or mobile-focused start-up teams transform their ideas into companies. As part of its goal to strengthen the web ecosystem across Africa, Google hopes that Umbono will further encourage the growth of the developer community and support the country’s already flourishing tech sector.

For six months, teams will enjoy free office space and bandwidth, in addition to the US$25,000 to $50,000 (ZAR 175,000 to 350,000) in funding they’ll receive from Umbono’s panel of angel investors and Google. Teams will not only benefit from local connections, but also from the extensive mentorship network of Google experts who can provide guidance on issues ranging from product design and commercialization to legal incorporation and valuation.

Google is collaborating with the Silicon Cape Initiative and the Bandwidth Barn, to ensure that Umbono’s teams are well positioned to succeed.

Applications are available on the Umbono website from March 18, open to all South African residents. The deadline for first round applicants is April 15, 2011, but the website will continue to host applications for all interested candidates. To learn more and apply, go to www.google.co.za/umbono.



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Vous avez une idée géniale pour notre premier incubateur de technologie africain ?

Dans le cadre de notre engagement permanent à développer l’innovation en Afrique, nous avons annoncé cette semaine le lancement d’Umbono, notre nouvel incubateur de technologie, qui sera basé au Cap, en Afrique du Sud.

Réunissant le capital de départ, le tutorat Google, des business angels, des stars locales de la technologie, des entrepreneurs et des dirigeants d’entreprise, le programme Umbono aidera les équipes des start-up sélectionnées, toutes spécialisées dans Internet ou les appareils mobiles, à transformer leurs idées en sociétés. Ce projet s’inscrit dans la mission que Google s’est donnée de renforcer l’écosystème Internet à travers l’Afrique. Google espère ainsi qu’Umbono participera à la croissance de la communauté des développeurs et apportera son soutien au secteur technologique déjà florissant du pays.

Pendant six mois, les équipes bénéficieront gracieusement de bureaux et d’accès internet, en plus des 25 à 50 000 dollars US (175 000 à 350 000 ZAR) de fonds qu’ils recevront du panel des business angels d’Umbono et de Google. Les équipes bénéficieront non seulement des connexions locales, mais aussi du vaste réseau de tutorat des experts Google, qui sont à même de prodiguer des conseils sur des questions allant de la conception et de la commercialisation d’un produit à la constitution juridique d’une société et sa valorisation.

Google collabore avec la Silicon Cape Initiative et le Bandwidth Barn, afin de garantir
que les équipes Umbono sont bien placées pour réussir.

Les applications sont à disposition sur le site Umbono depuis le 18 mars, accessibles à tous les résidents sud-africains. Le dernier délai pour les candidats au premier round est fixé au 15 avril 2011, mais le site Internet continuera à héberger les applications pour tous les candidats intéressés. Pour en savoir plus et pour postuler, rendez-vous sur le site www.google.co.za/umbono.

Tuesday, 15 March 2011

Launching Gmail SMS in Uganda, Tanzania and Malawi

En Français

As many of you in other countries already already know, we’ve created a way for you to carry on chatting with your friends via Gmail, even when they’re away from their computers. In the past few weeks we have added functionality to Gmail that allows users (worldwide) to chat over SMS with phone subscribers in Uganda (MTN, Uganda Telecom and Orange), Tanzania (Vodacom), and Malawi (Airtel, TNM).

These countries join other African countries for which this feature has been added in the past year - Kenya, Nigeria, Senegal, Ghana and Zambia - see full list here.

As a Gmail user, you can send SMSes to your friends for free, and when your friends reply, they will be charged the same as a regular SMS.

(Technical note: if you do not see the SMS interface in your Gmail, go to Settings->Labs and enable both labs that contain the word “SMS”)




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Lancement des Gmail SMS en Ouganda, en Tanzanie et au Malawi

Comme beaucoup d’entre vous dans d’autres pays le savent déjà, nous avons créé un
moyen de « chatter » avec vos amis via Gmail, même lorsqu’ils ne sont pas à proximité des
leur ordinateur.Au cours des dernières semaines, nous avons ajouté une fonction à Gmail,
qui permet aux utilisateurs (du monde entier) de « chatter » via SMS avec des abonnés au
téléphone en Ouganda (MTN, Uganda Telecom et Orange), Tanzanie (Vodacom) et Malawi
(Airtel, TNM).

Ces pays rejoignent d’autres pays africains où cette fonction a été ajoutée l’année dernière –
le Kenya, le Nigéria, le Sénégal, le Ghana et la Zambie – voir la liste complète ici.

En tant qu’utilisateur Gmail, vous pouvez envoyer des SMS gratuitement à vos amis, et
lorsque ceux-ci répondent, ils paieront le tarif habituel d’un SMS normal.

(Remarque technique : Si l’interface SMS n’apparaît pas dans votre Gmail, allez sur
Paramètres->Labs et activez les deux labs dont la description contient le mot « SMS ».)

Friday, 11 March 2011

Women Get Together to Map Kenya

En Français

Many people enjoy using Google Maps to locate and learn about places around the world. Others, however, relish taking a more active role: improving Google Maps by adding and editing roads, parks, businesses, and more through Google Map Maker. In some cases, these citizen mappers take a day to collaboratively focus on a specific area, as over 60 women did recently in Nairobi, Kenya. They planned a “Ladies Mapping Party,” empowering and inspiring a broad array of women to give back to their communities through mapping. From advocates to non-profit leaders, students to computer scientists, environmentalists to editors, these women mapped the places they live and love, know and often visit.

The event began with a short training and demo session during which participants got an overview of Google Map Maker, followed by a competition to spur the groups on to map their communities.

Training and Demo session

One of the groups was comprised of three dynamic students from Strathmore University -- Betsy, Issene and Yasmin. Within 30 minutes, they had mapped most of the points of interest in their home town, Isiolo, while the broader group of women together tackled Juja, Ongata Rongai and Nyahururu.

The attendees targeted specific regions in Africa using Map Maker. “We decided to map Isiolo because we know the area well, and the area had very few points that were mapped compared to other areas like Nairobi” noted one of the students, who also joked that the prizes -- including Google-branded bags -- further encouraged them to map so comprehensively

Issene, Betsy and Yasmin: top contributors at the event

Many of the participants mentioned that they’re eager to continue using Map Maker, citing it as “a new pastime.” But the women took away more than just mapping knowledge, with one of the mappers noting that the group “learned from the others that doing what you love is the key to success.”

Interested in mapping your part of the world? Give Google Map Maker a try.



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Les femmes se réunissent pour cartographier le Kenya

De nombreuses personnes aiment se servir de Google Maps pour localiser et découvrir des lieux à
travers le monde. D’autres, en revanche, ambitionnent de jouer un rôle plus actif : améliorer Google Maps en ajoutant et en rectifiant des routes, des parcs, des entreprises, etc., avec Google Map Maker. Parfois, ces citoyens cartographes prennent une journée pour collaborer à plusieurs sur une zone spécifique, comme l’ont récemment fait 60 femmes à Nairobi (Kenya). Elles ont programmé une « Ladies Mapping Party », donnant à un large éventail de femmes l’occasion de rendre service à leur communauté, par la cartographie. Avocates, responsables d’associations à but non lucratif, étudiantes, informaticiennes, écologistes ou éditrices, ces femmes ont cartographié les lieux où elles vivent, qu’elles aiment, qu’elles connaissent et où elles se rendent fréquemment.

L’événement a démarré par une courte formation et une session de démonstration, au cours de
laquelle les participants ont pu découvrir Google Map Maker. La séance s’est poursuivie par la
présentation d’un jeu-concours, destiné à encourager les groupes à cartographier leurs communautés.

Un des groupes se composait de trois étudiantes dynamiques de l’université de Strathmore : Betsy, Issene et Yasmin. En 30 minutes, elles avaient cartographié l’essentiel des lieux intéressants de leur ville, Isiolo, tandis qu’un groupe plus nombreux travaillait sur Juja, Ongata Rongai et Nyahururu.

Les participants ont ciblé des régions d’Afrique spécifiques, avec Map Maker. « Nous avons décidé de cartographier Isiolo parce que c’est une ville que nous connaissons bien et que la cartographie existante était très pauvre par rapport à d’autres villes comme Nairobi », explique l’une des étudiantes, qui a aussi indiqué, en plaisantant, que les prix – dont les sacs Google— les avaient aussi poussées à effectuer un repérage complet.

De nombreuses participantes ont déclaré qu’elles étaient impatientes de continuer à exploiter Map Maker, le considérant comme un « nouveau passe-temps ». Ces femmes n’ont pas seulement appris des techniques de cartographie, elles ont aussi « appris avec les autres que faire ce que l’on aime est la clé de la réussite », selon l’une d’elles.

Et vous, êtes-vous intéressée par cartographier votre coin du monde°? Essayez donc Google Map Maker.

Wednesday, 9 March 2011

The G-Day Journey from Senegal to Ghana & Nigeria

En Français

We keep working hard on making the Internet relevant and useful for everyone in Africa, and it's great to see that we're not alone in our quest - hundreds of entrepreneurs and developers keep joining us for our G-Days, the itinerant two-day conference dedicated to Google technologies that make ideas, knowledge and people come together across Africa.

In late February we made our biggest splash in Senegal yet. Over 1,000 developers, techies, students and business gathered at UCAD 2 - Université de Dakar for our second G-Senegal.


We also had a large number of reporters and news portal webmasters attend G-Senegal -- whilst some of them came to write stories about the event, many came for training workshops themselves, to learn more about how Google’s free products and services can help them in their day-to-day lives as journalists.


We're particularly happy to have had the opportunity to introduce for the first time quite a few new topics for the francophone region of Sub-Saharian Africa, such as tips and tricks to improve the quality of websites using Webmaster Tools, how to make the most of HTML5, or becoming a pro in using Google solutions for online advertising and enterprise applications.

Because of the high levels of response to, and success of our G-days, we are continuing down the G-Africa road with upcoming events in Ghana and Nigeria. G-Ghana and G-Nigeria, held on April 28-29th and May 3rd-4th respectively, will feature a menu of mobile, web, business and developer topics for you to select the right topics to further your learning. We will have hands on demo pods, and advanced materials to get your product or venture to the next level. If you’re interested in joining, please check out G-Ghana or G-Nigeria sites and register today!



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Le voyage du G-Day du Sénégal au Ghana et au Nigéria

Nous continuons à œuvrer pour rendre Internet pertinent et utile pour la population en Afrique
et il est formidable de voir que nous ne sommes pas seuls dans cette quête – des centaines
d’entrepreneurs et de développeurs nous rejoignent lors des G-Days, cette conférence
itinérante sur deux jours, dédiée aux technologies Google qui permettent la rencontrer des
personnes, des connaissances et des idées à travers l’Afrique.

Fin février, nous avons créé l’événement comme jamais au Sénégal. Plus de 1000 développeurs, enseignants, étudiants et professionnels se sont réunis à l’UCAD 2 - Université de Dakar pour notre deuxième G-Sénégal.

Nous avons également croisé à Dakar un grand nombre de reporters et de webmasters de
nouveaux portails – certains venus pour rendre compte de l’événement, mais de nombreux
autres pour se former en participant aux ateliers, pour mieux connaître les produits et services
gratuits de Google susceptibles de les aider dans leur travail de journaliste.

Nous sommes particulièrement heureux de l’occasion qui nous a été donnée de présenter
pour la première fois quelques-uns des nouveaux sujets destinés à la région francophone de
l’Afrique sub-saharienne, tels que des conseils et des astuces pour améliorer la qualité des
sites via Webmaster Tools, optimiser l’exploitation de HTML5, ou devenir un pro des solutions
Google pour la publicité en ligne et les applications professionnelles.

Vu l’ampleur des réponses et du succès des G-days, nous allons poursuivre vers le sud
notre route G-Africa: les prochains événements, G-Ghana et G-Nigeria, auront au Ghana
et au Nigéria, respectivement les 23-29 avril et les 3-4 mai. Au menu de ces journées,
vous trouverez un ensemble de sujets concernant les applications mobiles, Internet,
les professionnels et les développeurs, dans lequel vous pourrez faire votre choix pour
approfondir vos connaissances. Nous aurons sur les stands des produits en libre accès, et des
outils de pointe pour faire évoluer votre produit ou votre entreprise. Si vous souhaitez nous
rejoindre, consultez le site G-Ghana ou G-Nigeria et inscrivez-vous dès aujourd’hui!

Tuesday, 8 March 2011

Getting More People and Information Online in Africa -- including Nelson Mandela’s and Desmond Tutu’s Archives

En Français

As one of the most influential leaders of our time, and the face of South Africa’s incredible transition to democracy, Nelson Mandela’s name is almost synonymous with efforts to create meaningful dialogue and promote social justice. It is with huge excitement that today we announce a $1.25 million dollar grant to the Nelson Mandela Foundation Centre of Memory, which will help to preserve and digitize thousands of archival documents, photographs, and audio-visual materials about the life and times of Nelson Mandela.


The online Mandela archive, which will be made available to the global audiences in the future, will be a wealth of information for those wanting to learn about and research the life and legacy of this extraordinary African statesman. The online multimedia archive will include Mr Mandela’s correspondence with family, comrades and friends, prison diaries, and notes he made while leading the negotiations that led to the end of apartheid in South Africa.

 

A grant of the same size has also been made to the Desmond Tutu Peace Centre in Cape Town, for the documentation and digitisation of Desmond Tutu’s archive, as well as an interactive digital learning centre.

At Google we want to help bring the world’s historical heritage online -- and the Internet offers new ways to preserve and share this information, in Africa and elsewhere. Recent examples of our efforts in this field include our partnership with Yad Vashem, the Jerusalem-based archive of Holocaust materials, and our partnership with some of the world’s most famous art museums, through the Art Project.

We are also delighted to be announcing additional grants, also through the Google Inc. Charitable Giving Fund of Tides Foundation, which will help bring many more people online across South Africa and Africa, so that they can benefit from better access to information. These include grants to the Tertiary Education and Research Network (TENET) of South Africa ($750,000 for continued work to assist South African universities with Internet and information technology services), the Nigeria ICT Forum ($500,000 to support efforts in improving access to Internet infrastructure in tertiary education institutions in Nigeria), and the Network Startup Resource Center (NSRC) at the University of Oregon ($1,250,000 to enable more people in numerous African countries to participate in and contribute to the global Internet).



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Plus d’internautes et d’informations en ligne en Afrique – dont les archives de Nelson
Mandela et de Desmond Tutu


Immense leader de notre temps, figure majeure de l’incroyable transition démocratique de l’Afrique du Sud, le nom de Nelson Mandela est presque synonyme de dialogue constructif et de quête de justice sociale. C’est un grand bonheur d’annoncer aujourd’hui que nous offrons 1,25 million de dollars US au Centre de mémoire de la Fondation Nelson Mandela, dont l’objet est de préserver et de numériser des milliers de documents d’archive, de photographies et de matériaux audio-visuels sur la vie et l’époque de Nelson Mandela.

Les archives Mandela en ligne, qui seront dans un deuxième temps mises à disposition du public, constituent un très riche fonds d’informations pour ceux qui souhaitent connaître et étudier la vie et l’héritage de cet exceptionnel homme d’État africain. Les archives multimédias en ligne comprendront la correspondance de M. Mandela avec sa famille, ses camarades et ses amis, les journaux qu’il a rédigés en prison et les notes écrites lors des négociations qui ont abouti à la fin de l’apartheid en Afrique du Sud.

Un don du même montant a également été effectué au Centre Desmond Tutu pour la Paix du Cap, pour la documentation et la numérisation des archives de Desmond Tutu, ainsi que la création d’un centre d’apprentissage numérique interactif.

Chez Google, nous voulons aider à mettre en ligne l’héritage historique de l’humanité et Internet offre de nouveaux moyens de préserver ces informations, en Afrique et partout dans le monde Parmi les exemples récents de nos efforts dans ce domaine, citons notre partenariat avec Yad Vashem, mémorial qui regroupe à Jérusalem les archives relatives à l’Holocauste, et notre partenariat avec les plus célèbres musées du monde, à travers le projet Art.

Nous sommes également très heureux d’annoncer d’autres dons, toujours par le biais du fonds Google Inc. de la fondation Tides, qui aideront à relier à Internet un nombre croissant de personnes en Afrique du Sud et en Afrique et à leur offrir ainsi un meilleur accès à l’information. Google va faire un don au Tertiary Education and Research Network (TENET) d'Afrique du Sud (750 000 $, pour continuer à aider les universités sud-africaines à accéder aux services Internet et informatiques), au Forum TIC du Nigéria (500 000 $ pour soutenir les efforts d’amélioration de l’accès aux infrastructures Internet dans les établissements d'enseignement supérieur au Nigéria), et au Network Startup Resource Center (NSRC) de l’université de l’Oregon (1 250 000 $ pour permettre à plus de personnes issus de nombreux pays africains d’accéder et de contribuer au réseau Internet mondial).

Friday, 4 March 2011

Celebrating mother tongues around the world!

En Français

Last week, we celebrated mother-tongues across the world. 21st Feb was UNESCO-declared International Mother Language Day, aptly themed “the information and communication technologies for the safeguarding and promotion of languages and linguistic diversity”.

This week, we present four new African languages to Google Search - each a product of community translation efforts in respective countries: Ewe & Ga in Ghana, Northern Sotho in South Africa and Seselwa Kreol in Seychelles. This brings the total supported African languages to 31, covering 22 search domains, and some 285 million users with native African tongues.


These local language pages are sparking new interest from language communities across the region. Not only are search queries from African languages recording strong growth, but individuals are beginning to self-organize into new volunteer translation groups.

In Ghana, for example, a top student from Meltwater Entrepreneurial School of Technology (MEST), Frank Tawiah, proactively approached Google Africa Languages team to inquire if he could improve the search experience in his language, Akan, having seen his friends participate in previous Google translation workshops. He organised 37 students at MEST to participate in the workshop - all we needed to do was facilitate the workshop with Internet access, tools, great food & some guidance.

A volunteer language expert, Jojoo Imbeah from Kasahorow had this to say;
“Alongside senior staff at MEST who stood by as observers, the volunteers translated in pairs or teams of three. There was lots of dialogue. They seemed to be having fun too, which I think was important. I made a presentation about writing modern Akan, and passed around leaflets with more information to try to keep the translations consistent with previous work. And the food was good!”
There’s something truly exciting about collaborating with passionate native speakers to get a local language online in a big way for the first time. We’d like to highlight the efforts of hundreds of volunteers we’ve partnered with to translate Google Search into local African languages, from:


For most Africans the internet is something created by other people which we simply consume. Seeing your language appear on Google Search changes all of that. Your language not yet available on Google Search? Start a translation group, tell us about it and we’ll help guide you through the process.



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Le monde entier célébre les langues maternelles!

La semaine dernière, le monde entier a célébré les langues maternelles. En effet le 21 février a été proclamée par l'UNESCO internationale de la langue maternelle et, à juste titre, le thème de cette année était: "Les technologies de l’information et de la communication pour la sauvegarde et la promotion des langues et de la diversité linguistique".

Cette semaine, nous introduisons la recherche Google dans quatre nouvelles langues africaines, résultant chacunes des efforts de traduction communautaire dans leurs pays respectifs: Ewe & Ga au Ghana, le Sotho du Nord en Afrique du Sud et Seselwa Kreol aux Seychelles. Cela porte à 31 le total des langues africaines pris en charge, couvrant 22 domaines de recherche, et quelque 285 millions d'utilisateurs de langues africaines.

Ces pages en langues locales suscitent un intérêt nouveau des communautés oeuvrant sur les langues à travers la région. Non seulement les requêtes de recherche de langues africaines en forte croissance, mais les individus commencent à s'organiser en nouveaux groupes de traduction bénévoles.

Au Ghana, par exemple, un brillant étudiant de Meltwater Entreprenual School of Technology (MEST), Frank Tawiah, a pris l’initiative d’approcher les équipes de Google Afrique travaillant sur les langues pour savoir si il pourrait améliorer l'expérience de recherche dans sa langue, l’Akan, après avoir vu ses amis participer à des précédents ateliers de traduction de Google. Il a organisé 37 étudiants de MEST pour participer à l'atelier et tout ce que nous avons eu à faire était de faciliter l'atelier avec un bon accès à Internet, les outils, de bons repas et quelques conseils.

Un des spécialistes bénévoles, Jojoo Imbeah de Kasahorow avait ceci à dire;
"Aux côtés des cadres supérieurs au MEST qui étaient là à titre d'observateurs, les bénévoles on trvaillé équipes de deux ou trois.. Et il y avait beaucoup de dialogue. Ils ont semblé aussi s’amuser énormément, je pense que c'était important. J'ai fait une présentation sur l'écriture moderne de l’Akan et j’ai fait circuler des brochures avec plus d'informations pour essayer de garder la cohérence des traductions avec les travaux antérieurs. Et les repas étaient délicieux!"
Il y a quelque chose de vraiment passionnant de collaborer avec des enthousiastes dont c’est la langue maternelle, pour mettre une langue locale en ligne pour la première fois. Nous aimerions souligner les efforts des centaines de bénévoles des structures suivantes avec qui avons collaboré pour traduire Google Recherche dans les langues locales africaines :


Et vous, votre langue n'est pas encore disponible sur Google Recherche? Démarrez un groupe de traduction, informez nous et nous allons vous guider à travers le processus.